Beyblade Fan Fiction ❯ Le coeur solitaire ❯ Another one ( Chapter 3 )
[ P - Pre-Teen ]
By: Guardiana 
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Anime/Manga: Beyblade Fan Fiction | Genre(s): Romance | Type: Other | Uploaded On: 03.15.2004 | Pages: 13 | Words: 6.3K | Visits: 209 | Status: Work In Progress
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Anime/Manga: Beyblade Fan Fiction | Genre(s): Romance | Type: Other | Uploaded On: 03.15.2004 | Pages: 13 | Words: 6.3K | Visits: 209 | Status: Work In Progress
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CÕest les repr�sailles!
Il se laissa tomber sur son lit.*Mais qu,est-ce quÕil avait? IL sÕ�tait mis a la critiquer avec autant dÕardeur que sÕil se serait sÕagit de Tala. Oui, il d�testait Tana, mais elle?
Ka�- Kia? (dans un murmure)
Pourquoi est-ce que cÕ�tait si dur pour lui dÕaccepter quÕil ne la d�testait pas, loin de l�, au contraire? Il avait pleurer parce quÕil avait peur. Peur pour elle, peur dÕelle, peur pour son futur... Si elle piquait une overdose et passait dans lÕautre monde, il deviendrait plus froid que le plus froid des hivers de Russie.
Elle avait fait fondre tout le froid en lui, son regard, elle avait fait fondre son coeur, sa carapace, tout. Elle �tait plus maigre quÕun cadavre et cela lui avait fait peur avant tout. Blanche comme drap, un visage dÕune douceur infinie marqu� par dÕune peine incroyable. Elle ne casserait pas au vent mais, elle gardait tout ses sentiments de lÕint�rieur et son corps les ext�riorisait en maigrissant. DÕabord sa tailles, ses cuisses, sa poitrine, puis elle deviendrait un tas dÕ os ambulant. Le moindre rhume pourrait la tu� d�s lors.
Il nÕausait pas imaginer par quoi elle �tait passer pour se donner sa drogue. La moindre peine lui ferait glisser la main. 1g de plus, puis un autre et eocre jusquÕa ce quÕelle atteigne la limite et alors lÕoverdose... Il lÕavait brusqu� pour lui faire comprendre le danger quÕelle courait. Il voudait lÕaider a arr�ter. Pourquoi avait-il besoin de ce justifier?
Ka� sourit, son grand-p�re avait r�ussi lÕimpossible. Il savait que cÕ�tait lui qui avait arrang� son couple avec Kia. Le vieillard ne pouvait faire dispara�tre des jeunes �ternellement. ALors son �cole lui en ferait!
Ce nÕ�tait pas pour quÕil s§ache quÕil y avait des filles ou que les gars puissent leur parler et savoir comment se tenir av ec en soci�t�. On les habituaient lÕun a lÕautre durant quelques ann�es, il les faisaient devenir c�l�bre chacun de leur cot� et apr�s, quand enfin ils se retrouvaient, on signait les papiers et on f�tait le mariage, les enfants ne tardaient pas a suivre. Quand il en avait asss� pour la g�n�ration suivante, les beybladeurs devenaient des joueurs l�gendaires qui disparaissaient myst�rieusement du jour au lendemain.
Ka� avait dit quÕil ne se laissserait pas prendre. Mais il �tait r�ellement tomber amoureux. �tant trop dur, il avait fill� devant les avance de la jeune fille. Oui, il savait parfaitement se qui lui arrivait. Mais il avait pris une heure pour analyser la situation et la comprendre. En Bayblade, 1 seconde lui suffisait. Il sÕassit, mais ses �paules s,affais�rent.. Il sera les poings et se redressa. Il devait avoirÊ asser de temps pour lÕaider. LÕaider a partir dÕaujourdÕhui!
Elle courait dnas le vent, serrant le ballot noir contre sa poitrine, elle regarda � droite, � gauche, elle remit ses bracelets dÕor et sÕavan�a vers un restaurants. Elle avait les larmes aux yeux. Hier, il avait pleurer pour elle, � cause dÕelle, il tenait donc � elle, mais il lÕavait traiter de tout les noms, est-ce quÕil devenait humain le soir uniquement et que le reste du temps il ne parlait a personne, sauf pour les abaisser? Et ne se fiait quÕ� lui et � sa toupie?
Le Russe avait raison, elle �tait maigre a faire peur. Elle le remarqua en se voyant dans une vitrine. Maigre, elle plus jamais! Droqu�e, elle, plus jamais? Pour que Ka� soit fier, pour quÕil lui sourit. Elle allait les prendres ses 10 livres. Mais elle n,en pesait que 60 et encore la cÕ�tait gr�ce a ses os forts.60 livres en une journ�e. CÕ�tait fesable. Mais il fallait de lÕargent et pour avoir de lÕargent... Elle frissonnáa. Elle filla au restaurant.
Kia- Pense � son sourire, pense � son sourire...
Ray �tait dna la cuisine quand il vit Tyson arriver.
Ray- Eh, je voudrais manger se que jÕai pr�parer, alors tu restes hors de ma cuisine!
Tys- Mais?
Max- Moi, je peux entrer?
Ken- Et moi?
Ray- Bien s�r! QuÕest-ce que vous croyez que je vais tous vous laisser mourrir de faim?
Tys- Et moi? (les larmes au yeux)
Ray- Si je te laisse entrer, on va mourir de faim!
Et il ferma la porte sur un Tyson en pleurs. Celui-ci entendit des bruits dans la salle dÕentrainement. Il descendit voir. CÕ�tait Ka�.
Sa toupie faisait des cercles autour de lui tandis que le sol �tait couvert de toutes les toupies que le jeune homme avait pu trouver. Des lanceurs �taient install�s sur les murs, au plafond, dans la plancher. Ka� �tait encercl�.
Tys- Est-ce que tu veux que je...
Ka�- La FERME!
DÕun mouvement du poignet il fit rebondir sur le mur un des projectile,spuis du pied, de lÕaileron. Gauche, droite, haut, baîs. Pendant ce temps Dranzer d�truisait toutes les toupies quÕil y avait sur le sol. Celui- l�, il avait profit� dÕelle, lui sÕ�tait son grand-p�re. Bientot il ne restat quÕune rang�e de 20 toupies au sol. Les autres gars qui voulait Kia. Et celui l�, devant les autres, Tana!
Ka�- Dranzer!!!
Le spectre ail� apparue dans toue sa splendeur et calcina les toupies align�es.
Ka�- Dranzer!
Une boule de feu �mergea de la toupie et se lan�a sur Ka�.
Tyson avait jusque l� regarder m�duser, mais alors il vit que Ka� ne chercherait pas � �viter lÕattaque. Ka� croisait les bras atendant la balle de feu. Il se prot�gea le visage de ses mains et les flammes vinrent se m�ler a sa silhouette.
La toupie bleue fon�a, fit un saut et suivit une trajectoire rectiligne visant le coeur de Ka�.
Il veux se tuer, pensa Tyson.
Mais alors Ka� �mergea des falmmes en un morceau, aucu de ces v�tementsbrul�, aucun de ses cheveux roussis. La toupie du jeune Russe tournait sous le feu qui sÕ�tint, puis la toupie allöa dans la main de Ka�.
Tys- Comment tÕas fait?
Ka�- QuÕen dis-tu?
Tys- Tu fiche ben des probl�mes avec cette fille mais tu en vaux la peine!
Ka�- Bon, salut!
Tys- O� tu vas?
Ka�- Manger.
Tys- Quoi? (les larmes remont�rent a ses yeux)
Ka� eut un sourire mauvais.
Ka�- ALors, bon app�tit!
Tyson tomba au sol en larme, frappant le sol de ses poings et de ses pieds.
Ray- Tu viens manger?
Ka�- YÕa un probl�me? (Ray fit non de la t�te)
Il avala son repad et sortit pr�textant, ne pr�textant rien du tout, de quoi aurait-il a sÕexpliquer?
Ken- Il retourne voir cette fille?
Max- Tu penses quÕil va sÕexcuser?
Tys- Lui jamais, regarde sa!
Kenny vit alors le film de Ka� durant son entrainement .
Ken- Tu as raison.
Ray- JÕesp�re juste quÕil sait ce quÕil fait.
Elle avait propos� ses services � un client qui lui rapportait beaucoup. Mais apr�s le massage dorsal et abdominal, lÕhomme lÕ avait attrap� par la taille et lui glissa quÕil voulait plus ce jour-l�. Elle comprit. Si Ka� nÕavait pas �t� úsi fier ou si peu s�r de lui.
Elle ne voulait pas une premi�re fois avec quelquÕun quÕelle ne connaissait pas. Elle avait vis� Ka�, lui et personne dÕautre. Mais elle n,avait pas un sou et c,est comme sa quÕelle wn aurait.
Kia- Dans ce cas, je vous propose de rajouter un 20 $.
Gars- CÕest ta premi�re fois?
Kia- Oui .
Gars- Sa vaut un suppl�ment de 49 $ ou 60 $ et pÕtre un 20 de plus pour un plaisir parfait.
D�j� il d�boutonnait la chemise de la jeune fille. Non, elle ne voulait pas. Elle aurait voulu que ce soit Ka� devant elle, pas se gros hommes qui pesait au moinns 300 lbs. Elle avait choisi Ka� et personne dÕautre.
Kia- Vous pouvez me payer tout de suite?
Gars- OK tiens 120 $, mais tu ferais mieux dÕ�tre bien roul�e.
Elle prit le 120$ et fit un bond par la fen�tre quÕelle traversa dÕun coup de pied. Sa chemise dont les manches �taient presques arrach�es ne tenait quÕa un bouton. Elle portait une jupe serr� mais restait fort agile. Mais la hauteur �tait trop grande pour quÕelle retombe sur cýes pieds. Ele allait mourir, mais elle mourait sans crier! Au moins, elle devait sa � Ka�.
(de sa fen�tre)
Gars- belle conasse!
(des airs)
Kia-L�che!
Ka�- Kia?
Il lÕavait entendu crier, mais ou �tait-elle? Par l�? Oui, par l�! Il partit � la course.
Elle allait bient�t sÕ�craser sur le sol. Elle le voyait qui se rapprochait, beaucoup trop vite a son go�t.
Ka� arriva dans la rue o� elle chutait, il lÕapre�ut.
Ka�- Non, mais elle est folle!
Il se pr�cipita et lÕattrapa de justesse. Il tressaillit en sentant sa l�g�ret� et la maigreur de sa taille. Elle avait voulu Ka� et elle lÕavait , elle se jeta dans ses bras.
LÕhomme voyant quÕil pourrait r�cup�rer son argent fon�a vers la rue en d�valant son escalier.
Kia- Toi et personne dÕautre, personne dÕautre, non,personne dÕautre!
Ka� rougit l�g�rement en comprenant de quoi elle voulait parler.
Ka�- Non, Kia, personne dÕautre, juste toi et moi!(avec une infinie douceur dans la voix )
Il la serra a son tour contre lui. Non, personne dÕautre!
Gars- Ehþ, la garce!
Kia leva un visage remplit de larme.
Kia- Toi, personne dÕautre. (elle serra Ka� plus fort contre elle)
Il se sentit presque �touffer, jamais il nÕaurait soupconner quÕelle serait si forte.
Mais le bonhomme approchait et il �tait un peu grand pour Ka�.
Ka� regarda Kia, les billets dÕargent, lÕhomme qui sÕapprochait, la chemise presque compl�tement d�tach� de la jeune fille.
Kia- Toi, personne dÕautre.
Ka�- Sa va! JÕai compris, allez viens, on va sÕen sortir.
Ils partirent a la course et r�ussirent � �chapper au tas de graisse, sauf la manche de Kia que le bonhomme lui arracha.
Ka�- Tant que la chemise ne vient pas avec!
Elle lui sourit, puis il lui montra son dos, elle sÕaccrocha � son cou et il se jeta daa sles airs pour sÕaccrocher � une lierre de feuille qui grimpait sur un immeuble.
Kia- Dis donc, il nous suit par lÕascenseur!
Ka�- Alors accroche toi!
Il se mit a grimper le long des ronces qui courrait sur le mur.
Kia- Tes pieds glissent?
Ka�- Je nÕai aucune prise, mais ce nÕÿai pas grave!
Kia- Tu ne vas pas saut� en haut?
Ka�- Tu as bien saut� en bas moi je compte aller un peu plus loin.
Kia- Et le poid, y sera pas un peu trop lourd?
Ka�- Fais 130 lbs plus ton poids.
Kia- 190!
Ka�- Tu p�ses vraiment que �a? OK, se sera facile!
Kia- Tu en es s�r?
Ka�- Sa parait que tÕas pas tat� mes jambes!
Kia- Quand est-ce que je pourrais le faire?
Ka�- P-tre quand tu auras attach� ta chemise...
Kia- Mais comment veux-tu que je fasse, on est dans les airs.
Ka�- Arrange toi parce que le dernier bouton attach� nÕest plus!
Kia- Comment tu sais sa?
Ka�- Je lÕai senti craquer dans mon dos et apr�s, je me suis senti bien.
Kia- Ah, arr�te moi sa!
Ka�- Finalement je vais opter pour le bas!
Kia- De quoi le bas?
Ka�- Accroche toi et essaye de ne pas mÕ�trangler!
Kia- Parce que jÕtÕ�tranglais?
Ka�- CÕest partit!
Il se donna une pouss�e avec les bras, assoma la bonhomme qui attendait son argent � la fen�tre avec un coup de pied et sÕorienta de mani�re � toucher le sol avec ses pieds en premier. Puis il toucha terre.
Kia- Est-ce que �a va?
Ka�- Sa irait mieux si tu me lachais!
Elle descendit.
Kia- Vraiment merci, sa fait 3 fois en deux jours que tu me sauves la vie, comment pourrais-je te remercier?
Ka�- Suis-moi et parle moins fort!
D,abord, ils fil�rent aussi loin que leur jambes le leur permirent, ils �taient � la m�me place que la veille quand Ka� sÕarr�ta. La nuit �tait en train de tomber.
Kia-Comment est-ce que je nÕai pas pu trouver sa beau hier?
Ka�- Je sais pas. Mais pÕtre devrais-tu attach� cette chemise.
Kia- Oui, mais...
Ka�- Quoi?
Kia- Une seconde!
Elle attache la chemise de mani�re � cacher sa poitrine puis elle se tourna vers Ka�, elle releva sa blouse pour lui laisser voir sa taille. Ka� sentit son estomac se nouer. Il d�tourna le regard. Elle nÕavait que la peau sur les os, il avait pu conter ses c�tes.
Kia- Ka�, regarde moi! Est-ce que je te donne envie de vomir?
Il la ragarda, ses bras �taient d�charn�s, elle portait une jupe a taille basse, il pouvait voir le d�but des os de ses hanches qui d�passaient de sa peau. Dans ses bras et ses jambes, il nÕy avait que des muscles.
Ka�- Kia,je ... comment te dire?
Kia- Sois franc!
Ka�- Daccord, sa me rend malade de te voir comme �a...
Kia- Tu vois? Je suis laide a faire peur!
Ka�- Non, vois-tu? Sa me rend malade, mais malade dÕinqui�tude.
Elle sÕapprocha de lui, prit les mains du jeune homme et les mit autour de sa taille.
Kia- Sa ne te d�goutte pas, sa ?
Ka� d�glutit, il fesait le tour de sa taille uniquement avec ses deux mains et il avait du leste entre ses mains. Il ne sentait aucune chair sous ses doigts.
Ka� - Arr�te, je ne suis pas d�gout� du tout.
Kia-Mais de quoi as-tu peur?
(retirant ses mains)
Ka�- De ce qui pourrait tÕarriver maintenant.
Kia- Bien s�r!
Ka�- Depuis combien de temps tu te drogue?
Kia- Deux ans.
Ka�- Dit moi quÕil nÕest pas trop tard pour que tu arr�tes?
Kia- Non, il nÕest jamais trop tard. Mais pourquoi jÕarr�terais?
Ka�- Pour toi, pour te sauver!
Kia- Et si jÕen ai pas envie?
Ka�- Arr�te moi sa!
Kia- Mais a quoi sa rime, tu ne mÕaimes m�me pas, tu nÕaime personne!
Ka�- Ah oui !
Il lÕattrapa par les �paules( faut comprendre quÕil en a marre de paniquer chaque fois quÕil la prend dans ses bras par la taille.) il la serra contre lui pour se graver son odeur en m�moire et il lÕembrassa.
Pas pour la contredire ou pour dire quÕil lÕaimait, parce quÕil en avait besoin. Jamais auparavant il ne sÕ�tait senti si proche de quelquÕun, jamais auparavant il avait �t� si loin avec quelquÕun, jamais il nÕavait tant d�sirer quelque chose. Jamais il ne sÕ�tait senti aussi bien que quand cette douce chaleur qui �tait le v�ritable amour lÕenvahie. Jamais il n,aurait cru quÕil puisse tant aimer une personne. Non, jamais, jamais il nÕaurait pens� quÕil puisse se sentir aussi bien, aussi libre, une fois quÕil eut d�clarer ses sentiments, parce que venant de Ka� cÕ�tait une v�ritable d�claration dÕamour.
Le moment avait �t� magique et ni lÕun ni lÕautre ne lÕoublirait jamais. Tout deux avait compris quÕils sÕaimaient et que ce serait leur premier et suremnt leur dernier amour. Enfin ils lÕ�sp�raient. Maintenant leurs probl�mes leur semblait nÕ�tre rien. Ils avaient la vie devant eux pour les r�gler et la vie cÕest plus quÕasser pour r�gler des probl�mes. Il se recula troubl�.
Kia- Attends une seconde! Tu veux dire que tu, toi, tu ... tÕas r�ussi �..
Ka�- CÕest pas plus grave, alors, sa serait arriv� un jour ou lÕautre.
Kia- Attends, je tÕaimes et...
Ka�- Je tÕaimes, tu es contente?
Elle lui sauta au cou et lui tomba au sol.
Kia- QuÕest-ce quÕil y a?
Ka� Je fatigues, cÕest tout.
Kia- Tu es s�r que tu ne tÕais pas cass� quelque chose en tombant de lÕimmeuble?
Ka�- Je nÕai rien, depuis quand tu tÕinqui�te pour moi?
Kia- Depuis que tu tÕinqui�tes poour moi!
Ka�- Alors promet moi de ne plus jamais prendre de drogue.
Kia- DÕaccord et je te promet de reprendre tout le poids que je pourrais.
Ka�- Merci! Maintenant, il vaudrait mieux rentrer.
Elle sÕapprocha de lui et passa sa main le long àde sa joue et de son cou. Il fr�mit.
Kia- Et si on dormait ici?
Ka�- A sa s�rement pas!
Il se d�gagea, il y avait d�j� asser quÕil lÕavait embrass�.
Kia- Pourquoi pas?
Ka�- Aller viens, jÕte raccompagne!
Kia- CÕest moi qui te racompagne!
Ka�- TÕes pas asser lucide pour rentrer toute seule!
Kia- Ne tÕinqui�te pas pour sa! (en faisant un cin dÕoeil)
Ka�- Alors j,ai de quoi , inqui�ter!
Rendu devant la maison occup� par les membres de lÕ�quipe de Ka�.
Kia- CÕest dommage que j,ai pas de toupie, maintenant je vais devoir lacher le Beyblade.
Ka�- Sa me fait penser (fouille dans une de ses poches)
(les gars sont derri�re la fen�tre, parce que se nÕleur tente pas de manger une autre porte)
Il lui tendit sa toupie.(celle de Kia)
Kia- Comment as-tu?
Ka�- Illusion dÕoptique durant le match !
Kia- Et tu me lÕas donne que maintenant?
Ka�- Mieux vaut tard que jamais!
Elle esquissa un mouvement pour le frapper de son bracelet, mais il para de lÕaileron.
Kia- Pour demain?
ÔKa�- Pointe toi la semaine prochaine au lac, � cinq heures.
Kia- Le lundi?
Ka�- Tant quÕtÕes en �tat.
(derri�re la fen�tre)
(Max- Il parle vraiment plus que dÕhabitude!
Ray- CÕest � cause de cette fille!
Tys- Pourquoi cÕest juste lui qui attire les filles?
(elle est venue chercher Kia)
Ryta- Parce quÕil a de la classe!
Ray serra les poings, elle lui jeta un regard empreint de douceur et il baissa les yeux.
Tys- Je vois clair dans votre pÕtit jeu hen!)
La porte claqua et Kia apparu dans lÕembrasure de la porte du petit salon.
Kia- Tes copains ne savent vraiment pas se tenir.
(qui sÕ�tait accot� sur le mur, les bras crois�)
Ka�- Ce sont pas mes copains!
Kia- Dommage (elle embrassa Kenny et Max sur la joue et Ray sur le front) y en a qui en vaudrait vraiment la peine.
Tys- Et moi?
Kia- Pauvre chou(elle lui fit un clin dÕoeil)!
Ryta- Sa fait une heure que jÕtÕattends!
Kia- TÕas pas lÕair fach� dÕavoir nouer connaissance avec eux!
Tys- Et moi??? ( lÎes larmes aux yeux)
Elle sortit(Kia)un muffin de son soutien gorge, par cons�quent de sous sa chemise, et lui lan�a.
Tys- Merchi (les yeux brillants de joie et de petites �toiles)
Ryta- QuÕest-ce que tu faisais?
Kia- Tu devrais dire quÕest-ce que je vas faire.
Ryta- OK! QuÕest-ce que tu vas faire?
Kia- Je vais garder le meilleur pour la fin!
Elle se tourna vers Ka�.
Kia- Hen, mon chou?
Ka�- Attends une seconde!
Elle lui �carta les bras, le serra contre elle et lÕembrassa avec fougue. Ce fut par r�flexe quÕil lui rendit son baiser en refermant ses bras sur elle. Apr�s...
Ka�- Bon, tÕes contente?
Kia- Oui, tu vois Ryta, maintenant tu sais ce que jÕai fait!
TLA- Ouans Ka�, tu nous en caches des bonnes!
Ka�- CÕest nÕimporte quoi!
A suivre...
Ka�-JÕsus pas ton cin�plex!
A ses mots il quitta la pi�ce.
Kia- Attends une seconde! Tu vas pas te facher pour sa?
Elle le suivit nas lÕautre pi�ce.
Ryta- Celle l�, a toujours su comment parler au gens!
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Tys-Ah oui? Pour de vrai?
Max- Elle fait ce lÕironie Tyson!
Tys- Ah bon! CÕest quoi de lÕironie?
Ray- Laisse tomber pour le moment tu veux?
Tys- OK!
De lÕautre cot� du mur, car voyez-vous Ka� ( qui est avec Kia) est dans le couloir � cot� du salon. Le jeune Russe avait plaqu� son amie au mur. Il lui murmura � lÕoreille:
-�coute, ce quÕil y a eux entre nous 2 durant les deux derniers jours tu le gardes pour toi!
Il parlait tellement bas que les gars et Ryta^_^ qui essayent dÕ�couter de lÕautre bord nÕont rien entendu. Si on revient dans le couloir on constate que Kia a planqu� son copain sur lÕautre mur du couloir. Elle lui chuchota � son tour:
-Je dis ce que je veux � qui je veux. Et ne me fais plus jamais sa ! (Bon, elle a crier la deuzi�me phrase)
Pendant que Kia cri ses mains font se quÕelles veulent et se nÕest pas forc�ment des choses tr�s correct alors:
(Nous interrompons se programme pour un flash de nouvelle sur le salon des Bleadbreakers)ZÿÿNò DSET�ÿÿ .Hÿÿÿÿÿÿ#è ò¦¦Ð� %òÿÿ6ÿÿ* ¦Ð�DSET&Os lash;ÿÿ.Hÿÿÿÿÿ&yum l;ÿÿ#θ �¦òÿÿ ¦LòÿÿL òòÿÿò
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CÕest les repr�sailles!
Il se laissa tomber sur son lit.*Mais qu,est-ce quÕil avait? IL sÕ�tait mis a la critiquer avec autant dÕardeur que sÕil se serait sÕagit de Tala. Oui, il d�testait Tana, mais elle?
Ka�- Kia? (dans un murmure)
Pourquoi est-ce que cÕ�tait si dur pour lui dÕaccepter quÕil ne la d�testait pas, loin de l�, au contraire? Il avait pleurer parce quÕil avait peur. Peur pour elle, peur dÕelle, peur pour son futur... Si elle piquait une overdose et passait dans lÕautre monde, il deviendrait plus froid que le plus froid des hivers de Russie.
Elle avait fait fondre tout le froid en lui, son regard, elle avait fait fondre son coeur, sa carapace, tout. Elle �tait plus maigre quÕun cadavre et cela lui avait fait peur avant tout. Blanche comme drap, un visage dÕune douceur infinie marqu� par dÕune peine incroyable. Elle ne casserait pas au vent mais, elle gardait tout ses sentiments de lÕint�rieur et son corps les ext�riorisait en maigrissant. DÕabord sa tailles, ses cuisses, sa poitrine, puis elle deviendrait un tas dÕ os ambulant. Le moindre rhume pourrait la tu� d�s lors.
Il nÕausait pas imaginer par quoi elle �tait passer pour se donner sa drogue. La moindre peine lui ferait glisser la main. 1g de plus, puis un autre et eocre jusquÕa ce quÕelle atteigne la limite et alors lÕoverdose... Il lÕavait brusqu� pour lui faire comprendre le danger quÕelle courait. Il voudait lÕaider a arr�ter. Pourquoi avait-il besoin de ce justifier?
Ka� sourit, son grand-p�re avait r�ussi lÕimpossible. Il savait que cÕ�tait lui qui avait arrang� son couple avec Kia. Le vieillard ne pouvait faire dispara�tre des jeunes �ternellement. ALors son �cole lui en ferait!
Ce nÕ�tait pas pour quÕil s§ache quÕil y avait des filles ou que les gars puissent leur parler et savoir comment se tenir av ec en soci�t�. On les habituaient lÕun a lÕautre durant quelques ann�es, il les faisaient devenir c�l�bre chacun de leur cot� et apr�s, quand enfin ils se retrouvaient, on signait les papiers et on f�tait le mariage, les enfants ne tardaient pas a suivre. Quand il en avait asss� pour la g�n�ration suivante, les beybladeurs devenaient des joueurs l�gendaires qui disparaissaient myst�rieusement du jour au lendemain.
Ka� avait dit quÕil ne se laissserait pas prendre. Mais il �tait r�ellement tomber amoureux. �tant trop dur, il avait fill� devant les avance de la jeune fille. Oui, il savait parfaitement se qui lui arrivait. Mais il avait pris une heure pour analyser la situation et la comprendre. En Bayblade, 1 seconde lui suffisait. Il sÕassit, mais ses �paules s,affais�rent.. Il sera les poings et se redressa. Il devait avoirÊ asser de temps pour lÕaider. LÕaider a partir dÕaujourdÕhui!
Elle courait dnas le vent, serrant le ballot noir contre sa poitrine, elle regarda � droite, � gauche, elle remit ses bracelets dÕor et sÕavan�a vers un restaurants. Elle avait les larmes aux yeux. Hier, il avait pleurer pour elle, � cause dÕelle, il tenait donc � elle, mais il lÕavait traiter de tout les noms, est-ce quÕil devenait humain le soir uniquement et que le reste du temps il ne parlait a personne, sauf pour les abaisser? Et ne se fiait quÕ� lui et � sa toupie?
Le Russe avait raison, elle �tait maigre a faire peur. Elle le remarqua en se voyant dans une vitrine. Maigre, elle plus jamais! Droqu�e, elle, plus jamais? Pour que Ka� soit fier, pour quÕil lui sourit. Elle allait les prendres ses 10 livres. Mais elle n,en pesait que 60 et encore la cÕ�tait gr�ce a ses os forts.60 livres en une journ�e. CÕ�tait fesable. Mais il fallait de lÕargent et pour avoir de lÕargent... Elle frissonnáa. Elle filla au restaurant.
Kia- Pense � son sourire, pense � son sourire...
Ray �tait dna la cuisine quand il vit Tyson arriver.
Ray- Eh, je voudrais manger se que jÕai pr�parer, alors tu restes hors de ma cuisine!
Tys- Mais?
Max- Moi, je peux entrer?
Ken- Et moi?
Ray- Bien s�r! QuÕest-ce que vous croyez que je vais tous vous laisser mourrir de faim?
Tys- Et moi? (les larmes au yeux)
Ray- Si je te laisse entrer, on va mourir de faim!
Et il ferma la porte sur un Tyson en pleurs. Celui-ci entendit des bruits dans la salle dÕentrainement. Il descendit voir. CÕ�tait Ka�.
Sa toupie faisait des cercles autour de lui tandis que le sol �tait couvert de toutes les toupies que le jeune homme avait pu trouver. Des lanceurs �taient install�s sur les murs, au plafond, dans la plancher. Ka� �tait encercl�.
Tys- Est-ce que tu veux que je...
Ka�- La FERME!
DÕun mouvement du poignet il fit rebondir sur le mur un des projectile,spuis du pied, de lÕaileron. Gauche, droite, haut, baîs. Pendant ce temps Dranzer d�truisait toutes les toupies quÕil y avait sur le sol. Celui- l�, il avait profit� dÕelle, lui sÕ�tait son grand-p�re. Bientot il ne restat quÕune rang�e de 20 toupies au sol. Les autres gars qui voulait Kia. Et celui l�, devant les autres, Tana!
Ka�- Dranzer!!!
Le spectre ail� apparue dans toue sa splendeur et calcina les toupies align�es.
Ka�- Dranzer!
Une boule de feu �mergea de la toupie et se lan�a sur Ka�.
Tyson avait jusque l� regarder m�duser, mais alors il vit que Ka� ne chercherait pas � �viter lÕattaque. Ka� croisait les bras atendant la balle de feu. Il se prot�gea le visage de ses mains et les flammes vinrent se m�ler a sa silhouette.
La toupie bleue fon�a, fit un saut et suivit une trajectoire rectiligne visant le coeur de Ka�.
Il veux se tuer, pensa Tyson.
Mais alors Ka� �mergea des falmmes en un morceau, aucu de ces v�tementsbrul�, aucun de ses cheveux roussis. La toupie du jeune Russe tournait sous le feu qui sÕ�tint, puis la toupie allöa dans la main de Ka�.
Tys- Comment tÕas fait?
Ka�- QuÕen dis-tu?
Tys- Tu fiche ben des probl�mes avec cette fille mais tu en vaux la peine!
Ka�- Bon, salut!
Tys- O� tu vas?
Ka�- Manger.
Tys- Quoi? (les larmes remont�rent a ses yeux)
Ka� eut un sourire mauvais.
Ka�- ALors, bon app�tit!
Tyson tomba au sol en larme, frappant le sol de ses poings et de ses pieds.
Ray- Tu viens manger?
Ka�- YÕa un probl�me? (Ray fit non de la t�te)
Il avala son repad et sortit pr�textant, ne pr�textant rien du tout, de quoi aurait-il a sÕexpliquer?
Ken- Il retourne voir cette fille?
Max- Tu penses quÕil va sÕexcuser?
Tys- Lui jamais, regarde sa!
Kenny vit alors le film de Ka� durant son entrainement .
Ken- Tu as raison.
Ray- JÕesp�re juste quÕil sait ce quÕil fait.
Elle avait propos� ses services � un client qui lui rapportait beaucoup. Mais apr�s le massage dorsal et abdominal, lÕhomme lÕ avait attrap� par la taille et lui glissa quÕil voulait plus ce jour-l�. Elle comprit. Si Ka� nÕavait pas �t� úsi fier ou si peu s�r de lui.
Elle ne voulait pas une premi�re fois avec quelquÕun quÕelle ne connaissait pas. Elle avait vis� Ka�, lui et personne dÕautre. Mais elle n,avait pas un sou et c,est comme sa quÕelle wn aurait.
Kia- Dans ce cas, je vous propose de rajouter un 20 $.
Gars- CÕest ta premi�re fois?
Kia- Oui .
Gars- Sa vaut un suppl�ment de 49 $ ou 60 $ et pÕtre un 20 de plus pour un plaisir parfait.
D�j� il d�boutonnait la chemise de la jeune fille. Non, elle ne voulait pas. Elle aurait voulu que ce soit Ka� devant elle, pas se gros hommes qui pesait au moinns 300 lbs. Elle avait choisi Ka� et personne dÕautre.
Kia- Vous pouvez me payer tout de suite?
Gars- OK tiens 120 $, mais tu ferais mieux dÕ�tre bien roul�e.
Elle prit le 120$ et fit un bond par la fen�tre quÕelle traversa dÕun coup de pied. Sa chemise dont les manches �taient presques arrach�es ne tenait quÕa un bouton. Elle portait une jupe serr� mais restait fort agile. Mais la hauteur �tait trop grande pour quÕelle retombe sur cýes pieds. Ele allait mourir, mais elle mourait sans crier! Au moins, elle devait sa � Ka�.
(de sa fen�tre)
Gars- belle conasse!
(des airs)
Kia-L�che!
Ka�- Kia?
Il lÕavait entendu crier, mais ou �tait-elle? Par l�? Oui, par l�! Il partit � la course.
Elle allait bient�t sÕ�craser sur le sol. Elle le voyait qui se rapprochait, beaucoup trop vite a son go�t.
Ka� arriva dans la rue o� elle chutait, il lÕapre�ut.
Ka�- Non, mais elle est folle!
Il se pr�cipita et lÕattrapa de justesse. Il tressaillit en sentant sa l�g�ret� et la maigreur de sa taille. Elle avait voulu Ka� et elle lÕavait , elle se jeta dans ses bras.
LÕhomme voyant quÕil pourrait r�cup�rer son argent fon�a vers la rue en d�valant son escalier.
Kia- Toi et personne dÕautre, personne dÕautre, non,personne dÕautre!
Ka� rougit l�g�rement en comprenant de quoi elle voulait parler.
Ka�- Non, Kia, personne dÕautre, juste toi et moi!(avec une infinie douceur dans la voix )
Il la serra a son tour contre lui. Non, personne dÕautre!
Gars- Ehþ, la garce!
Kia leva un visage remplit de larme.
Kia- Toi, personne dÕautre. (elle serra Ka� plus fort contre elle)
Il se sentit presque �touffer, jamais il nÕaurait soupconner quÕelle serait si forte.
Mais le bonhomme approchait et il �tait un peu grand pour Ka�.
Ka� regarda Kia, les billets dÕargent, lÕhomme qui sÕapprochait, la chemise presque compl�tement d�tach� de la jeune fille.
Kia- Toi, personne dÕautre.
Ka�- Sa va! JÕai compris, allez viens, on va sÕen sortir.
Ils partirent a la course et r�ussirent � �chapper au tas de graisse, sauf la manche de Kia que le bonhomme lui arracha.
Ka�- Tant que la chemise ne vient pas avec!
Elle lui sourit, puis il lui montra son dos, elle sÕaccrocha � son cou et il se jeta daa sles airs pour sÕaccrocher � une lierre de feuille qui grimpait sur un immeuble.
Kia- Dis donc, il nous suit par lÕascenseur!
Ka�- Alors accroche toi!
Il se mit a grimper le long des ronces qui courrait sur le mur.
Kia- Tes pieds glissent?
Ka�- Je nÕai aucune prise, mais ce nÕÿai pas grave!
Kia- Tu ne vas pas saut� en haut?
Ka�- Tu as bien saut� en bas moi je compte aller un peu plus loin.
Kia- Et le poid, y sera pas un peu trop lourd?
Ka�- Fais 130 lbs plus ton poids.
Kia- 190!
Ka�- Tu p�ses vraiment que �a? OK, se sera facile!
Kia- Tu en es s�r?
Ka�- Sa parait que tÕas pas tat� mes jambes!
Kia- Quand est-ce que je pourrais le faire?
Ka�- P-tre quand tu auras attach� ta chemise...
Kia- Mais comment veux-tu que je fasse, on est dans les airs.
Ka�- Arrange toi parce que le dernier bouton attach� nÕest plus!
Kia- Comment tu sais sa?
Ka�- Je lÕai senti craquer dans mon dos et apr�s, je me suis senti bien.
Kia- Ah, arr�te moi sa!
Ka�- Finalement je vais opter pour le bas!
Kia- De quoi le bas?
Ka�- Accroche toi et essaye de ne pas mÕ�trangler!
Kia- Parce que jÕtÕ�tranglais?
Ka�- CÕest partit!
Il se donna une pouss�e avec les bras, assoma la bonhomme qui attendait son argent � la fen�tre avec un coup de pied et sÕorienta de mani�re � toucher le sol avec ses pieds en premier. Puis il toucha terre.
Kia- Est-ce que �a va?
Ka�- Sa irait mieux si tu me lachais!
Elle descendit.
Kia- Vraiment merci, sa fait 3 fois en deux jours que tu me sauves la vie, comment pourrais-je te remercier?
Ka�- Suis-moi et parle moins fort!
D,abord, ils fil�rent aussi loin que leur jambes le leur permirent, ils �taient � la m�me place que la veille quand Ka� sÕarr�ta. La nuit �tait en train de tomber.
Kia-Comment est-ce que je nÕai pas pu trouver sa beau hier?
Ka�- Je sais pas. Mais pÕtre devrais-tu attach� cette chemise.
Kia- Oui, mais...
Ka�- Quoi?
Kia- Une seconde!
Elle attache la chemise de mani�re � cacher sa poitrine puis elle se tourna vers Ka�, elle releva sa blouse pour lui laisser voir sa taille. Ka� sentit son estomac se nouer. Il d�tourna le regard. Elle nÕavait que la peau sur les os, il avait pu conter ses c�tes.
Kia- Ka�, regarde moi! Est-ce que je te donne envie de vomir?
Il la ragarda, ses bras �taient d�charn�s, elle portait une jupe a taille basse, il pouvait voir le d�but des os de ses hanches qui d�passaient de sa peau. Dans ses bras et ses jambes, il nÕy avait que des muscles.
Ka�- Kia,je ... comment te dire?
Kia- Sois franc!
Ka�- Daccord, sa me rend malade de te voir comme �a...
Kia- Tu vois? Je suis laide a faire peur!
Ka�- Non, vois-tu? Sa me rend malade, mais malade dÕinqui�tude.
Elle sÕapprocha de lui, prit les mains du jeune homme et les mit autour de sa taille.
Kia- Sa ne te d�goutte pas, sa ?
Ka� d�glutit, il fesait le tour de sa taille uniquement avec ses deux mains et il avait du leste entre ses mains. Il ne sentait aucune chair sous ses doigts.
Ka� - Arr�te, je ne suis pas d�gout� du tout.
Kia-Mais de quoi as-tu peur?
(retirant ses mains)
Ka�- De ce qui pourrait tÕarriver maintenant.
Kia- Bien s�r!
Ka�- Depuis combien de temps tu te drogue?
Kia- Deux ans.
Ka�- Dit moi quÕil nÕest pas trop tard pour que tu arr�tes?
Kia- Non, il nÕest jamais trop tard. Mais pourquoi jÕarr�terais?
Ka�- Pour toi, pour te sauver!
Kia- Et si jÕen ai pas envie?
Ka�- Arr�te moi sa!
Kia- Mais a quoi sa rime, tu ne mÕaimes m�me pas, tu nÕaime personne!
Ka�- Ah oui !
Il lÕattrapa par les �paules( faut comprendre quÕil en a marre de paniquer chaque fois quÕil la prend dans ses bras par la taille.) il la serra contre lui pour se graver son odeur en m�moire et il lÕembrassa.
Pas pour la contredire ou pour dire quÕil lÕaimait, parce quÕil en avait besoin. Jamais auparavant il ne sÕ�tait senti si proche de quelquÕun, jamais auparavant il avait �t� si loin avec quelquÕun, jamais il nÕavait tant d�sirer quelque chose. Jamais il ne sÕ�tait senti aussi bien que quand cette douce chaleur qui �tait le v�ritable amour lÕenvahie. Jamais il n,aurait cru quÕil puisse tant aimer une personne. Non, jamais, jamais il nÕaurait pens� quÕil puisse se sentir aussi bien, aussi libre, une fois quÕil eut d�clarer ses sentiments, parce que venant de Ka� cÕ�tait une v�ritable d�claration dÕamour.
Le moment avait �t� magique et ni lÕun ni lÕautre ne lÕoublirait jamais. Tout deux avait compris quÕils sÕaimaient et que ce serait leur premier et suremnt leur dernier amour. Enfin ils lÕ�sp�raient. Maintenant leurs probl�mes leur semblait nÕ�tre rien. Ils avaient la vie devant eux pour les r�gler et la vie cÕest plus quÕasser pour r�gler des probl�mes. Il se recula troubl�.
Kia- Attends une seconde! Tu veux dire que tu, toi, tu ... tÕas r�ussi �..
Ka�- CÕest pas plus grave, alors, sa serait arriv� un jour ou lÕautre.
Kia- Attends, je tÕaimes et...
Ka�- Je tÕaimes, tu es contente?
Elle lui sauta au cou et lui tomba au sol.
Kia- QuÕest-ce quÕil y a?
Ka� Je fatigues, cÕest tout.
Kia- Tu es s�r que tu ne tÕais pas cass� quelque chose en tombant de lÕimmeuble?
Ka�- Je nÕai rien, depuis quand tu tÕinqui�te pour moi?
Kia- Depuis que tu tÕinqui�tes poour moi!
Ka�- Alors promet moi de ne plus jamais prendre de drogue.
Kia- DÕaccord et je te promet de reprendre tout le poids que je pourrais.
Ka�- Merci! Maintenant, il vaudrait mieux rentrer.
Elle sÕapprocha de lui et passa sa main le long àde sa joue et de son cou. Il fr�mit.
Kia- Et si on dormait ici?
Ka�- A sa s�rement pas!
Il se d�gagea, il y avait d�j� asser quÕil lÕavait embrass�.
Kia- Pourquoi pas?
Ka�- Aller viens, jÕte raccompagne!
Kia- CÕest moi qui te racompagne!
Ka�- TÕes pas asser lucide pour rentrer toute seule!
Kia- Ne tÕinqui�te pas pour sa! (en faisant un cin dÕoeil)
Ka�- Alors j,ai de quoi , inqui�ter!
Rendu devant la maison occup� par les membres de lÕ�quipe de Ka�.
Kia- CÕest dommage que j,ai pas de toupie, maintenant je vais devoir lacher le Beyblade.
Ka�- Sa me fait penser (fouille dans une de ses poches)
(les gars sont derri�re la fen�tre, parce que se nÕleur tente pas de manger une autre porte)
Il lui tendit sa toupie.(celle de Kia)
Kia- Comment as-tu?
Ka�- Illusion dÕoptique durant le match !
Kia- Et tu me lÕas donne que maintenant?
Ka�- Mieux vaut tard que jamais!
Elle esquissa un mouvement pour le frapper de son bracelet, mais il para de lÕaileron.
Kia- Pour demain?
ÔKa�- Pointe toi la semaine prochaine au lac, � cinq heures.
Kia- Le lundi?
Ka�- Tant quÕtÕes en �tat.
(derri�re la fen�tre)
(Max- Il parle vraiment plus que dÕhabitude!
Ray- CÕest � cause de cette fille!
Tys- Pourquoi cÕest juste lui qui attire les filles?
(elle est venue chercher Kia)
Ryta- Parce quÕil a de la classe!
Ray serra les poings, elle lui jeta un regard empreint de douceur et il baissa les yeux.
Tys- Je vois clair dans votre pÕtit jeu hen!)
La porte claqua et Kia apparu dans lÕembrasure de la porte du petit salon.
Kia- Tes copains ne savent vraiment pas se tenir.
(qui sÕ�tait accot� sur le mur, les bras crois�)
Ka�- Ce sont pas mes copains!
Kia- Dommage (elle embrassa Kenny et Max sur la joue et Ray sur le front) y en a qui en vaudrait vraiment la peine.
Tys- Et moi?
Kia- Pauvre chou(elle lui fit un clin dÕoeil)!
Ryta- Sa fait une heure que jÕtÕattends!
Kia- TÕas pas lÕair fach� dÕavoir nouer connaissance avec eux!
Tys- Et moi??? ( lÎes larmes aux yeux)
Elle sortit(Kia)un muffin de son soutien gorge, par cons�quent de sous sa chemise, et lui lan�a.
Tys- Merchi (les yeux brillants de joie et de petites �toiles)
Ryta- QuÕest-ce que tu faisais?
Kia- Tu devrais dire quÕest-ce que je vas faire.
Ryta- OK! QuÕest-ce que tu vas faire?
Kia- Je vais garder le meilleur pour la fin!
Elle se tourna vers Ka�.
Kia- Hen, mon chou?
Ka�- Attends une seconde!
Elle lui �carta les bras, le serra contre elle et lÕembrassa avec fougue. Ce fut par r�flexe quÕil lui rendit son baiser en refermant ses bras sur elle. Apr�s...
Ka�- Bon, tÕes contente?
Kia- Oui, tu vois Ryta, maintenant tu sais ce que jÕai fait!
TLA- Ouans Ka�, tu nous en caches des bonnes!
Ka�- CÕest nÕimporte quoi!
A suivre...
Ka�-JÕsus pas ton cin�plex!
A ses mots il quitta la pi�ce.
Kia- Attends une seconde! Tu vas pas te facher pour sa?
Elle le suivit nas lÕautre pi�ce.
Ryta- Celle l�, a toujours su comment parler au gens!
Î
Tys-Ah oui? Pour de vrai?
Max- Elle fait ce lÕironie Tyson!
Tys- Ah bon! CÕest quoi de lÕironie?
Ray- Laisse tomber pour le moment tu veux?
Tys- OK!
De lÕautre cot� du mur, car voyez-vous Ka� ( qui est avec Kia) est dans le couloir � cot� du salon. Le jeune Russe avait plaqu� son amie au mur. Il lui murmura � lÕoreille:
-�coute, ce quÕil y a eux entre nous 2 durant les deux derniers jours tu le gardes pour toi!
Il parlait tellement bas que les gars et Ryta^_^ qui essayent dÕ�couter de lÕautre bord nÕont rien entendu. Si on revient dans le couloir on constate que Kia a planqu� son copain sur lÕautre mur du couloir. Elle lui chuchota � son tour:
-Je dis ce que je veux � qui je veux. Et ne me fais plus jamais sa ! (Bon, elle a crier la deuzi�me phrase)
Pendant que Kia cri ses mains font se quÕelles veulent et se nÕest pas forc�ment des choses tr�s correct alors:
(Nous interrompons se programme pour un flash de nouvelle sur le salon des Bleadbreakers)ZÿÿNò DSET�ÿÿ .Hÿÿÿÿÿÿ#è ò¦¦Ð� %òÿÿ6ÿÿ* ¦Ð�DSET&Os lash;ÿÿ.Hÿÿÿÿÿ&yum l;ÿÿ#θ �¦òÿÿ ¦LòÿÿL òòÿÿò
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