Beyblade Fan Fiction ❯ Le coeur solitaire ❯ What more? ( Chapter 6 )
[ P - Pre-Teen ]
By: Guardiana 
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Anime/Manga: Beyblade Fan Fiction | Genre(s): Romance | Type: Other | Uploaded On: 03.15.2004 | Pages: 5 | Words: 4.2K | Visits: 178 | Status: Work In Progress
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Anime/Manga: Beyblade Fan Fiction | Genre(s): Romance | Type: Other | Uploaded On: 03.15.2004 | Pages: 5 | Words: 4.2K | Visits: 178 | Status: Work In Progress
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Ka•- Quoi?
Tana- Tu as bien entendu! Il veut commencer les cours demian. Les gens arriveront dans la journŽe.
Ka•- Mais...
Tana- Toi aussi tu trouve que cÕest prŽcipitŽ?
Ka•- Ce nÕest pas forcŽment dŽsirable, rien de plus!
Kia- JÕle sais quand tu es chamboulŽ et tu lÕes!
Tana- QuÕest-ce quÕelle fait lˆ elle?
Ka• secoua la tte, cÕŽtait une vraie journŽe de fou, il nÕavait pas besoin que Kia se pointe. Il y avait dŽjˆ assez de Tana qui allait le faire tourner en bourrique. Et Voltaire qui dŽclarait le retour au classe, le dŽbut du tournoi! Tout ce qui manquait cÕŽtait quÕon lui passe lÕuniforme. Ou que...
Anas- Ka•!? Je ne mÕattendais pas a te voir ici( quÕelle ce pointe celle lˆ)
Ka•- Moi non plus, disons que je prŽfŽrais pas te voir!
Tana- YŽ pas parlable!
Anas- Comme dÕhabitude non?
Kia- Plus que la normal.
Anas- Alors aurevoir.
Pourquoi il faisait tous comme si tout allait bien. Tout allait mal! Trs mal! Non, mais on ce foutait de sa gueule!
Tyson avait failli sÕŽtouffer avec son dŽjeune r, Max sÕŽtait fait mordre par un serpent en jouant dehors, Kenny avait failli sÕŽlectrocuter et Ray, eh bien, Ray avait tou simplement disparu!
Kia- Remarque que Ryta aussi a disparue!
Ka•- Hen?
Ka• la regarda comme si cÕŽtait la premire fois quÕil la voyait, en penchant la tte sur la droite et la gauche, se demandant comment elle faisait pour lire dans ses pensŽes tout le temps?
Kia- Ryta aussi a disparu!
Tana- CÕest quoi le rapport avec ce quÕon disaient?
Ka•- Et au fait, cÕest quoi cette histoire dÕalliance?
Tana-Des mariages?
Ka• sentit le ragard bržlant de Kia sur sa nuque, il lui jeta un coup dÕoeil, elle lui sourit et lui fit un clin dÕoeil, il dŽglutit.
Ka•- Mariages?
Tana- Alliance dÕŽquipe!
Ka•- Je te suis pas !
Tana- Les Žquipes vont tre groupŽ 2 par 2, 1 perte de lÕune ou lÕautre lors dÕun match reprŽsente la disqualification des 2 Žquipes. Ë la fin il nÕy aura que 4 Žquipes, les Žquipes gagnantes sÕaffronteront et les gagnants seront les champions du monde pour les 5 prochaines annŽes. Les groupes dÕŽquipes seront dŽterminŽ au hasard.
Ka•- Super! (ironiquement parlant bien entendu)
Kia- Peut-tre quÕon sera ensemble!
Ka•- Laisse tomber jÕai ˆ faire!
Tana- Avec qui et quoi?
Ka•- De quoi tu tÕmles?
Tana- De cÕqui mÕregarde, si tÕes mon frre, tu devrais me laisser savoir ce que tu fais.
Non?
Kia- Vous tes frres? Depuis quand?
Tana- QuÕest-ce quÕelle est barbante ta copine!
Ka•- Elle lÕa toujours ŽtŽ.
Ray passa ˆ cotŽ dÕeux avec Ryta et les White-Tigers. Ka• en profita popur dispara”tre avant que la jeune fille ne lui pique une autre crise. Il aperut ses yeux avant de se volatiliser.
Qu Õest-ce quÕelle est belle, songea tÕil. QuÕest-ce que tu as fait de ma Kia? Sa fait 2 nouvelles que je rencontre et que je ne reconnais pas. Comment fais-tu pour changer du tout au tout, comme a? Ouais, tÕas raison, je nÕai jamais ŽtŽ aussi chamboulŽ que quand je croise ton regard! Tes yeux sont tellement changeant, cÕest presque... enfin sa semble magique...
Ka•-Tiens on peut savoir o tÕŽtais passŽ?
Ray- Ben, comme les White Tigers Žtaient arrivŽs, je suis aller les voir.
Mariah sÕaccrochait ˆ son petit Ray, tandis que Ryta sÕŽvertuait ˆ charmer Lee, ce quÕelle rŽussissait ˆ merveille. Gary mangeait, Kevin sur ses Žpaules pour que le petit ne rate pas la conversation des autres. Il ne servait ˆ rien dÕinsister. Ka• laissa donc Ray avec ses amis et alla voir comment se portait Max.
-Au soin intensif, lui glissa lÕinfirmire.
Le pauvre Max dans son lit dÕhop”tal nÕen menait pas large, en fait Ka• pouvait supposŽ ˆ juste titre que si il Žtait au soin intensif ce nÕŽtait pas ˆ cause de sa blessure, qui Žtait mineure mais ˆ cause de sa mre. Les All stars sont arriver, se dit Ka•.
Dame- Mais a tÕon idŽe de laisser des serpents dans sa cour.
Ken- Voyons, Voltaire nÕest pas pour dŽpister tout les serpents quÕil y a dans son parc.
Max- Je vais trs bien maman.
Dame- Quel manque dÕorganisation, nos chambres ne nous ont mmes pas ŽtŽ donnŽes!
Ka•- Pour lÕorganisation, vous verrez dem ain, quant ˆ vos chambres avez vous donner votre nom aux portiers?
Dame- Je dois avouer ne pas y avoir penser! Max remet toi vite. Mais quÕest-ce quÕil y a demain?
Ka•- Le tournoi commence, raison de plus pour que Max se remette.
Elle sortit, Kenny brancha Dizzy et Max fit un grand sourire ˆ Ka•, en guise de remerciement avant de sÕendormir.
Volt- Ka• Hiwatari!
LÕinterpellŽ baissa instinctivement la tte avec une forte envie de se terrer dans un coin. Il se resaisit avant que Kenny ne remarque quelque chose.
Ken- Tiens il tÕa encore( Ka• nÕŽtait plus lˆ quand il leva les yeux de son Žcran)
Ken- appeler!
Ka• retrouva son grand-pre dans le bureau de celui-ci. Le vieillard lÕobservait avec un oeil critique.
Volt- Si je tÕai appeler, jÕai une bonne raison! DÕaprs toi, laquelle ?
Ka•- JÕcrois que je prŽfŽrais ne pas lÕimaginer!
Volt- Bonne rŽponse!
Le sol se mit ˆ descendre,Ka• baissa la tte, il fallait que quelquÕun arrte ce fou. Un jour il le ferait, mais si il avait ŽtŽ anihiler dÕici lˆ ? Il re leva la tte et regarda autour de lui, des vitres, des scientifiques qui lÕentourait, une table dÕopŽration, des exerciceurs.
Volt- Je vais tester ton endurance comme on ne lÕa jamais fait auparavant.
Les scientifiques chuchotaient entre eux, le regard Žtincelant. Le jeune homme percevait des bribes de conversation : ...premire fois...jamais essayŽ...nÕy survivra sžrement pas... comment pourrait-il.... impossible....dangereux...vraiment de la folie....se sera incroyable.
Volt- Tel que je te connais, tu ne te laisseras pas faire alors, nous allons nous assurer que tu sois le plus innofensif possible.
Ka• grogna, il vit juste ˆ temps les bras mŽcaniques qui se jetaient sur lui, pour les Žviter. Ils revinrent aussit™t, il Žvita encore. La troisime fois il y laissa un aileron. CÕŽtait donc a, ils allaient le priver de ses seules armes? Quels bandes de l‰ches! Les plus forts des hommes sÕapprochrent, il les envoya valser dÕun coup de pied mais du dire adieu a lÕautre aileron. Alors il fut aveugler par un Ž norme flash. Des rayons x.
Homme- La toupie est dans la poche droite!
Tiens bonne idŽe, il pouvait utiliser Drannzer! Un homme se jeta sur lui,il lÕŽvita de justesse.
Homme- LÕautre droite! Idiot!
Il sortit sa toupie et le projeta contte le mur de toutes ses forces. IL y avait un trou dans le mur ˆ prŽsent.
Volt- Attraper la!
Des bras mŽcaniques capturrent la toupie qui fut stopper net, le lanceur fut attirer par un aimant gŽant.
Volt- Tu nous auras donnŽ du fil ˆ retrodre! Mais nous TÕavons eu!
Les hommes lÕencerlrent, ils Žtaient une bonne trentaine. Il eut beau en envoyer 5 valser plus loin, il finit par se retrouver sur la table dÕopŽration. Des cercles de m.tal entourrent ses poings, ses chevilles, son cou et sa taille.
Volt- Pas trop serrer?
Ka•- Trs dr™le!
Il eut beau tirer sur la droite et sur la gauche, il ne put se dŽfaire des ses menottes. Des fils descendirent vers lui. Il se tortilla un peu plus sans rŽsultat. Les fils vinrent se coller sur lui. I sentit un courant Žtrange le par courir. Il se tourna difficilement vers son grand pre.
Volt- Bient™t tout ton systme sera mit ˆ son maximum et avec lui ta toupie.
Celle-ci Žtait dans un genre de mini stade et tournait ˆ touttevitesse.
Volt- Nous allons te faire utiliser tout tes muscles en mme temps, a rŽpŽtition dans cette position, quand penses-tu?
Ka•- Est-ce que jÕai mon mot a dire moi?
Volt- Meilleure chance la prochaine fois!
Alors Ka• sentit tout son corps se contracter sous ses muscles qui se tendiat si raidement quÕil eu peur que ses tendons nÕarrachent. Ils tinrent le coup et aprs 30 seconde de cette douleur qui pour le moement Žtait supportable sÕarrta. 1 minutes plus tard il se tendit a nouveau, les dŽlais de repos devinrent si minces et la douleur si intense que Ka• avait lÕimpression dÕexploser de lÕintŽrieur. Ë tout les 5 secondes il se tendait pendant 1 minute. Ë chaque respiration, il avait mal, un clignement de paupire Žtait douleur, serrer les dents Žtait souffrance. Le rythmme Žtait insupportable.
Hom- Per tes de rŽsistance de 90 % sur le sujet en 1 heure.
Hom- Perte de conscience prŽvue dans 20 minutes.
Hom- Perte de control de 50 % sur les facultŽ du sujet pour lui-mme.
Ils examinaient ses rŽactions pendant la torture! SÕil ne faisait rien ils allaient le tuer!
Volt- Une chance que les murs sont insonoriser parce quÕil commence a crier fort.
Ka• apercut sa toupie, elle tournait beaucoup trop vite. Si sa continuait elle allait imploser. La minute de souffrance sÕŽgrena, cinq secondes, 5 secondes pour agir! Il banda ses muscles en grimaant. 1 seconde... 2 secondes... Les liens de mŽtal qui retenait son cou se brisren.3 secondes... ceux qui retenait ses bras et ses jambes aussi, 4 seconde.... Il ne survirait pas ˆ une autre dŽcharge. Il attrapa les fils qui le faisait tant souffrir et le sarracha, le lien de mŽtal qui retenait sa taille se dŽfit. Les hommes qui Žtaient au commande (sois tous) furent ŽlectrocutŽs. Il nÕy avait que 2 personne, Voltaire et qui Žtait cette femme?
Dans sa cage de verre Dranzer ne tournait plus, de la fumŽe sÕŽchappait de sa base. Ka• se laissa tomber ˆ terre, il tenta de se relever, impossible.
Volt- QuÕest-ce que tu as fait?
Ka•- JÕai... vaincu( combien il y a de muscles qui servent ˆ parler, beaucoup trop, sans aucuns doutes...)
Fem- Mon dieu seigneur !
Cette voix, cÕŽtait, comment ausait tÕelle? Anastasia! Elle sÕagenouilla a cotŽ de lui.
Voltaire tourna le dos a cette scne, sortie la toupie de la cage de verre. Il la laissa tomber ˆ terre, elle Žtait bržlante. Il quitta la pice.
Ka• se relava maladroitement, tomba ˆ genoux, quÕest-ce quÕil pouvait avoir mal! Il jeta n coup dÕoeil vers Anastasia,la jeune femme lÕobservait de son regard perant. Il se leva et marcha, tremblant, ses muscles se tendant parfois par rŽflexes, il atteignit finalement Dranzer, se laissa choir ˆ terre et serra la toupie chauffŽe ˆ blanc dans paume. Le douleur de la bržlure nÕŽtait rien comparŽ ˆ ce que son tre endurait. Il avait mal aux poumons, ˆ la tte, dans le cou, aux yeux, partout. Il re spirait avec difficultŽ, en fixant cette femme devant lui, appuyŽ contre le mur de la pice, le corps agitŽ de tremblements distincts. Quand la toupie fut froide dans sa main il la glissa dans sa poche en gŽmissant.
Anas- Est-ce que a va?
Ka•- Comment.... veux-...tu que .... a... lÕaille! (cÕŽtait trop douloureux parler alors imaginer ce que sa pouvait reprŽsenter de crier)
Anas- Je suis dŽsolŽe pour ce qui cÕest passŽ. ( se tordant les mains)
Elle sÕapprocha de lui, il se leva, les jambes flageolantes, mais debout. Il la dŽpassait dÕune tte.
Anas- Ne fais pas de folie!
Ka•- La folie... cÕŽtait de .... lais.. ser le fou .... me faire ...a!
Anas- Pourquoi faut-il que tu sois une tte brulŽe?
Ka• chercha des yeux la sortie, lˆ une porte, il gŽmit, tourner la tte cÕŽtait dŽjˆ beaucoup. Il arrta de sÕappuyer sur le mur et marcha vers la porte, tremblotant, chaque pas lui extirpant un gŽmissement ou une grimace. Il sÕarrta a mis chemin essoufler et leva la tte, o Žtait ses ailerons? Et son lanceu r?
Anas- Tiens les voilˆ, mais ne les met pas!
Ka• se tourna vers elle, le mouvement lui arracha un cri, il la regarda, elle avait ses ailerons et son lanceur.
Ka•- Non...
Ele lui donna son lanceur mais garda ses ailerons.
Anas- JÕai dit que tu ne les metterais pas.
Ka• mit un genoux en terre, Žpuiser, elle se pencha et posa une main sur son Žpaule.
Anas- Tu dois te reposer!( il leva les yeux vers elle)
Ka•- Empche.... moi... d...de respirer... alors.... j.. je ... pourrais...
Anas- Ton cas ne peut pas tre si grave!
Elle sÕagenouilla ˆ cotŽ de lui et lÕŽtendit doucement ˆ terre, avant de poserse tte sur ses genoux. Alors Ka• a la tte sur les genous d ÔAnastasia et il est Žtendu a terre.. Ka• se laissa faire trop Žpuiser pour lÕempcher. QuÕelle fasse se quÕelle veule de lui, il ne pourrait rien y faire. Elle caressa ses cheveux avec une infinie douceur. Il fut parcouru dÕun frisson, elle nÕallait pas...
Anas- Je suis dŽsolŽ pour tout ce que je tÔai fait. CÕŽtait cruel, mesquins et humiliant pou r toi. Et chaque Žpreuve que tÕas fait subir Voltaire, jÕy ai assister, sÕen jamais lÕen empcher.
Il sentit une goutte dÕeau tomber sur sa joue. Il tourna la tte vers elle en grimaant. Elle pleurait.
Anas- Non ne bouges pas mon petit, reste coucher, il faut que tu rŽcupres.
Mon petit? QuÕest-ce que cÕŽtait que ce language? QuÕest-ce quÕelle ˆ pleurer? Il se sentait ridicule, mais tellement faible. Elle caressait toujours ses cheveux en pleurant doucement.
Ka•- Est-ce que... a va?
QuÕest-ce quÕy lui prenait a sÕinterrŽsser ˆ cette femme brusquement?
Anas-Non, mais ce nÕest pas ta faute.
Elle lui parlait comme sÕil avait 5 ans.
Ka•- QuÕest-ce qui.. ne ... va pas?
Anas- JÕai ŽtŽ une mauvaise mre ...toute ma vie.
Elle le fit sÕasseoir sur ses genoux en le berant contre elle. Mais quÕest-ce quÕelle avait? Il se sentait bien, plus calme, en sŽcuritŽ. Elle avait arrter de pleurer.
Ka•- Avec Yann et Spencer?
Anas- Oui, mais, avec toi et Tana aussi...
Ka•- Mais... ( cÕŽtait un peu fort, dÕabord ell e Žtait la mre de Yann et Spencer, maintenant celle de Tana et la sienne...)
Anas- Vous nÕŽtiez pas censŽ le savoir, mais jÕai eu des quadruplets a 15 ans. tu imagine un peu mon pre. Lui et son honneur en avait pris un coup.Quand j,ai pu mÕoccuper de vous, vous aviez 5 ans et Žtiez dŽjˆ entrer ˆ lÕabbaye comme Žquipe. CÕŽtait une vraie torture de vous faire subir tout a, tout ˆ lÕheure...
Ka•- TÕas ... craquŽ.
Elle le serra plus fort contre elle, il poussa un petit gŽmissement de douleur mais ne lÕempcha pas. Quand elle le lacha enfin il se releva, sÕempara de ses ailerons et sortit de la pice. Il sÕappuya sur la porte tremblant de rage contenue. Il nÕaurait pas la force de manger, il monta lÕescalier vers la chambre qui lui Žtait rŽserver, il enfila vses ailerons. QuÕest-ce quÕils pouvaient lui sembler lourds en ce moment! Il croisa Tyson.
Tys- O tu vas? Tu viens pas manger?
Ka•- JÕai pas faim!
Tys- Vraiment?
Ka•- Tu sauras que cÕest possible!
Puis il croisa Ray et les White-tigers. Pas le temps de souffler.
Ka•- Pas faim! (avant que quiconque ne lui poses de questions)
Il croisa aussi Max, Kenny et les All-stars.
Max- QuÕest-ce que tu ...
Ka•- JÕai pas faim!
QuÕest-ce que sa peut prendre dÕŽnergie cette phrase quand on la cri!
Heureusement il ne croisa plus personne dÕautre e tpu se laisser tomber dans son lit, Ò Dans le centre de recherche une machine Žgrenait ses donnŽes aussi inlassablement quÕau dŽpart: Perte de conscience du sujet prŽvu dans 5...4... 3... 2...1..., maintenantÓ
Ka• sÕendormit sans ce rendre comte de ce qui se passait ˆ prŽsent autour de lui ni de la pierre qui ricochait sur sa fentre. Z ÿÿ N ò DSET ‚ ÿÿ . H ÿÿÿÿÿÿönÜ ò ¦ þ G Ö ò ÿÿ 6 ÿÿ * þ G DSET & ograve; ÿÿ . H ÿÿÿÿÿ&y uml;ÿÿöo„ G ¦ ò ÿÿ &br vbar; L ò ÿÿ L ò ò ÿÿ ò
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Kia- Remarque que Ryta aussi a disparue!
Ka•- Hen?
Ka• la regarda comme si cÕŽtait la premire fois quÕil la voyait, en penchant la tte sur la droite et la gauche, se demandant comment elle faisait pour lire dans ses pensŽes tout le temps?
Kia- Ryta aussi a disparu!
Tana- CÕest quoi le rapport avec ce quÕon disaient?
Ka•- Et au fait, cÕest quoi cette histoire dÕalliance?
Tana-Des mariages?
Ka• sentit le ragard bržlant de Kia sur sa nuque, il lui jeta un coup dÕoeil, elle lui sourit et lui fit un clin dÕoeil, il dŽglutit.
Ka•- Mariages?
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Ka•- Je te suis pas !
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Tana- Avec qui et quoi?
Ka•- De quoi tu tÕmles?
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Qu Õest-ce quÕelle est belle, songea tÕil. QuÕest-ce que tu as fait de ma Kia? Sa fait 2 nouvelles que je rencontre et que je ne reconnais pas. Comment fais-tu pour changer du tout au tout, comme a? Ouais, tÕas raison, je nÕai jamais ŽtŽ aussi chamboulŽ que quand je croise ton regard! Tes yeux sont tellement changeant, cÕest presque... enfin sa semble magique...
Ka•-Tiens on peut savoir o tÕŽtais passŽ?
Ray- Ben, comme les White Tigers Žtaient arrivŽs, je suis aller les voir.
Mariah sÕaccrochait ˆ son petit Ray, tandis que Ryta sÕŽvertuait ˆ charmer Lee, ce quÕelle rŽussissait ˆ merveille. Gary mangeait, Kevin sur ses Žpaules pour que le petit ne rate pas la conversation des autres. Il ne servait ˆ rien dÕinsister. Ka• laissa donc Ray avec ses amis et alla voir comment se portait Max.
-Au soin intensif, lui glissa lÕinfirmire.
Le pauvre Max dans son lit dÕhop”tal nÕen menait pas large, en fait Ka• pouvait supposŽ ˆ juste titre que si il Žtait au soin intensif ce nÕŽtait pas ˆ cause de sa blessure, qui Žtait mineure mais ˆ cause de sa mre. Les All stars sont arriver, se dit Ka•.
Dame- Mais a tÕon idŽe de laisser des serpents dans sa cour.
Ken- Voyons, Voltaire nÕest pas pour dŽpister tout les serpents quÕil y a dans son parc.
Max- Je vais trs bien maman.
Dame- Quel manque dÕorganisation, nos chambres ne nous ont mmes pas ŽtŽ donnŽes!
Ka•- Pour lÕorganisation, vous verrez dem ain, quant ˆ vos chambres avez vous donner votre nom aux portiers?
Dame- Je dois avouer ne pas y avoir penser! Max remet toi vite. Mais quÕest-ce quÕil y a demain?
Ka•- Le tournoi commence, raison de plus pour que Max se remette.
Elle sortit, Kenny brancha Dizzy et Max fit un grand sourire ˆ Ka•, en guise de remerciement avant de sÕendormir.
Volt- Ka• Hiwatari!
LÕinterpellŽ baissa instinctivement la tte avec une forte envie de se terrer dans un coin. Il se resaisit avant que Kenny ne remarque quelque chose.
Ken- Tiens il tÕa encore( Ka• nÕŽtait plus lˆ quand il leva les yeux de son Žcran)
Ken- appeler!
Ka• retrouva son grand-pre dans le bureau de celui-ci. Le vieillard lÕobservait avec un oeil critique.
Volt- Si je tÕai appeler, jÕai une bonne raison! DÕaprs toi, laquelle ?
Ka•- JÕcrois que je prŽfŽrais ne pas lÕimaginer!
Volt- Bonne rŽponse!
Le sol se mit ˆ descendre,Ka• baissa la tte, il fallait que quelquÕun arrte ce fou. Un jour il le ferait, mais si il avait ŽtŽ anihiler dÕici lˆ ? Il re leva la tte et regarda autour de lui, des vitres, des scientifiques qui lÕentourait, une table dÕopŽration, des exerciceurs.
Volt- Je vais tester ton endurance comme on ne lÕa jamais fait auparavant.
Les scientifiques chuchotaient entre eux, le regard Žtincelant. Le jeune homme percevait des bribes de conversation : ...premire fois...jamais essayŽ...nÕy survivra sžrement pas... comment pourrait-il.... impossible....dangereux...vraiment de la folie....se sera incroyable.
Volt- Tel que je te connais, tu ne te laisseras pas faire alors, nous allons nous assurer que tu sois le plus innofensif possible.
Ka• grogna, il vit juste ˆ temps les bras mŽcaniques qui se jetaient sur lui, pour les Žviter. Ils revinrent aussit™t, il Žvita encore. La troisime fois il y laissa un aileron. CÕŽtait donc a, ils allaient le priver de ses seules armes? Quels bandes de l‰ches! Les plus forts des hommes sÕapprochrent, il les envoya valser dÕun coup de pied mais du dire adieu a lÕautre aileron. Alors il fut aveugler par un Ž norme flash. Des rayons x.
Homme- La toupie est dans la poche droite!
Tiens bonne idŽe, il pouvait utiliser Drannzer! Un homme se jeta sur lui,il lÕŽvita de justesse.
Homme- LÕautre droite! Idiot!
Il sortit sa toupie et le projeta contte le mur de toutes ses forces. IL y avait un trou dans le mur ˆ prŽsent.
Volt- Attraper la!
Des bras mŽcaniques capturrent la toupie qui fut stopper net, le lanceur fut attirer par un aimant gŽant.
Volt- Tu nous auras donnŽ du fil ˆ retrodre! Mais nous TÕavons eu!
Les hommes lÕencerlrent, ils Žtaient une bonne trentaine. Il eut beau en envoyer 5 valser plus loin, il finit par se retrouver sur la table dÕopŽration. Des cercles de m.tal entourrent ses poings, ses chevilles, son cou et sa taille.
Volt- Pas trop serrer?
Ka•- Trs dr™le!
Il eut beau tirer sur la droite et sur la gauche, il ne put se dŽfaire des ses menottes. Des fils descendirent vers lui. Il se tortilla un peu plus sans rŽsultat. Les fils vinrent se coller sur lui. I sentit un courant Žtrange le par courir. Il se tourna difficilement vers son grand pre.
Volt- Bient™t tout ton systme sera mit ˆ son maximum et avec lui ta toupie.
Celle-ci Žtait dans un genre de mini stade et tournait ˆ touttevitesse.
Volt- Nous allons te faire utiliser tout tes muscles en mme temps, a rŽpŽtition dans cette position, quand penses-tu?
Ka•- Est-ce que jÕai mon mot a dire moi?
Volt- Meilleure chance la prochaine fois!
Alors Ka• sentit tout son corps se contracter sous ses muscles qui se tendiat si raidement quÕil eu peur que ses tendons nÕarrachent. Ils tinrent le coup et aprs 30 seconde de cette douleur qui pour le moement Žtait supportable sÕarrta. 1 minutes plus tard il se tendit a nouveau, les dŽlais de repos devinrent si minces et la douleur si intense que Ka• avait lÕimpression dÕexploser de lÕintŽrieur. Ë tout les 5 secondes il se tendait pendant 1 minute. Ë chaque respiration, il avait mal, un clignement de paupire Žtait douleur, serrer les dents Žtait souffrance. Le rythmme Žtait insupportable.
Hom- Per tes de rŽsistance de 90 % sur le sujet en 1 heure.
Hom- Perte de conscience prŽvue dans 20 minutes.
Hom- Perte de control de 50 % sur les facultŽ du sujet pour lui-mme.
Ils examinaient ses rŽactions pendant la torture! SÕil ne faisait rien ils allaient le tuer!
Volt- Une chance que les murs sont insonoriser parce quÕil commence a crier fort.
Ka• apercut sa toupie, elle tournait beaucoup trop vite. Si sa continuait elle allait imploser. La minute de souffrance sÕŽgrena, cinq secondes, 5 secondes pour agir! Il banda ses muscles en grimaant. 1 seconde... 2 secondes... Les liens de mŽtal qui retenait son cou se brisren.3 secondes... ceux qui retenait ses bras et ses jambes aussi, 4 seconde.... Il ne survirait pas ˆ une autre dŽcharge. Il attrapa les fils qui le faisait tant souffrir et le sarracha, le lien de mŽtal qui retenait sa taille se dŽfit. Les hommes qui Žtaient au commande (sois tous) furent ŽlectrocutŽs. Il nÕy avait que 2 personne, Voltaire et qui Žtait cette femme?
Dans sa cage de verre Dranzer ne tournait plus, de la fumŽe sÕŽchappait de sa base. Ka• se laissa tomber ˆ terre, il tenta de se relever, impossible.
Volt- QuÕest-ce que tu as fait?
Ka•- JÕai... vaincu( combien il y a de muscles qui servent ˆ parler, beaucoup trop, sans aucuns doutes...)
Fem- Mon dieu seigneur !
Cette voix, cÕŽtait, comment ausait tÕelle? Anastasia! Elle sÕagenouilla a cotŽ de lui.
Voltaire tourna le dos a cette scne, sortie la toupie de la cage de verre. Il la laissa tomber ˆ terre, elle Žtait bržlante. Il quitta la pice.
Ka• se relava maladroitement, tomba ˆ genoux, quÕest-ce quÕil pouvait avoir mal! Il jeta n coup dÕoeil vers Anastasia,la jeune femme lÕobservait de son regard perant. Il se leva et marcha, tremblant, ses muscles se tendant parfois par rŽflexes, il atteignit finalement Dranzer, se laissa choir ˆ terre et serra la toupie chauffŽe ˆ blanc dans paume. Le douleur de la bržlure nÕŽtait rien comparŽ ˆ ce que son tre endurait. Il avait mal aux poumons, ˆ la tte, dans le cou, aux yeux, partout. Il re spirait avec difficultŽ, en fixant cette femme devant lui, appuyŽ contre le mur de la pice, le corps agitŽ de tremblements distincts. Quand la toupie fut froide dans sa main il la glissa dans sa poche en gŽmissant.
Anas- Est-ce que a va?
Ka•- Comment.... veux-...tu que .... a... lÕaille! (cÕŽtait trop douloureux parler alors imaginer ce que sa pouvait reprŽsenter de crier)
Anas- Je suis dŽsolŽe pour ce qui cÕest passŽ. ( se tordant les mains)
Elle sÕapprocha de lui, il se leva, les jambes flageolantes, mais debout. Il la dŽpassait dÕune tte.
Anas- Ne fais pas de folie!
Ka•- La folie... cÕŽtait de .... lais.. ser le fou .... me faire ...a!
Anas- Pourquoi faut-il que tu sois une tte brulŽe?
Ka• chercha des yeux la sortie, lˆ une porte, il gŽmit, tourner la tte cÕŽtait dŽjˆ beaucoup. Il arrta de sÕappuyer sur le mur et marcha vers la porte, tremblotant, chaque pas lui extirpant un gŽmissement ou une grimace. Il sÕarrta a mis chemin essoufler et leva la tte, o Žtait ses ailerons? Et son lanceu r?
Anas- Tiens les voilˆ, mais ne les met pas!
Ka• se tourna vers elle, le mouvement lui arracha un cri, il la regarda, elle avait ses ailerons et son lanceur.
Ka•- Non...
Ele lui donna son lanceur mais garda ses ailerons.
Anas- JÕai dit que tu ne les metterais pas.
Ka• mit un genoux en terre, Žpuiser, elle se pencha et posa une main sur son Žpaule.
Anas- Tu dois te reposer!( il leva les yeux vers elle)
Ka•- Empche.... moi... d...de respirer... alors.... j.. je ... pourrais...
Anas- Ton cas ne peut pas tre si grave!
Elle sÕagenouilla ˆ cotŽ de lui et lÕŽtendit doucement ˆ terre, avant de poserse tte sur ses genoux. Alors Ka• a la tte sur les genous d ÔAnastasia et il est Žtendu a terre.. Ka• se laissa faire trop Žpuiser pour lÕempcher. QuÕelle fasse se quÕelle veule de lui, il ne pourrait rien y faire. Elle caressa ses cheveux avec une infinie douceur. Il fut parcouru dÕun frisson, elle nÕallait pas...
Anas- Je suis dŽsolŽ pour tout ce que je tÔai fait. CÕŽtait cruel, mesquins et humiliant pou r toi. Et chaque Žpreuve que tÕas fait subir Voltaire, jÕy ai assister, sÕen jamais lÕen empcher.
Il sentit une goutte dÕeau tomber sur sa joue. Il tourna la tte vers elle en grimaant. Elle pleurait.
Anas- Non ne bouges pas mon petit, reste coucher, il faut que tu rŽcupres.
Mon petit? QuÕest-ce que cÕŽtait que ce language? QuÕest-ce quÕelle ˆ pleurer? Il se sentait ridicule, mais tellement faible. Elle caressait toujours ses cheveux en pleurant doucement.
Ka•- Est-ce que... a va?
QuÕest-ce quÕy lui prenait a sÕinterrŽsser ˆ cette femme brusquement?
Anas-Non, mais ce nÕest pas ta faute.
Elle lui parlait comme sÕil avait 5 ans.
Ka•- QuÕest-ce qui.. ne ... va pas?
Anas- JÕai ŽtŽ une mauvaise mre ...toute ma vie.
Elle le fit sÕasseoir sur ses genoux en le berant contre elle. Mais quÕest-ce quÕelle avait? Il se sentait bien, plus calme, en sŽcuritŽ. Elle avait arrter de pleurer.
Ka•- Avec Yann et Spencer?
Anas- Oui, mais, avec toi et Tana aussi...
Ka•- Mais... ( cÕŽtait un peu fort, dÕabord ell e Žtait la mre de Yann et Spencer, maintenant celle de Tana et la sienne...)
Anas- Vous nÕŽtiez pas censŽ le savoir, mais jÕai eu des quadruplets a 15 ans. tu imagine un peu mon pre. Lui et son honneur en avait pris un coup.Quand j,ai pu mÕoccuper de vous, vous aviez 5 ans et Žtiez dŽjˆ entrer ˆ lÕabbaye comme Žquipe. CÕŽtait une vraie torture de vous faire subir tout a, tout ˆ lÕheure...
Ka•- TÕas ... craquŽ.
Elle le serra plus fort contre elle, il poussa un petit gŽmissement de douleur mais ne lÕempcha pas. Quand elle le lacha enfin il se releva, sÕempara de ses ailerons et sortit de la pice. Il sÕappuya sur la porte tremblant de rage contenue. Il nÕaurait pas la force de manger, il monta lÕescalier vers la chambre qui lui Žtait rŽserver, il enfila vses ailerons. QuÕest-ce quÕils pouvaient lui sembler lourds en ce moment! Il croisa Tyson.
Tys- O tu vas? Tu viens pas manger?
Ka•- JÕai pas faim!
Tys- Vraiment?
Ka•- Tu sauras que cÕest possible!
Puis il croisa Ray et les White-tigers. Pas le temps de souffler.
Ka•- Pas faim! (avant que quiconque ne lui poses de questions)
Il croisa aussi Max, Kenny et les All-stars.
Max- QuÕest-ce que tu ...
Ka•- JÕai pas faim!
QuÕest-ce que sa peut prendre dÕŽnergie cette phrase quand on la cri!
Heureusement il ne croisa plus personne dÕautre e tpu se laisser tomber dans son lit, Ò Dans le centre de recherche une machine Žgrenait ses donnŽes aussi inlassablement quÕau dŽpart: Perte de conscience du sujet prŽvu dans 5...4... 3... 2...1..., maintenantÓ
Ka• sÕendormit sans ce rendre comte de ce qui se passait ˆ prŽsent autour de lui ni de la pierre qui ricochait sur sa fentre. Z ÿÿ N ò DSET ‚ ÿÿ . H ÿÿÿÿÿÿönÜ ò ¦ þ G Ö ò ÿÿ 6 ÿÿ * þ G DSET & ograve; ÿÿ . H ÿÿÿÿÿ&y uml;ÿÿöo„ G ¦ ò ÿÿ &br vbar; L ò ÿÿ L ò ò ÿÿ ò
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Ka•- Quoi?
Tana- Tu as bien entendu! Il veut commencer les cours demian. Les gens arriveront dans la journŽe.
Ka•- Mais...
Tana- Toi aussi tu trouve que cÕest prŽcipitŽ?
Ka•- Ce nÕest pas forcŽment dŽsirable, rien de plus!
Kia- JÕle sais quand tu Nom PrŽnom "¼:…M TEXTè ¼:…MAuthTEXTê [
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