Digimon Fan Fiction ❯ Ma naissance après mon suicide ❯ Un nouveau membre dans la famille ( Chapter 2 )

Un nouveau membre dans la famille

 

En se rendant vers la ruelle, quelques rues plus loin, Carl se posait des questions : « Es-ce que c'est vrai? » « Es-ce qu'elle va me tuer ou me faire du mal? » « Une fois rendu chez nous…comment expliqué sa au parents??? » « Le pire dans tout sa…comment on retourne chez nous sans se faire remarqué??? » « Es-ce que je suis le seul qui peut la voir? » Toutes ces questions, il se les posait mais n'essayait pas d'y répondre. Il voulait lui demandé une question qui aurait du sens, mais… la seul chose qui est sortie de sa bouche c'est « Qu'es-ce qu'on fait maintenant? »

Silvia : Sérieusement… je ne le sait pas plus que toi…

Carl : D'après l'anime qui passait quand j'étais jeune, si tu est ma partenaire, on peut communiqué par la pensé?

Silvia : C'est pas aussi simple que sa, pour le moment, on n'est pas encore « attaché » par la pensé, mais sa va venir avec le temps… ce sera un épreuve douloureuse… certain en sont déjà mort… si tu est chanceux, ton cœur va arrêté de battre pendant seulement quelques secondes, sinon…

Carl : Comment on peut évité sa?

Silvia : Il faut juste le vouloir vraiment fort, que ce soit l'une des chose les plus importantes de ta vie…

Carl : D'accord… ce l'est déjà… depuis que tu m'a sauvé ma vie c'est d'être avec toi.

Silvia : Je t'aime bien toi… ta pas hésité trop longtemps et t'a pas essayé de me fuir parce que je suis « différente ».

Carl : Dit toi que d'un côté j'avais une mort sûr, un suicide, et de l'autre, je faisait confiance a une inconnu « différente »… et t'a beau être différente, ton look est hot, pis t'a pas l'aire de vouloir me tué.

Silvia : Tu me trouve « hot »? Wow, c'est la première fois qu'on me dit quelque chose du genre!

 

Pendant qu'ils parlaient, il marchait lentement. Ils traversaient une rue sans se soucier de rien, se disant qu'il n'y a personne dans le secteur à 2h30 du matin. Soudain, une voiture tourna au coin de le rue à une vitesse assez rapide, il s'immobilisa devant eux. Silvia avait peur, et se collait sur Carl, comme pour se caché, elle se sentait un peu plus en sécurité.

Carl : Ait pas peur… je reconnaît la voiture… des Subaru Legacy rouge foncé comme celle-là sont plutôt rare… c'est mon frère…

Silvia : Qu'es-ce qui te dit qui ne me fera pas de mal?

Carl : Je le sait… c'est tout… c'est pas son genre.

 

La porte côté conducteur s'ouvrit, un gars d'environ 18-20 ans sortit et avança lentement vers eux. Il semblait surprit, peut-être même troublé par la présence de Silvia, mais surtout heureux d'avoir retrouvé son frère.

Louis(le frère de Carl) : Tu m'a fait tellement peur!!! Heureusement je t'es trouvé à temps!!!

Carl : Désolé… t'arrive trop tard… c'est elle qui m'a sauvé de moi-même, mais merci quand même de m'avoir cherché…

Louis : T'inquiète pas pour papa pis maman, il ne le savent pas, dès que j'ai trouvé la lettre je l'es prise et je suis parti à ta recherche.

Carl : Merci… t'es vraiment le meilleur frère sur qui je pouvait tombé… en passent je te présente Silvia, même si elle est un peu « différente », c'est tout de même elle qui m'a sauvé la vie.

Louis :*avec une voie stressé* Enchanté, moi c'est Louis.

Silvia : Hello, sa va?

Louis : Sa pourrait pas être mieux… Mais es-ce que je peut savoir pourquoi tu est… ehh…

Silvia : Pas besoin d'en dire plus… c'est compréhensible…

* Silvia et Carl lui raconte toute l'histoire *

Louis : Donc… maintenant vous êtes prit ici avec un scooter une place, seulement un casque et rien pour caché Silvia?

Carl et Silvia : *avec une voix down* Oui…

Louis : Et bien… j'ai peut-être la solution… Carl? T'a ton permis de conduire depuis quelques mois, et j'ai le droit de conduire un scooter… Alors je prend le scooter et vous, vous me suivez avec mon auto.

Carl : Nice sa!!! Tu me laisserait conduire ta Subaru?

Louis : En autant que sa ne devienne pas une habitude…

Cela dit, Carl passa sa veste avec un capuchon à Silvia, pour caché le haut de son corps. Louis prit le scooter et commença à roulé lentement dans le rue de la vieille ville.

Silvia : Ahh… finalement, je vais pouvoir relaxé un peu, depuis que je suis dans ce monde de con c'est la première minute que je suis pas stressé de me faire prendre.

Carl : Content de savoir que je peut t'aider.

Silvia : Sérieusement, tu me sauve la vie, je vais enfin dormir dans un endroit respectable cette nuit… c'est comment chez vous?

Carl : Bien, c'est une maison de banlieue comme y en a partout.

Silvia : Et… c'est comment « comme partout »?

Carl : Ehh… je vis avec mes parents, j'ai ma chambre, mon frère a la sienne… rien de plus simple…

Silvia : D'accord… j'espère que je dérangerais pas trop…

Carl : t'inquiète, mes parents vont comprendre… enfin… j'espère… va falloir te caché jusqu'à ce que j'explique demain… sa te dérange de… ehh… couché dans le même lit que moi?

Silvia : Oh! Bien… si on a pas le choix… et essaye même pas de profité de la situation!!!

Carl : Sa arrivera pas, je sait même pas si on est… bien… « compatible »…disons sa comme sa…

Silvia : Je crois que oui, je suis exactement comme une humaine, juste différente un peu par mon look… mais bon… on verra si un jour on le veut vraiment tout les deux. Eh… on pourrait parler d'autres choses? On se connaît depuis même pas 30 minutes et on parle déjà de sexe… sa me fait sentir comme un vrai salope…

Carl : D'accord, c'est vrai que c'est un peu con. Alors… comment c'est le monde digital?

Silvia : Pas très différent d'ici, si tu regarde dans l'anime qui était à la télévision il y a quelques années, le monde était trop parfait, juste des digimons qui vivent dans la nature, presque tout était à l'état naturel. Et bien c'est faux, Il y a des forêts et tout sa, mais c'est comme ici, il y a des villes, des routes, des maisons… si tu savais combien de compagnies que vous avez ici vendent leurs produits de l'autre côté…

Carl : Ah ouais? Exemples?

Silvia : Sony, Microsoft, Toyota… y a aussi WalMart…

Carl : Mais pourtant tout a l'heure t'avais l'aire de détesté le fait que tu ais sauvé la vie d'un humain car on est tous des sale con? Et vous commercé avec nous…

Silvia : Ouais… c'est que vous êtes tous attirés par une seul chose… le fric…

Carl : C'est un peu normal, si tu veut des choses, il faut du fric, si t'a pas de fric, tu peu même pas vivre. C'est con mais c'est la joie du capitalisme… je déteste ça…

Silvia : Normal un peu. Les humains sont supposé être de vrai cons d'après toutes les rumeurs que j'ai entendues, mais toi, t'es pas comme sa, et ton frère a l'aire correcte lui aussi. Même qu'il a l'aire étrange un peu, comme s'il connaissait déjà sa un peu…

Carl : Tu trouve? Il avait l'aire normal pour un gars qui te rencontre…*il y eut un petit silence* Moi je sait absolument rien sur toi, toi t'a l'aire d'en connaître quelque peu sur les humains.

Silvia : Inquiète toi pas, c'est pas aussi compliqué que ça en a l'air. Et quand t'a vu l'émission, c'est déjà une bonne base.

Carl : Mais j'ai pas vu la saison dans laquelle tu était!

Silvia : Hum… je croit qu'il y a 2 solutions… la première s'appèle Ebay, la seconde s'appèle Kazaa… y en a une qui coûte plus cher que l'autre, pour les humains passionné par le ca$h…

Carl : Ah… même si je suis pas un gars qui pense juste au cash je crois que je vais prendre la deuxième solution…

Silvia : Eheh, c'est comme tu veut!

 

Il y eut un silence de quelques secondes, ils cherchaient un sujet pour faire parler l'autre, Silvia regarda la radio et les quelques CD dans un compartiment sous cette dernière :

Silvia : T'aime la musique?

Carl : Ouais, c'est plutôt rare que j'en écoute pas, et toi? C'est dans quel genre?

Silvia : Bien, sa ressemble beaucoup a du punk d'ici, Emocore, hardcore…n'importe quoi appart du rap… en tout cas, je crois que c'est les noms que vous utilisé ici. Et toi?

Carl : Pas mal la même chose, je déteste le rap, j'écoute presque tout, punk ou Emo surtout… on se met un CD?

Silvia : Ouais, j'aimerais bien entendre la musique d'ici!

Carl : Qu'es-ce que mon frère a comme CD? Ah, tien, NoFX sa te dit?

Silvia: NoFX??? C'est quoi? Fait écouté…

Carl met le CD dans le lecteur, puis sélectionne la musique « Franco Un-American ». Silvia avait l'aire d'aimer sa, mais ça ne marchait pas avec ses émotions du moment.

Silvia : T'aurait pas quelque chose qui fait feeler plus relaxe?

Carl : Bien sûr!

Carl changea de CD pour un groupe moins connu, Ok Go, avec la musique « 1000 Miles Per Hour ». Beaucoup plus relaxé, elle ferma les yeux et somnola légèrement quelques minutes. Carl continuait de suivre son scooter, se demandant a quoi pouvait pensé son frère après avoir vu un Digimon? En tout cas, il se concentra sur conduire, parce qu'il était fatigué, et ne voulait pas pensé à des choses qui ne le regarde pas.

 

Arrivé à la maison, il regarda la bête qui lui avait sauvé la vie en échange de il ne savait pas trop quoi, peut-être presque rien, peut-être que sa va lui coûté la vie, qui sait? Mais ça lui donne une deuxième chance, ce que peut de gens ont après avoir voulu se suicidé. Son frère, après avoir rangé le scooter dans le cabanon, est revenu le voir, alors que Silvia dormait paisiblement dans la Subaru. Carl était sorti de l'auto :

Louis : Et puis? Pas eu de trouble en chemin?

Carl : Non, on a parlé, on a écouté de la musique…

Louis : Regarde…j'ai vraiment rien contre elle, elle a l'air d'être correcte, mais ça me fait un peu peur… tu sais tu d'en quoi tu t'embarque avec elle?

Carl : Non… mais j'ai confiance en elle…

Louis : Confiance? Tu est sûr de vouloir lui faire confiance? Tu le sais bien que ça ne tien pas debout cette histoire!!!

Carl : Comment tu peut expliqué qu'elle soit là, assise dans ton auto!!! C'est totalement invraisemblable, je le sais, mais c'est trop bizarre pour être un canular comme le Big-Foot ou les extraterrestres de l'Aera 51… regarde… elle est là est elle est vivante!!!

Louis : C'est pas sa le problème…

Carl : T'a peur d'affronté la réalité? Sérieusement… il faut y faire face… on en a la preuve devant nos yeux…

Louis : Je le sais bien qu'elle est là… mais c'est pas sa le problème non plus…

Carl : C'est quoi ton problème?

Louis : Ça serait trop compliqué à expliquer… et puis… il est déjà trop tard pour la retourné d'où elle vient…

Carl : Hein? Mais de quoi tu parle???

Louis : Oublie sa…

Carl réveilla Silvia, qui ne protesta pas, se leva et le suivit jusqu'à l'intérieur.

Silvia : Alors c'est ici chez vous? C'est beau, c'est grand! Mais je suis vraiment fatigué, je voudrais aller me couché…

Carl : C'est ce qu'on fait tout de suite, viens ma chambre est au deuxième, ne fait pas de bruit, la chambre des parents n'est pas loin.

Les deux montèrent en haut, tandis que Louis resta quelque peut en bas. Ils rentrèrent dans la salle de bain.

Silvia : C'est pas sa ta chambre?!?

Carl(en lâchant un petit rire) : Non, j'ai juste besoin d'aller au toilettes et de me brossé les dents. Et je peux pas vraiment te laissé seul dans la maison tant que mes parents ne sont pas au courant. Eh… retourne toi le temps que je suis au toilette…

Silvia : Oh… eh… désolé j'y pensais pas que vous les humain vous voulez pas vous faire voir nu.

Carl fit ce qu'il avait a faire, Silvia regardait tout ce qu'il y avait dans la salle. Ensuite, Carl se brossa les dents.

Silvia : Merde… j'y avait pas pensé que sa me prendrait sa moi aussi…

Carl(après avoir recraché tout) : On en a sûrement sa ici quelque part. (il chercha un peu et trouva un brosse a dents neuve dans les tiroirs) Tiens… je crois que tu sait comment sa marche…

Silvia : C'est sûr…

2 minutes plus tard, ils entraient dans la chambre de Carl. Silvia regardait les posters sur les murs, The Used, Silverstein, Millencolin… beaucoup de groupes de musiques qu'elle ne connaissait pas. Ensuite, il y avait des posters avec des autos, des marques qu'elle reconnaissait un peu, mais les noms était différents.

Silvia : Pas mal le poster avec la Nissan Inferno GT-R.

Carl : Inferno? C'est un Nissan Skyline GT-R!

Silvia : Chez nous on l'appèle Inferno. Mais elle est pareil.

Carl se déshabilla, il resta en boxer pour se couché, Silvia enleva ses manches et se coucha sur le lit. Carl se glissa a côté d'elle sous les draps, elle se rapprocha de lui, le serra dans ses bras et dit :

Silvia : Ce monde me fais peur…

Carl(qui la serra à son tour) : Y a pas besoin d'avoir peur, ici on est en sécurité.

Silvia : J'ai peur aussi pour toi… pour devenir mon Tamer, ça va sûrement te faire du mal, habituellement sa se passe dans les 24 premières heures, ça prend presque toute ton énergie.

Carl : Je suis sûr que tout va être correcte.

Ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre, se réfugiant ensemble pour combattre leurs peur, lui de souffrir dans les 24 prochaines heures, elle de ce monde tout simplement. Elle s'endormie avant lui, il la sentait plus relaxé, plus sécurisé. Lui, il n'en revenait pas encore, elle était vivante, dans ses bras, ils pouvait sentir sa fourrure sur son corps, il pouvait même sentir ses seins sur sa poitrine. Elle l'entoura avec sa queue touffu, comme pour le rapproché encore plus. Il s'endormit, se sentant plus confortable que jamais il n'avait été avant.

 

Il était 3h30 du matin, Le frère de Carl entre-ouvrit la porte pour les voir, il vit 2 corps qui dormait paisiblement et referma la porte en se disant « J'espère que tout va bien se passé avec eux… j'espère que ça ne sera pas comme avec Fred l'an passé… ». Dans ses souvenirs, il se rappela son ami Fred, mort après un overdose de Crystal Met, une drogue qu'il prenait en abondance après la mort de son Digimon au combat d'un force noir. « J'espère qu'ils vont être capable de te vengé, Fred, cette force noir met nos 2 mondes en danger depuis trop longtemps… s'ils n'y arrivent pas, on est fichu… ». Cette force noir, ce qu'elle voulait, c'était un peu comme les Nazis, une race parfaite, semi-humaine, semi-digital, de cette façons, il serait possible de contrôlé les humains par leur côté digital, par des virus ou des programmes construits par l'État pour contrôlé sa population. Ce n'est pas encore arrivé avec les Digimons, car tous ceux qui ont essayé de prendre le pouvoir des autres se sont fait détruire par les hackers engagé pas le gouvernement. Si la force noir réussi, ce serait la fin de la liberté en tant que telle, car elle serait capable de nous contrôlé. Plusieurs hackers ont essayé de la détruire, mais aucun n'a trouvé de faille dans son système. Il ne reste plus qu'une solution… la détruire manuellement en combattant. Depuis environ 10 ans, environ 10 Digimons ont échoué, la plupart laissant leur Tamer dans le désespoir, qui souvent menait à la mort de ce dernier. Cette fois, ils ont changé de plan, ce « ils »… personne ne sait qui s'est. Ils ont décidé d'envoyé deux Tamers et Digimons plutôt qu'une seul équipe, car ils savent que la force noir n'en a plus pour bien longtemps avant de pouvoir mettre son plan a exécution… l'autre équipe, elle n'est pas bien loin, elle existe depuis quelques années, ils vivent à Limoilou, un quartier défavorisé de la ville, on en reparlera dans un autre chapitre, sa fait assez de blabla pour le moment…

 

Le lendemain matin, Carl se réveilla en même temps que Silvia, vers 11h, une heure normal pour un samedi matin. Ils avaient changé de bord pendant la nuit, mais ils étaient toujours dans les bras l'un de l'autre, tout en sueur.

Carl : Ouf… fait chaud!

Silvia : Hihi, désolé d'être aussi chaude!

Carl : Tu sait que sa l'a un double sens?

Silvia : Hihi, oups… en tout cas, tu sais ce que je voulais dire.

Carl : Ouais… dit? C'est normal que mon cœur bat si lentement? Parce qu'il y a quelque chose qui marche pas la…

Silvia : Laisse voir…(elle mit sa main sur son cœur, pour sentir les pulsations) Hum… ton cœur va trop lentement, c'est comme si tu manquait d'énergie pour le faire battre, dit toi que c'est normal, on m'en avait parlé de sa lorsque tu deviens Tamer, t'inquiète pas, la pire chose qui peut arrivé c'est qu'il arrête de battre pendant environ 1 seconde, en autant que tu reste calme aujourd'hui, tu va t'en sortir.

Carl : Je l'espère… mais pour le moment je vais prendre une douche et te présenté a mes parents, sa sera pas facile.

Silvia : Tu me laisse seul ici, dans la chambre, alors que t'es parents peuvent venir jeté un coup d'œil n'importe quand?

Carl : Va falloir que tu attend dans la salle de bain pendant que je prend ma douche alors…

Silvia :Je peux la prendre avec toi?

Carl : Quoi??? Prendre une douche ensemble?

Silvia : Pourquoi pas, je veut me lavé moi aussi, et sa serait étrange pour tes parents d'entendre que tu a prit deux douches…

Carl : Ouais mais… tout nu… dans une place aussi petite… je sais pas si t'es vraiment prête a me voir nu au complet…

Silvia : Mais je suis nu depuis le début moi! Sa me dérange pas!

Carl : Hum… ouin… c'est comme tu veux alors… viens…

Carl entre-ouvrit la porte pour regarder si quelqu'un venait. Personne. Il ouvrit la porte et se dirigea vers la salle de bain suivit de Silvia, sans faire de bruit. Il barra la porte et se déshabilla complètement, en hésitant quand même un peu.

Silvia : Alors? C'est pas si difficile que sa! Aller… entre dans la douche!

Les deux entrèrent après avoir ajusté l'eau, Carl se lava rapidement mais Silvia prenait son temps. Quand elle eut fini, elle surprit Carl en lui faisant une grosse colle, elle se sentait bien avec lui. Elle toucha doucement le sexe du jeune homme qui était avec elle.

Carl : Qu'es-ce que tu fait?

Silvia : Aucune idée… t'es le premier qui me fait sentir comme ça, je crois que je t'aime.

Carl(la repoussant un peut) : Moi aussi je t'aime…mais je suis pas prêt a allé plus loin tout de suite, on devrais attendre un peu…

Silvia : C'est d'accord, on va attendre encore un peu…

Elle lâcha Carl, mais seulement après l'avoir embrassé sur la bouche. Carl, un peu surprit, lui retourna ceci en forme de colle.

Carl : J'ai l'impression que l'ont n'attendra pas très longtemps… je t'aime Silvia!

Ils arrêtèrent la douche, Silvia se secoua pour enlevé le plus gros de l'eau dans sa fourrure et dans ses cheveux, Carl reçus un bonne parti de l'eau sur lui.

Silvia : Oups… désolé!

Carl : Rien de grave, j'était déjà mouillé de toute façon…

Ils sortirent, s'essuyèrent et se rhabillèrent, bien, si mettre 2 manches ont peut appelé sa s'habillé. Carl passa une brosse a cheveux a Silvia, pour ses cheveux et sa fourrure, lui, se peigna légèrement les cheveux(sa coupe de cheveux « Emo »(même s'il n'a pas les cheveux noir…) se place de façon naturelle depuis le temps qu'ils sont comme ça. Quand ils furent prêt, ils retournèrent dans la chambre pour rangé un peu. Ensuite, Carl dit :

Carl : Reste ici, je vais cherché mes parents et leur expliqué un peu pour pas qu'ils soit trop effrayé.

Silvia : D'accord.

Carl descendit en bas, dans la cuisine, il ne trouva que son père.

Père : Bonjour… encore rentré tard?

Carl : Pas tant que sa, juste vers 3h… où est maman?

Père : fait du ménage, sûrement en haut… pourquoi?

Carl : Eh… je reviens tout de suite…

Carl se dirigea vers les escaliers, quand il entendit sa mère criée.

Carl : Merde…

Son père se leva rapidement, couru vers les escaliers alors que la mère descendait.

Mère : PREND TON FUSIL!!! Y A UNE BÊTE DANS LA CHAMBRE DE CARL!!!

Carl : Arrêté… je vais tout expliqué!!!

Personne ne l'écouta, son père prit le fusil qu'il garde toujours près de la porte d'entrée, et monta en haut, suivit de Carl. Son père visa la bête, qui se cachait dans un coin de la chambre. Carl se mit devant.

Carl : STOP!!!

Silvia : Carl!!!

Elle se leva et se blotti contre lui.

Silvia : Pourquoi? Pourquoi il est prêt à me tué? Parce que je suis pas humaine?

Le père de Carl laissa tombé son fusil, sa mère qui regardait la scène a partir du cadre de porte se commença à se sentir coupable. Les deux parents avait l'air de s'en vouloir a mort.

Carl : Bon… maintenant que tout le monde s'est calmé, on va pouvoir se parlé.

 

Ils expliquèrent leur aventure, en enlevant quelques éléments, comme la partie de la douche, la nuit collé et le suicide.

Père : Je suis vraiment désolé…

Silvia : Je peux comprendre… c'est pas tout le monde qui peuvent accepté sa facilement.

Mère : On va devoir parler un peu voir si on peu se permettre qu'elle reste ici.

Les parents se retirèrent et Louis sortis de sa chambre.

Louis : Sa s'est pas passé comme prévu?

Carl : Non… mais bon, maintenant que c'est fait…

Silvia : Sa aurait pu être pire, y avait son fusil sur moi, sa a passé proche…

Louis : Je suis content pour vous…

Il se dirigea vers la salle de bain, ferma la porte et prit sa douche. Eux, ils se regardèrent droit dans le yeux, sourirent et s'embrassèrent.

Silvia : Je vais vraiment vivre avec vous?

Carl : Ouais!!! Sa pourrait pas être mieux!!! Oh-oh!

Sa vision se noirci, il n'arrivait plus a tenir debout, il sentit son cœur arrêté de battre et s'effondra sur son lit, inconscient. 30 secondes plus tard il repris conscience et se releva.

Silvia : C'était rien de grave, ton cœur a arrêté de battre quelques secondes, t'était mort mais tu est revenu.

Carl : Ouch… sa fait mal.

Silvia : Malheureusement… ce n'est qu'un début, d'ici ce soir, tu va avoir trois ou quatre crises du genre, peut-être des pire que celle-là…

Carl : Ouf… sa va prendre du courage.

Les parents de Carl les appelèrent, pour réglé quelques choses.

Père : On accepte de te garder ici avec quelques conditions… 1e, tu t'énerve pas, si tu perd ton calme avec les griffes que tu as, on ne serait pas en sécurité… 2e, quand ont a de la visite, tu reste caché, tu comprend que sa serait trop compliqué a expliqué a tout le monde… 3e, on a pas d'argent et pas la place pour un autre lit, tu devra dormir avec Carl. Es-ce qu'il a un problème.

Silvia : Aucun monsieur.

Mère : Pas besoin de nous appelé monsieur et madame, t'es chez toi ici maintenant, appèle nous « maman et papa », on est trop habitué pour se faire appelé autrement.

Silvia : D'accord… maman…

Ils réglèrent 2 ou 3 autres choses et ensuite, Carl et Silvia se firent un déjeuné, tout seuls dans la cuisines, ils se parlèrent :

Silvia : j'aime pas sa appelé tes parent comme sa… je me sens comme si j'étais ta sœur…

Carl : Je sais… mais même mes ami, quand ils viennent ici, ils les appèlent comme sa, ils ne veulent pas qu'on les appèlent par leurs vrai noms… t'inquiète pas, sa ne veux pas dire qu'on ne peut pas s'aimer comme on le fait déjà, ce n'est que des noms…

Silvia : D'accord… c'est bizarre mais je peux comprendre…

Ils prirent leur déjeuné dans le salon, où tout le monde était, les parents lisant les journaux, Louis regardant la télévision, à Musique Plus, encore des musiques qu'elle ne connaissait pas, il faudra qu'elle s'habitue. Tout le monde la regardait de temps en temps, elle ne se sentait pas encore chez elle, il fallait que les autres s'habitue à elle pour qu'elle se sente mieux.