Beyblade Fan Fiction ❯ Le coeur solitaire ❯ Another one ( Chapter 3 )
[ P - Pre-Teen ]
By: Guardiana 
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Anime/Manga: Beyblade Fan Fiction | Genre(s): Romance | Type: Other | Uploaded On: 03.15.2004 | Pages: 13 | Words: 6.3K | Visits: 192 | Status: Work In Progress
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Anime/Manga: Beyblade Fan Fiction | Genre(s): Romance | Type: Other | Uploaded On: 03.15.2004 | Pages: 13 | Words: 6.3K | Visits: 192 | Status: Work In Progress
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CÕest les reprŽsailles!
Il se laissa tomber sur son lit.*Mais qu,est-ce quÕil avait? IL sÕŽtait mis a la critiquer avec autant dÕardeur que sÕil se serait sÕagit de Tala. Oui, il dŽ testait Tana, mais elle?
Ka•- Kia? (dans un murmure)
Pourquoi est-ce que cÕŽtait si dur pour lui dÕaccepter quÕil ne la dŽtestait pas, loin de lˆ, au contraire? Il avait pleurer parce quÕil avait peur. Peur pour elle, peur dÕelle, peur pour son futur... Si elle piquait une overdose et passait dans lÕautre monde, il deviendrait plus froid que le plus froid des hivers de Russie.
Elle avait fait fondre tout le froid en lui, son regard, elle avait fait fondre son coeur, sa carapace, tout. Elle Žtait plus mai gre quÕun cadavre et cela lui avait fait peur avant tout. Blanche comme drap, un visage dÕune douceur infinie marquŽ par dÕune peine incroyable. Elle ne casserait pas au vent mais, elle gardait tout ses sentiments de lÕintŽrieur et son corps les extŽriorisait en maigrissant. DÕabord sa tailles, ses cuisses, sa poitrine, puis elle deviendrait un tas dÕ os ambulant. Le moindre rhume pourrait la tuŽ ds lors.
Il nÕausait pas imaginer par quoi elle Žtait passer pour se donner sa drogue. La moindre peine lui ferait glisser la main. 1g de plus, puis un autre et eocre jusquÕa ce quÕelle atteigne la limite et alors lÕoverdose... Il lÕavait brusquŽ pour lui faire comprendre le danger quÕelle courait. Il voudait lÕaider a arrter. Pourquoi avait-il besoin de ce justifier?
Ka• sourit, son grand-pre avait rŽussi lÕimpossible. Il savait que cÕŽtait lui qui avait arrangŽ son couple avec Kia. Le vieillard ne pouvait faire dispara”tre des jeunes Žternellement. ALors son Žcole lui en ferait!
Ce nÕŽtait pas pour quÕil s §ache quÕil y avait des filles ou que les gars puissent leur parler et savoir comment se tenir av ec en sociŽtŽ. On les habituaient lÕun a lÕautre durant quelques annŽes, il les faisaient devenir cŽlbre chacun de leur cotŽ et aprs, quand enfin ils se retrouvaient, on signait les papiers et on ftait le mariage, les enfants ne tardaient pas a suivre. Quand il en avait asssŽ pour la gŽnŽration suivante, les beybladeurs devenaient des joueurs lŽgendaires qui disparaissaient mystŽrieusement du jour au lendemain.
Ka• avait dit quÕil ne se laissserait pas prendre. Mais il Žtait rŽellement tomber amoureux. ƒtant trop dur, il avait fillŽ devant les avance de la jeune fille. Oui, il savait parfaitement se qui lui arrivait. Mais il avait pris une heure pour analyser la situation et la comprendre. En Bayblade, 1 seconde lui suffisait. Il sÕassit, mais ses Žpaules s,affaisrent.. Il sera les poings et se redressa. Il devait avoir Ê asser de temps pour lÕaider. LÕaider a partir dÕaujourdÕhui!
Elle courait dnas le vent, serrant le ballot noir contre sa poitrine, elle regarda ˆ droite, ˆ gauche, elle remit ses bracelets dÕor et sÕavana vers un restaurants. Elle avait les larmes aux yeux. Hier, il avait pleurer pour elle, ˆ cause dÕelle, il tenait donc ˆ elle, mais il lÕavait traiter de tout les noms, est-ce quÕil devenait humain le soir uniquement et que le reste du temps il ne parlait a personne, sauf pour les abaisser? Et ne se fiait quÕˆ lui et ˆ sa toupie?
Le Russe avait raison, elle Žtait maigre a faire peur. Elle le remarqua en se voyant dans une vitrine. Maigre, elle plus jamais! DroquŽe, elle, plus jamais? Pour que Ka• soit fier, pour quÕil lui sourit. Elle allait les prendres ses 10 livres. Mais elle n,en pesait que 60 et encore la cÕŽtait gr‰ce a ses os forts.60 livres en une journŽe. CÕŽtait fesable. Mais il fallait de lÕargent et pour avoir de lÕargent... Elle frissonn áa. Elle filla au restaurant.
Kia- Pense ˆ son sourire, pense ˆ son sourire...
Ray Žtait dna la cuisine quand il vit Tyson arriver.
Ray- Eh, je voudrais manger se que jÕai prŽparer, alors tu restes hors de ma cuisine!
Tys- Mais?
Max- Moi, je peux entrer?
Ken- Et moi?
Ray- Bien sžr! QuÕest-ce que vous croyez que je vais tous vous laisser mourrir de faim?
Tys- Et moi? (les larmes au yeux)
Ray- Si je te laisse entrer, on va mourir de faim!
Et il ferma la porte sur un Tyson en pleurs. Celui-ci entendit des bruits dans la salle dÕentrainement. Il descendit voir. CÕŽtait Ka•.
Sa toupie faisait des cercles autour de lui tandis que le sol Žtait couvert de toutes les toupies que le jeune homme avait pu trouver. Des lanceurs Žtaient installŽs sur les murs, au plafond, dans la plancher. Ka• Žtait encerclŽ.
Tys- Est-ce que tu veux que je...
Ka•- La FERME!
DÕun mouvement du poignet il fit rebondir sur le mur un des projectile,spuis du pied, de lÕaileron. Gauche, droite, haut, ba îs. Pendant ce temps Dranzer dŽtruisait toutes les toupies quÕil y avait sur le sol. Celui- lˆ, il avait profitŽ dÕelle, lui sÕŽtait son grand-pre. Bientot il ne restat quÕune rangŽe de 20 toupies au sol. Les autres gars qui voulait Kia. Et celui lˆ, devant les autres, Tana!
Ka•- Dranzer!!!
Le spectre ailŽ apparue dans toue sa splendeur et calcina les toupies alignŽes.
Ka•- Dranzer!
Une boule de feu Žmergea de la toupie et se lana sur Ka•.
Tyson avait jusque lˆ regarder mŽduser, mais alors il vit que Ka• ne chercherait pas ˆ Žviter lÕattaque. Ka• croisait les bras atendant la balle de feu. Il se protŽgea le visage de ses mains et les flammes vinrent se mler a sa silhouette.
La toupie bleue fona, fit un saut et suivit une trajectoire rectiligne visant le coeur de Ka•.
Il veux se tuer, pensa Tyson.
Mais alors Ka• Žmergea des falmmes en un morceau, aucu de ces vtementsbrulŽ, aucun de ses cheveux roussis. La toupie du jeune Russe tournait sous le feu qui sÕŽtint, puis la toupie all öa dans la main de Ka•.
Tys- Comment tÕas fait?
Ka•- QuÕen dis-tu?
Tys- Tu fiche ben des problmes avec cette fille mais tu en vaux la peine!
Ka•- Bon, salut!
Tys- O tu vas?
Ka•- Manger.
Tys- Quoi? (les larmes remontrent a ses yeux)
Ka• eut un sourire mauvais.
Ka•- ALors, bon appŽtit!
Tyson tomba au sol en larme, frappant le sol de ses poings et de ses pieds.
Ray- Tu viens manger?
Ka•- YÕa un problme? (Ray fit non de la tte)
Il avala son repad et sortit prŽtextant, ne prŽtextant rien du tout, de quoi aurait-il a sÕexpliquer?
Ken- Il retourne voir cette fille?
Max- Tu penses quÕil va sÕexcuser?
Tys- Lui jamais, regarde sa!
Kenny vit alors le film de Ka• durant son entrainement .
Ken- Tu as raison.
Ray- JÕespre juste quÕil sait ce quÕil fait.
Elle avait proposŽ ses services ˆ un client qui lui rapportait beaucoup. Mais aprs le massage dorsal et abdominal, lÕhomme lÕ avait attrapŽ par la taille et lui glissa quÕil voulait plus ce jour-lˆ. Elle comprit. Si Ka• nÕavait pas ŽtŽ úsi fier ou si peu sžr de lui.
Elle ne voulait pas une premire fois avec quelquÕun quÕelle ne connaissait pas. Elle avait visŽ Ka•, lui et personne dÕautre. Mais elle n,avait pas un sou et c,est comme sa quÕelle wn aurait.
Kia- Dans ce cas, je vous propose de rajouter un 20 $.
Gars- CÕest ta premire fois?
Kia- Oui .
Gars- Sa vaut un supplŽment de 49 $ ou 60 $ et pÕtre un 20 de plus pour un plaisir parfait.
DŽjˆ il dŽboutonnait la chemise de la jeune fille. Non, elle ne voulait pas. Elle aurait voulu que ce soit Ka• devant elle, pas se gros hommes qui pesait au moinns 300 lbs. Elle avait choisi Ka• et personne dÕautre.
Kia- Vous pouvez me payer tout de suite?
Gars- OK tiens 120 $, mais tu ferais mieux dÕtre bien roulŽe.
Elle prit le 120$ et fit un bond par la fentre quÕelle traversa dÕun coup de pied. Sa chemise dont les manches Žtaient presques arrachŽes ne tenait quÕa un bouton. Elle portait une jupe serrŽ mais restait fort agile. Mais la hauteur Žtait trop grande pour quÕelle retombe sur c ýes pieds. Ele allait mourir, mais elle mourait sans crier! Au moins, elle devait sa ˆ Ka•.
(de sa fentre)
Gars- belle conasse!
(des airs)
Kia-L‰che!
Ka•- Kia?
Il lÕavait entendu crier, mais ou Žtait-elle? Par lˆ? Oui, par lˆ! Il partit ˆ la course.
Elle allait bient™t sÕŽcraser sur le sol. Elle le voyait qui se rapprochait, beaucoup trop vite a son gožt.
Ka• arriva dans la rue o elle chutait, il lÕapreut.
Ka•- Non, mais elle est folle!
Il se prŽcipita et lÕattrapa de justesse. Il tressaillit en sentant sa lŽgretŽ et la maigreur de sa taille. Elle avait voulu Ka• et elle lÕavait , elle se jeta dans ses bras.
LÕhomme voyant quÕil pourrait rŽcupŽrer son argent fona vers la rue en dŽvalant son escalier.
Kia- Toi et personne dÕautre, personne dÕautre, non,personne dÕautre!
Ka• rougit lŽgrement en comprenant de quoi elle voulait parler.
Ka•- Non, Kia, personne dÕautre, juste toi et moi!(avec une infinie douceur dans la voix )
Il la serra a son tour contre lui. Non, personne dÕautre!
Gars- Eh þ, la garce!
Kia leva un visage remplit de larme.
Kia- Toi, personne dÕautre. (elle serra Ka• plus fort contre elle)
Il se sentit presque Žtouffer, jamais il nÕaurait soupconner quÕelle serait si forte.
Mais le bonhomme approchait et il Žtait un peu grand pour Ka•.
Ka• regarda Kia, les billets dÕargent, lÕhomme qui sÕapprochait, la chemise presque compltement dŽtachŽ de la jeune fille.
Kia- Toi, personne dÕautre.
Ka•- Sa va! JÕai compris, allez viens, on va sÕen sortir.
Ils partirent a la course et rŽussirent ˆ Žchapper au tas de graisse, sauf la manche de Kia que le bonhomme lui arracha.
Ka•- Tant que la chemise ne vient pas avec!
Elle lui sourit, puis il lui montra son dos, elle sÕaccrocha ˆ son cou et il se jeta daa sles airs pour sÕaccrocher ˆ une lierre de feuille qui grimpait sur un immeuble.
Kia- Dis donc, il nous suit par lÕascenseur!
Ka•- Alors accroche toi!
Il se mit a grimper le long des ronces qui courrait sur le mur.
Kia- Tes pieds glissent?
Ka•- Je nÕai aucune prise, mais ce nÕ ÿai pas grave!
Kia- Tu ne vas pas sautŽ en haut?
Ka•- Tu as bien sautŽ en bas moi je compte aller un peu plus loin.
Kia- Et le poid, y sera pas un peu trop lourd?
Ka•- Fais 130 lbs plus ton poids.
Kia- 190!
Ka•- Tu pses vraiment que a? OK, se sera facile!
Kia- Tu en es sžr?
Ka•- Sa parait que tÕas pas tatŽ mes jambes!
Kia- Quand est-ce que je pourrais le faire?
Ka•- P-tre quand tu auras attachŽ ta chemise...
Kia- Mais comment veux-tu que je fasse, on est dans les airs.
Ka•- Arrange toi parce que le dernier bouton attachŽ nÕest plus!
Kia- Comment tu sais sa?
Ka•- Je lÕai senti craquer dans mon dos et aprs, je me suis senti bien.
Kia- Ah, arrte moi sa!
Ka•- Finalement je vais opter pour le bas!
Kia- De quoi le bas?
Ka•- Accroche toi et essaye de ne pas mÕŽtrangler!
Kia- Parce que jÕtÕŽtranglais?
Ka•- CÕest partit!
Il se donna une poussŽe avec les bras, assoma la bonhomme qui attendait son argent ˆ la fentre avec un coup de pied et sÕorienta de manire ˆ toucher le sol avec ses pieds e n premier. Puis il toucha terre.
Kia- Est-ce que a va?
Ka•- Sa irait mieux si tu me lachais!
Elle descendit.
Kia- Vraiment merci, sa fait 3 fois en deux jours que tu me sauves la vie, comment pourrais-je te remercier?
Ka•- Suis-moi et parle moins fort!
D,abord, ils filrent aussi loin que leur jambes le leur permirent, ils Žtaient ˆ la mme place que la veille quand Ka• sÕarrta. La nuit Žtait en train de tomber.
Kia-Comment est-ce que je nÕai pas pu trouver sa beau hier?
Ka•- Je sais pas. Mais pÕtre devrais-tu attachŽ cette chemise.
Kia- Oui, mais...
Ka•- Quoi?
Kia- Une seconde!
Elle attache la chemise de manire ˆ cacher sa poitrine puis elle se tourna vers Ka•, elle releva sa blouse pour lui laisser voir sa taille. Ka• sentit son estomac se nouer. Il dŽtourna le regard. Elle nÕavait que la peau sur les os, il avait pu conter ses c™tes.
Kia- Ka•, regarde moi! Est-ce que je te donne envie de vomir?
Il la ragarda, ses bras Žtaient dŽcharnŽs, elle portait une jupe a taille basse, il pouvait voi r le dŽbut des os de ses hanches qui dŽpassaient de sa peau. Dans ses bras et ses jambes, il nÕy avait que des muscles.
Ka•- Kia,je ... comment te dire?
Kia- Sois franc!
Ka•- Daccord, sa me rend malade de te voir comme a...
Kia- Tu vois? Je suis laide a faire peur!
Ka•- Non, vois-tu? Sa me rend malade, mais malade dÕinquiŽtude.
Elle sÕapprocha de lui, prit les mains du jeune homme et les mit autour de sa taille.
Kia- Sa ne te dŽgoutte pas, sa ?
Ka• dŽglutit, il fesait le tour de sa taille uniquement avec ses deux mains et il avait du leste entre ses mains. Il ne sentait aucune chair sous ses doigts.
Ka• - Arrte, je ne suis pas dŽgoutŽ du tout.
Kia-Mais de quoi as-tu peur?
(retirant ses mains)
Ka•- De ce qui pourrait tÕarriver maintenant.
Kia- Bien sžr!
Ka•- Depuis combien de temps tu te drogue?
Kia- Deux ans.
Ka•- Dit moi quÕil nÕest pas trop tard pour que tu arrtes?
Kia- Non, il nÕest jamais trop tard. Mais pourquoi jÕarrterais?
Ka•- Pour toi, pour te sauver!
Kia- Et si jÕen ai pas en vie?
Ka•- Arrte moi sa!
Kia- Mais a quoi sa rime, tu ne mÕaimes mme pas, tu nÕaime personne!
Ka•- Ah oui !
Il lÕattrapa par les Žpaules( faut comprendre quÕil en a marre de paniquer chaque fois quÕil la prend dans ses bras par la taille.) il la serra contre lui pour se graver son odeur en mŽmoire et il lÕembrassa.
Pas pour la contredire ou pour dire quÕil lÕaimait, parce quÕil en avait besoin. Jamais auparavant il ne sÕŽtait senti si proche de quelquÕun, jamais auparavant il avait ŽtŽ si loin avec quelquÕun, jamais il nÕavait tant dŽsirer quelque chose. Jamais il ne sÕŽtait senti aussi bien que quand cette douce chaleur qui Žtait le vŽritable amour lÕenvahie. Jamais il n,aurait cru quÕil puisse tant aimer une personne. Non, jamais, jamais il nÕaurait pensŽ quÕil puisse se sentir aussi bien, aussi libre, une fois quÕil eut dŽclarer ses sentiments, parce que venant de Ka• cÕŽtait une vŽritable dŽclaration dÕamour.
Le moment avait ŽtŽ magique et ni lÕun ni lÕautre ne lÕoublirait jamais. Tout deux avait compris quÕils sÕaimaient et que ce serait leur premier et suremnt leur dernier amour. Enfin ils lÕŽspŽraient. Maintenant leurs problmes leur semblait nÕtre rien. Ils avaient la vie devant eux pour les rŽgler et la vie cÕest plus quÕasser pour rŽgler des problmes. Il se recula troublŽ.
Kia- Attends une seconde! Tu veux dire que tu, toi, tu ... tÕas rŽussi ˆ..
Ka•- CÕest pas plus grave, alors, sa serait arrivŽ un jour ou lÕautre.
Kia- Attends, je tÕaimes et...
Ka•- Je tÕaimes, tu es contente?
Elle lui sauta au cou et lui tomba au sol.
Kia- QuÕest-ce quÕil y a?
Ka• Je fatigues, cÕest tout.
Kia- Tu es sžr que tu ne tÕais pas cassŽ quelque chose en tombant de lÕimmeuble?
Ka•- Je nÕai rien, depuis quand tu tÕinquite pour moi?
Kia- Depuis que tu tÕinquites poour moi!
Ka•- Alors promet moi de ne plus jamais prendre de drogue.
Kia- DÕaccord et je te promet de reprendre tout le poids que je pourrais.
Ka•- Merci! Maintenant, il vaudrait mieux rentrer.
Elle sÕapprocha de lui et passa sa main le long àde sa joue et de son cou. Il frŽmit.
Kia- Et si on dormait ici?
Ka•- A sa sžrement pas!
Il se dŽgagea, il y avait dŽjˆ asser quÕil lÕavait embrassŽ.
Kia- Pourquoi pas?
Ka•- Aller viens, jÕte raccompagne!
Kia- CÕest moi qui te racompagne!
Ka•- TÕes pas asser lucide pour rentrer toute seule!
Kia- Ne tÕinquite pas pour sa! (en faisant un cin dÕoeil)
Ka•- Alors j,ai de quoi , inquiŽter!
Rendu devant la maison occupŽ par les membres de lÕŽquipe de Ka•.
Kia- CÕest dommage que j,ai pas de toupie, maintenant je vais devoir lacher le Beyblade.
Ka•- Sa me fait penser (fouille dans une de ses poches)
(les gars sont derrire la fentre, parce que se nÕleur tente pas de manger une autre porte)
Il lui tendit sa toupie.(celle de Kia)
Kia- Comment as-tu?
Ka•- Illusion dÕoptique durant le match !
Kia- Et tu me lÕas donne que maintenant?
Ka•- Mieux vaut tard que jamais!
Elle esquissa un mouvement pour le frapper de son bracelet, mais il para de lÕaileron.
Kia- Pour demain?
ÔKa•- Pointe toi la semaine prochaine au lac, ˆ cinq heures.
Kia- Le lundi?
Ka•- Tant quÕtÕes en Žtat.
(derrire la fentre)
(Max- Il parle vraiment plus que dÕhabitude!
Ray- CÕest ˆ cause de cette fille!
Tys- Pourquoi cÕest juste lui qui attire les filles?
(elle est venue chercher Kia)
Ryta- Parce quÕil a de la classe!
Ray serra les poings, elle lui jeta un regard empreint de douceur et il baissa les yeux.
Tys- Je vois clair dans votre pÕtit jeu hen!)
La porte claqua et Kia apparu dans lÕembrasure de la porte du petit salon.
Kia- Tes copains ne savent vraiment pas se tenir.
(qui sÕŽtait accotŽ sur le mur, les bras croisŽ)
Ka•- Ce sont pas mes copains!
Kia- Dommage (elle embrassa Kenny et Max sur la joue et Ray sur le front) y en a qui en vaudrait vraiment la peine.
Tys- Et moi?
Kia- Pauvre chou(elle lui fit un clin dÕoeil)!
Ryta- Sa fait une heure que jÕtÕattends!
Kia- TÕas pas lÕair fachŽ dÕavoir nouer connaissance avec eux!
Tys- Et moi??? ( l Îes larmes aux yeux)
Elle sortit(Kia)un muffin de son soutien gorge, par consŽquent de sous sa chemise, et lui lana.
Tys- Merchi (les yeux brillants de joie et de petites Žtoiles)
Ryta- QuÕest-ce que tu faisais?
Kia- Tu devrais dire quÕest-ce que je vas faire.
Ryta- OK! QuÕest-ce que tu vas faire?
Kia- Je vais garder le meilleur pour la fin!
Elle se tourna vers Ka•.
Kia- Hen, mon chou?
Ka•- Attends une seconde!
Elle lui Žcarta les bras, le serra contre elle et lÕembrassa avec fougue. Ce fut par rŽflexe quÕil lui rendit son baiser en refermant ses bras sur elle. Aprs...
Ka•- Bon, tÕes contente?
Kia- Oui, tu vois Ryta, maintenant tu sais ce que jÕai fait!
TLA- Ouans Ka•, tu nous en caches des bonnes!
Ka•- CÕest nÕimporte quoi!
A suivre...
Ka•-JÕsus pas ton cinŽplex!
A ses mots il quitta la pice.
Kia- Attends une seconde! Tu vas pas te facher pour sa?
Elle le suivit nas lÕautre pice.
Ryta- Celle lˆ, a toujours su comment parler au gens!
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Tys-Ah oui? Pour de vrai?
Max- Elle fait ce lÕironie Tyson!
Tys- Ah bon! CÕest quoi de lÕironie?
Ray- Laisse tomber pour le moment tu veux?
Tys- OK!
De lÕautre cotŽ du mur, car voyez-vous Ka• ( qui est avec Kia) est dans le couloir ˆ cotŽ du salon. Le jeune Russe avait plaquŽ son amie au mur. Il lui murmura ˆ lÕoreille:
-ƒcoute, ce quÕil y a eux entre nous 2 durant les deux derniers jours tu le gardes pour toi!
Il parlait tellement bas que les gars et Ryta^_^ qui essayent dÕŽcouter de lÕautre bord nÕont rien entendu. Si on revient dans le couloir on constate que Kia a planquŽ son copain sur lÕautre mur du couloir. Elle lui chuchota ˆ son tour:
-Je dis ce que je veux ˆ qui je veux. Et ne me fais plus jamais sa ! (Bon, elle a crier la deuzime phrase)
Pendant que Kia cri ses mains font se quÕelles veulent et se nÕest pas forcŽment des choses trs correct alors:
(Nous interrompons se programme pour un flash de nouvelle sur le salon des Bleadbreakers) Z ÿÿ N ò DSET ‚ ÿÿ . H ÿÿÿÿÿÿ#è ò ¦ ¦Ð % ò ÿÿ 6 ÿÿ * ¦Ð DSET &Os lash; ÿÿ . H ÿÿÿÿÿ&yum l;ÿÿ#θ ¦ ò ÿÿ ¦ L ò ÿÿ L ò ò ÿÿ ò
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CÕest les reprŽsailles!
Il se laissa tomber sur son lit.*Mais qu,est-ce quÕil avait? IL sÕŽtait mis a la critiquer avec autant dÕardeur que sÕil se serait sÕagit de Tala. Oui, il dŽ testait Tana, mais elle?
Ka•- Kia? (dans un murmure)
Pourquoi est-ce que cÕŽtait si dur pour lui dÕaccepter quÕil ne la dŽtestait pas, loin de lˆ, au contraire? Il avait pleurer parce quÕil avait peur. Peur pour elle, peur dÕelle, peur pour son futur... Si elle piquait une overdose et passait dans lÕautre monde, il deviendrait plus froid que le plus froid des hivers de Russie.
Elle avait fait fondre tout le froid en lui, son regard, elle avait fait fondre son coeur, sa carapace, tout. Elle Žtait plus mai gre quÕun cadavre et cela lui avait fait peur avant tout. Blanche comme drap, un visage dÕune douceur infinie marquŽ par dÕune peine incroyable. Elle ne casserait pas au vent mais, elle gardait tout ses sentiments de lÕintŽrieur et son corps les extŽriorisait en maigrissant. DÕabord sa tailles, ses cuisses, sa poitrine, puis elle deviendrait un tas dÕ os ambulant. Le moindre rhume pourrait la tuŽ ds lors.
Il nÕausait pas imaginer par quoi elle Žtait passer pour se donner sa drogue. La moindre peine lui ferait glisser la main. 1g de plus, puis un autre et eocre jusquÕa ce quÕelle atteigne la limite et alors lÕoverdose... Il lÕavait brusquŽ pour lui faire comprendre le danger quÕelle courait. Il voudait lÕaider a arrter. Pourquoi avait-il besoin de ce justifier?
Ka• sourit, son grand-pre avait rŽussi lÕimpossible. Il savait que cÕŽtait lui qui avait arrangŽ son couple avec Kia. Le vieillard ne pouvait faire dispara”tre des jeunes Žternellement. ALors son Žcole lui en ferait!
Ce nÕŽtait pas pour quÕil s §ache quÕil y avait des filles ou que les gars puissent leur parler et savoir comment se tenir av ec en sociŽtŽ. On les habituaient lÕun a lÕautre durant quelques annŽes, il les faisaient devenir cŽlbre chacun de leur cotŽ et aprs, quand enfin ils se retrouvaient, on signait les papiers et on ftait le mariage, les enfants ne tardaient pas a suivre. Quand il en avait asssŽ pour la gŽnŽration suivante, les beybladeurs devenaient des joueurs lŽgendaires qui disparaissaient mystŽrieusement du jour au lendemain.
Ka• avait dit quÕil ne se laissserait pas prendre. Mais il Žtait rŽellement tomber amoureux. ƒtant trop dur, il avait fillŽ devant les avance de la jeune fille. Oui, il savait parfaitement se qui lui arrivait. Mais il avait pris une heure pour analyser la situation et la comprendre. En Bayblade, 1 seconde lui suffisait. Il sÕassit, mais ses Žpaules s,affaisrent.. Il sera les poings et se redressa. Il devait avoir Ê asser de temps pour lÕaider. LÕaider a partir dÕaujourdÕhui!
Elle courait dnas le vent, serrant le ballot noir contre sa poitrine, elle regarda ˆ droite, ˆ gauche, elle remit ses bracelets dÕor et sÕavana vers un restaurants. Elle avait les larmes aux yeux. Hier, il avait pleurer pour elle, ˆ cause dÕelle, il tenait donc ˆ elle, mais il lÕavait traiter de tout les noms, est-ce quÕil devenait humain le soir uniquement et que le reste du temps il ne parlait a personne, sauf pour les abaisser? Et ne se fiait quÕˆ lui et ˆ sa toupie?
Le Russe avait raison, elle Žtait maigre a faire peur. Elle le remarqua en se voyant dans une vitrine. Maigre, elle plus jamais! DroquŽe, elle, plus jamais? Pour que Ka• soit fier, pour quÕil lui sourit. Elle allait les prendres ses 10 livres. Mais elle n,en pesait que 60 et encore la cÕŽtait gr‰ce a ses os forts.60 livres en une journŽe. CÕŽtait fesable. Mais il fallait de lÕargent et pour avoir de lÕargent... Elle frissonn áa. Elle filla au restaurant.
Kia- Pense ˆ son sourire, pense ˆ son sourire...
Ray Žtait dna la cuisine quand il vit Tyson arriver.
Ray- Eh, je voudrais manger se que jÕai prŽparer, alors tu restes hors de ma cuisine!
Tys- Mais?
Max- Moi, je peux entrer?
Ken- Et moi?
Ray- Bien sžr! QuÕest-ce que vous croyez que je vais tous vous laisser mourrir de faim?
Tys- Et moi? (les larmes au yeux)
Ray- Si je te laisse entrer, on va mourir de faim!
Et il ferma la porte sur un Tyson en pleurs. Celui-ci entendit des bruits dans la salle dÕentrainement. Il descendit voir. CÕŽtait Ka•.
Sa toupie faisait des cercles autour de lui tandis que le sol Žtait couvert de toutes les toupies que le jeune homme avait pu trouver. Des lanceurs Žtaient installŽs sur les murs, au plafond, dans la plancher. Ka• Žtait encerclŽ.
Tys- Est-ce que tu veux que je...
Ka•- La FERME!
DÕun mouvement du poignet il fit rebondir sur le mur un des projectile,spuis du pied, de lÕaileron. Gauche, droite, haut, ba îs. Pendant ce temps Dranzer dŽtruisait toutes les toupies quÕil y avait sur le sol. Celui- lˆ, il avait profitŽ dÕelle, lui sÕŽtait son grand-pre. Bientot il ne restat quÕune rangŽe de 20 toupies au sol. Les autres gars qui voulait Kia. Et celui lˆ, devant les autres, Tana!
Ka•- Dranzer!!!
Le spectre ailŽ apparue dans toue sa splendeur et calcina les toupies alignŽes.
Ka•- Dranzer!
Une boule de feu Žmergea de la toupie et se lana sur Ka•.
Tyson avait jusque lˆ regarder mŽduser, mais alors il vit que Ka• ne chercherait pas ˆ Žviter lÕattaque. Ka• croisait les bras atendant la balle de feu. Il se protŽgea le visage de ses mains et les flammes vinrent se mler a sa silhouette.
La toupie bleue fona, fit un saut et suivit une trajectoire rectiligne visant le coeur de Ka•.
Il veux se tuer, pensa Tyson.
Mais alors Ka• Žmergea des falmmes en un morceau, aucu de ces vtementsbrulŽ, aucun de ses cheveux roussis. La toupie du jeune Russe tournait sous le feu qui sÕŽtint, puis la toupie all öa dans la main de Ka•.
Tys- Comment tÕas fait?
Ka•- QuÕen dis-tu?
Tys- Tu fiche ben des problmes avec cette fille mais tu en vaux la peine!
Ka•- Bon, salut!
Tys- O tu vas?
Ka•- Manger.
Tys- Quoi? (les larmes remontrent a ses yeux)
Ka• eut un sourire mauvais.
Ka•- ALors, bon appŽtit!
Tyson tomba au sol en larme, frappant le sol de ses poings et de ses pieds.
Ray- Tu viens manger?
Ka•- YÕa un problme? (Ray fit non de la tte)
Il avala son repad et sortit prŽtextant, ne prŽtextant rien du tout, de quoi aurait-il a sÕexpliquer?
Ken- Il retourne voir cette fille?
Max- Tu penses quÕil va sÕexcuser?
Tys- Lui jamais, regarde sa!
Kenny vit alors le film de Ka• durant son entrainement .
Ken- Tu as raison.
Ray- JÕespre juste quÕil sait ce quÕil fait.
Elle avait proposŽ ses services ˆ un client qui lui rapportait beaucoup. Mais aprs le massage dorsal et abdominal, lÕhomme lÕ avait attrapŽ par la taille et lui glissa quÕil voulait plus ce jour-lˆ. Elle comprit. Si Ka• nÕavait pas ŽtŽ úsi fier ou si peu sžr de lui.
Elle ne voulait pas une premire fois avec quelquÕun quÕelle ne connaissait pas. Elle avait visŽ Ka•, lui et personne dÕautre. Mais elle n,avait pas un sou et c,est comme sa quÕelle wn aurait.
Kia- Dans ce cas, je vous propose de rajouter un 20 $.
Gars- CÕest ta premire fois?
Kia- Oui .
Gars- Sa vaut un supplŽment de 49 $ ou 60 $ et pÕtre un 20 de plus pour un plaisir parfait.
DŽjˆ il dŽboutonnait la chemise de la jeune fille. Non, elle ne voulait pas. Elle aurait voulu que ce soit Ka• devant elle, pas se gros hommes qui pesait au moinns 300 lbs. Elle avait choisi Ka• et personne dÕautre.
Kia- Vous pouvez me payer tout de suite?
Gars- OK tiens 120 $, mais tu ferais mieux dÕtre bien roulŽe.
Elle prit le 120$ et fit un bond par la fentre quÕelle traversa dÕun coup de pied. Sa chemise dont les manches Žtaient presques arrachŽes ne tenait quÕa un bouton. Elle portait une jupe serrŽ mais restait fort agile. Mais la hauteur Žtait trop grande pour quÕelle retombe sur c ýes pieds. Ele allait mourir, mais elle mourait sans crier! Au moins, elle devait sa ˆ Ka•.
(de sa fentre)
Gars- belle conasse!
(des airs)
Kia-L‰che!
Ka•- Kia?
Il lÕavait entendu crier, mais ou Žtait-elle? Par lˆ? Oui, par lˆ! Il partit ˆ la course.
Elle allait bient™t sÕŽcraser sur le sol. Elle le voyait qui se rapprochait, beaucoup trop vite a son gožt.
Ka• arriva dans la rue o elle chutait, il lÕapreut.
Ka•- Non, mais elle est folle!
Il se prŽcipita et lÕattrapa de justesse. Il tressaillit en sentant sa lŽgretŽ et la maigreur de sa taille. Elle avait voulu Ka• et elle lÕavait , elle se jeta dans ses bras.
LÕhomme voyant quÕil pourrait rŽcupŽrer son argent fona vers la rue en dŽvalant son escalier.
Kia- Toi et personne dÕautre, personne dÕautre, non,personne dÕautre!
Ka• rougit lŽgrement en comprenant de quoi elle voulait parler.
Ka•- Non, Kia, personne dÕautre, juste toi et moi!(avec une infinie douceur dans la voix )
Il la serra a son tour contre lui. Non, personne dÕautre!
Gars- Eh þ, la garce!
Kia leva un visage remplit de larme.
Kia- Toi, personne dÕautre. (elle serra Ka• plus fort contre elle)
Il se sentit presque Žtouffer, jamais il nÕaurait soupconner quÕelle serait si forte.
Mais le bonhomme approchait et il Žtait un peu grand pour Ka•.
Ka• regarda Kia, les billets dÕargent, lÕhomme qui sÕapprochait, la chemise presque compltement dŽtachŽ de la jeune fille.
Kia- Toi, personne dÕautre.
Ka•- Sa va! JÕai compris, allez viens, on va sÕen sortir.
Ils partirent a la course et rŽussirent ˆ Žchapper au tas de graisse, sauf la manche de Kia que le bonhomme lui arracha.
Ka•- Tant que la chemise ne vient pas avec!
Elle lui sourit, puis il lui montra son dos, elle sÕaccrocha ˆ son cou et il se jeta daa sles airs pour sÕaccrocher ˆ une lierre de feuille qui grimpait sur un immeuble.
Kia- Dis donc, il nous suit par lÕascenseur!
Ka•- Alors accroche toi!
Il se mit a grimper le long des ronces qui courrait sur le mur.
Kia- Tes pieds glissent?
Ka•- Je nÕai aucune prise, mais ce nÕ ÿai pas grave!
Kia- Tu ne vas pas sautŽ en haut?
Ka•- Tu as bien sautŽ en bas moi je compte aller un peu plus loin.
Kia- Et le poid, y sera pas un peu trop lourd?
Ka•- Fais 130 lbs plus ton poids.
Kia- 190!
Ka•- Tu pses vraiment que a? OK, se sera facile!
Kia- Tu en es sžr?
Ka•- Sa parait que tÕas pas tatŽ mes jambes!
Kia- Quand est-ce que je pourrais le faire?
Ka•- P-tre quand tu auras attachŽ ta chemise...
Kia- Mais comment veux-tu que je fasse, on est dans les airs.
Ka•- Arrange toi parce que le dernier bouton attachŽ nÕest plus!
Kia- Comment tu sais sa?
Ka•- Je lÕai senti craquer dans mon dos et aprs, je me suis senti bien.
Kia- Ah, arrte moi sa!
Ka•- Finalement je vais opter pour le bas!
Kia- De quoi le bas?
Ka•- Accroche toi et essaye de ne pas mÕŽtrangler!
Kia- Parce que jÕtÕŽtranglais?
Ka•- CÕest partit!
Il se donna une poussŽe avec les bras, assoma la bonhomme qui attendait son argent ˆ la fentre avec un coup de pied et sÕorienta de manire ˆ toucher le sol avec ses pieds e n premier. Puis il toucha terre.
Kia- Est-ce que a va?
Ka•- Sa irait mieux si tu me lachais!
Elle descendit.
Kia- Vraiment merci, sa fait 3 fois en deux jours que tu me sauves la vie, comment pourrais-je te remercier?
Ka•- Suis-moi et parle moins fort!
D,abord, ils filrent aussi loin que leur jambes le leur permirent, ils Žtaient ˆ la mme place que la veille quand Ka• sÕarrta. La nuit Žtait en train de tomber.
Kia-Comment est-ce que je nÕai pas pu trouver sa beau hier?
Ka•- Je sais pas. Mais pÕtre devrais-tu attachŽ cette chemise.
Kia- Oui, mais...
Ka•- Quoi?
Kia- Une seconde!
Elle attache la chemise de manire ˆ cacher sa poitrine puis elle se tourna vers Ka•, elle releva sa blouse pour lui laisser voir sa taille. Ka• sentit son estomac se nouer. Il dŽtourna le regard. Elle nÕavait que la peau sur les os, il avait pu conter ses c™tes.
Kia- Ka•, regarde moi! Est-ce que je te donne envie de vomir?
Il la ragarda, ses bras Žtaient dŽcharnŽs, elle portait une jupe a taille basse, il pouvait voi r le dŽbut des os de ses hanches qui dŽpassaient de sa peau. Dans ses bras et ses jambes, il nÕy avait que des muscles.
Ka•- Kia,je ... comment te dire?
Kia- Sois franc!
Ka•- Daccord, sa me rend malade de te voir comme a...
Kia- Tu vois? Je suis laide a faire peur!
Ka•- Non, vois-tu? Sa me rend malade, mais malade dÕinquiŽtude.
Elle sÕapprocha de lui, prit les mains du jeune homme et les mit autour de sa taille.
Kia- Sa ne te dŽgoutte pas, sa ?
Ka• dŽglutit, il fesait le tour de sa taille uniquement avec ses deux mains et il avait du leste entre ses mains. Il ne sentait aucune chair sous ses doigts.
Ka• - Arrte, je ne suis pas dŽgoutŽ du tout.
Kia-Mais de quoi as-tu peur?
(retirant ses mains)
Ka•- De ce qui pourrait tÕarriver maintenant.
Kia- Bien sžr!
Ka•- Depuis combien de temps tu te drogue?
Kia- Deux ans.
Ka•- Dit moi quÕil nÕest pas trop tard pour que tu arrtes?
Kia- Non, il nÕest jamais trop tard. Mais pourquoi jÕarrterais?
Ka•- Pour toi, pour te sauver!
Kia- Et si jÕen ai pas en vie?
Ka•- Arrte moi sa!
Kia- Mais a quoi sa rime, tu ne mÕaimes mme pas, tu nÕaime personne!
Ka•- Ah oui !
Il lÕattrapa par les Žpaules( faut comprendre quÕil en a marre de paniquer chaque fois quÕil la prend dans ses bras par la taille.) il la serra contre lui pour se graver son odeur en mŽmoire et il lÕembrassa.
Pas pour la contredire ou pour dire quÕil lÕaimait, parce quÕil en avait besoin. Jamais auparavant il ne sÕŽtait senti si proche de quelquÕun, jamais auparavant il avait ŽtŽ si loin avec quelquÕun, jamais il nÕavait tant dŽsirer quelque chose. Jamais il ne sÕŽtait senti aussi bien que quand cette douce chaleur qui Žtait le vŽritable amour lÕenvahie. Jamais il n,aurait cru quÕil puisse tant aimer une personne. Non, jamais, jamais il nÕaurait pensŽ quÕil puisse se sentir aussi bien, aussi libre, une fois quÕil eut dŽclarer ses sentiments, parce que venant de Ka• cÕŽtait une vŽritable dŽclaration dÕamour.
Le moment avait ŽtŽ magique et ni lÕun ni lÕautre ne lÕoublirait jamais. Tout deux avait compris quÕils sÕaimaient et que ce serait leur premier et suremnt leur dernier amour. Enfin ils lÕŽspŽraient. Maintenant leurs problmes leur semblait nÕtre rien. Ils avaient la vie devant eux pour les rŽgler et la vie cÕest plus quÕasser pour rŽgler des problmes. Il se recula troublŽ.
Kia- Attends une seconde! Tu veux dire que tu, toi, tu ... tÕas rŽussi ˆ..
Ka•- CÕest pas plus grave, alors, sa serait arrivŽ un jour ou lÕautre.
Kia- Attends, je tÕaimes et...
Ka•- Je tÕaimes, tu es contente?
Elle lui sauta au cou et lui tomba au sol.
Kia- QuÕest-ce quÕil y a?
Ka• Je fatigues, cÕest tout.
Kia- Tu es sžr que tu ne tÕais pas cassŽ quelque chose en tombant de lÕimmeuble?
Ka•- Je nÕai rien, depuis quand tu tÕinquite pour moi?
Kia- Depuis que tu tÕinquites poour moi!
Ka•- Alors promet moi de ne plus jamais prendre de drogue.
Kia- DÕaccord et je te promet de reprendre tout le poids que je pourrais.
Ka•- Merci! Maintenant, il vaudrait mieux rentrer.
Elle sÕapprocha de lui et passa sa main le long àde sa joue et de son cou. Il frŽmit.
Kia- Et si on dormait ici?
Ka•- A sa sžrement pas!
Il se dŽgagea, il y avait dŽjˆ asser quÕil lÕavait embrassŽ.
Kia- Pourquoi pas?
Ka•- Aller viens, jÕte raccompagne!
Kia- CÕest moi qui te racompagne!
Ka•- TÕes pas asser lucide pour rentrer toute seule!
Kia- Ne tÕinquite pas pour sa! (en faisant un cin dÕoeil)
Ka•- Alors j,ai de quoi , inquiŽter!
Rendu devant la maison occupŽ par les membres de lÕŽquipe de Ka•.
Kia- CÕest dommage que j,ai pas de toupie, maintenant je vais devoir lacher le Beyblade.
Ka•- Sa me fait penser (fouille dans une de ses poches)
(les gars sont derrire la fentre, parce que se nÕleur tente pas de manger une autre porte)
Il lui tendit sa toupie.(celle de Kia)
Kia- Comment as-tu?
Ka•- Illusion dÕoptique durant le match !
Kia- Et tu me lÕas donne que maintenant?
Ka•- Mieux vaut tard que jamais!
Elle esquissa un mouvement pour le frapper de son bracelet, mais il para de lÕaileron.
Kia- Pour demain?
ÔKa•- Pointe toi la semaine prochaine au lac, ˆ cinq heures.
Kia- Le lundi?
Ka•- Tant quÕtÕes en Žtat.
(derrire la fentre)
(Max- Il parle vraiment plus que dÕhabitude!
Ray- CÕest ˆ cause de cette fille!
Tys- Pourquoi cÕest juste lui qui attire les filles?
(elle est venue chercher Kia)
Ryta- Parce quÕil a de la classe!
Ray serra les poings, elle lui jeta un regard empreint de douceur et il baissa les yeux.
Tys- Je vois clair dans votre pÕtit jeu hen!)
La porte claqua et Kia apparu dans lÕembrasure de la porte du petit salon.
Kia- Tes copains ne savent vraiment pas se tenir.
(qui sÕŽtait accotŽ sur le mur, les bras croisŽ)
Ka•- Ce sont pas mes copains!
Kia- Dommage (elle embrassa Kenny et Max sur la joue et Ray sur le front) y en a qui en vaudrait vraiment la peine.
Tys- Et moi?
Kia- Pauvre chou(elle lui fit un clin dÕoeil)!
Ryta- Sa fait une heure que jÕtÕattends!
Kia- TÕas pas lÕair fachŽ dÕavoir nouer connaissance avec eux!
Tys- Et moi??? ( l Îes larmes aux yeux)
Elle sortit(Kia)un muffin de son soutien gorge, par consŽquent de sous sa chemise, et lui lana.
Tys- Merchi (les yeux brillants de joie et de petites Žtoiles)
Ryta- QuÕest-ce que tu faisais?
Kia- Tu devrais dire quÕest-ce que je vas faire.
Ryta- OK! QuÕest-ce que tu vas faire?
Kia- Je vais garder le meilleur pour la fin!
Elle se tourna vers Ka•.
Kia- Hen, mon chou?
Ka•- Attends une seconde!
Elle lui Žcarta les bras, le serra contre elle et lÕembrassa avec fougue. Ce fut par rŽflexe quÕil lui rendit son baiser en refermant ses bras sur elle. Aprs...
Ka•- Bon, tÕes contente?
Kia- Oui, tu vois Ryta, maintenant tu sais ce que jÕai fait!
TLA- Ouans Ka•, tu nous en caches des bonnes!
Ka•- CÕest nÕimporte quoi!
A suivre...
Ka•-JÕsus pas ton cinŽplex!
A ses mots il quitta la pice.
Kia- Attends une seconde! Tu vas pas te facher pour sa?
Elle le suivit nas lÕautre pice.
Ryta- Celle lˆ, a toujours su comment parler au gens!
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Tys-Ah oui? Pour de vrai?
Max- Elle fait ce lÕironie Tyson!
Tys- Ah bon! CÕest quoi de lÕironie?
Ray- Laisse tomber pour le moment tu veux?
Tys- OK!
De lÕautre cotŽ du mur, car voyez-vous Ka• ( qui est avec Kia) est dans le couloir ˆ cotŽ du salon. Le jeune Russe avait plaquŽ son amie au mur. Il lui murmura ˆ lÕoreille:
-ƒcoute, ce quÕil y a eux entre nous 2 durant les deux derniers jours tu le gardes pour toi!
Il parlait tellement bas que les gars et Ryta^_^ qui essayent dÕŽcouter de lÕautre bord nÕont rien entendu. Si on revient dans le couloir on constate que Kia a planquŽ son copain sur lÕautre mur du couloir. Elle lui chuchota ˆ son tour:
-Je dis ce que je veux ˆ qui je veux. Et ne me fais plus jamais sa ! (Bon, elle a crier la deuzime phrase)
Pendant que Kia cri ses mains font se quÕelles veulent et se nÕest pas forcŽment des choses trs correct alors:
(Nous interrompons se programme pour un flash de nouvelle sur le salon des Bleadbreakers) Z ÿÿ N ò DSET ‚ ÿÿ . H ÿÿÿÿÿÿ#è ò ¦ ¦Ð % ò ÿÿ 6 ÿÿ * ¦Ð DSET &Os lash; ÿÿ . H ÿÿÿÿÿ&yum l;ÿÿ#θ ¦ ò ÿÿ ¦ L ò ÿÿ L ò ò ÿÿ ò
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