Vision Of Escaflowne Fan Fiction ❯ Fic à quatre mains ❯ Popples vs Escaflowne ( Chapter 15 )

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Fic à quatre mains

Par Maria Ferrari (et C'line)

Alors, comme ça, les popples entrent en guerre... les salauds !... c'qu'ils vont s'prendre dans la gueule, t'vas voir ça !

Attention, les popples, les bisounours et les petits poneys, Maria Ferrari arrive...

C'est parti !!

-Chapitre 15 - Popples vs Escaflowne-

Citations à la con pour faire joli :

« C'était pas ma putain d'guerre » - Rambo

« Quelle connerie la guerre virgule Barbara point d'exclamation » - Je ne sais plus qui a dit ça (et j'ai la flemme de chercher) mais C'line (qui sait tout) vous le dira à moins que vous ayez trouvé par vous-même d'ici là...

Van courut à Escaflowne (qu'il avait garé juste devant la porte pasque, par chance, il y avait une place de libre et tant mieux, pasque c'est un gros feignant le Van, marcher cinq cent mètres, c'est trop dur pour ces p'tites jambes)

« J'peux savoir ce que je t'ai fait ? », me demanda Van.

Rien, monte dans ton guymelef et fous-moi une paix royale (ce qui tombe bien vu qu'il est roi)...

Les régiments de Bisounours débarquèrent des vaisseaux et lancèrent des petits cœurs et des petits nuages (vous savez avec leurs ventres), qui transperçaient les gens !... ben ouais, 'sont très très méchants les bisounours, j'l'ai toujours dit moi !...

De leur coté, les popples sautaient en boule de leurs vaisseaux et allaient frapper de plein fouet les populations civiles...

Les petits poneys n'étaient pas en reste (mayday, mayday, j'ai jamais regardé les petits poneys... tant pis, j'vais inventer ! Si ça s'trouve, j'vais tomber juste)... ils envoyaient des éclairs avec leurs cornes (oui, pasque si ma mémoire est à peu près bonne, ils avaient des cornes les petits poneys... que je réfléchisse, j'ai une cousine qu'est obsédée par les petits poneys, elle en assez pour remplir tout un rayon de magasin de jouets... il me semble qu'ils ont des cornes... en tout cas, certains...)

Pendant ce temps, Dilandau avait réussi à isoler un popple... ah ah ah, il va passer un sale quart d'heure...

« Alors, mon nom, c'est Dilandau... D-I-L-A-N-D-A-U, tu mets un mot gentil, hein... ah, la vache, les autres vont être verts de jalousie »

NON, MAIS JE REVE, IL EST EN TRAIN DE LUI DEMANDER UN AUTOGRAPHE !!!

Ça va pas du tout ça !!!... Faut que j'le reprenne en main...

Hum, comment j'pourrais faire ? Je sais :

Folken surgit à coté de Dilandau comme de par hasard...

« Putain, mais qu'est-ce que tu fous ? En ce moment, tu devrais être dans ton guymelef en train de tout cramer et de rigoler cruellement... enfin, c'que tu fais d'habitude dès que tu as l'occasion de tuer des gens, quoi ! »

« MAIS, C'EST LES POPPLES ! J'PEUX PAS FAIRE DE MAL A DES POPPLES ! C'EST MES HEROS !! »

« J'EN AI RIEN A BATTRE ! », hurla Folken, « SI TU PEUX PAS T'ATTAQUER AUX POPPLES, ET BIEN, BOUSILLE DU BISOUNOURS ET DU PONEY... QU'EST-CE QUE J'EN AI A FOUTRE ! ET D'ABORD DEPUIS QUAND T'AS DES ETATS D'AME ?! »

Dilandau prit un air extrêmement sérieux.

« Folken, voyons : Tuer des soldats, je veux bien, des paysans, je veux bien, tuer des rois, je veux bien, tuer des ouvriers, sans problèmes, les femmes, les enfants, les bébés, comme tu veux... mais les popples, les bisounours et les petits poneys, je ne peux pas... j'ai des principes... »

« Aaah, t'as des principes... TU SAIS OU TU PEUX T'LES METTRE TES PRINCIPES ! Va au turbin et arrête de me faire ch... ! »

<violons>

« Aaah, Folken, comme tu as des mots durs envers moi, moi qui suis prêt à tous les sacrifices pour ta personne... n'as-tu donc aucun respect pour moi ? Alors que... je nourris un tendre sentiment à ton égard... »

Les violons s'arrêtèrent brusquement... et Folken faisait une drôle de tête... que j'vous le décrive, il avait les yeux exorbités, la mine défaite, le teint très très pâle, les cheveux hérissés (non, ça c'est normal) et ses fringues pendaient lamentablement (me demandez pas pourquoi, mais c'est vrai)...

Bon, moi, j'm'arrête là pour aujourd'hui, pasqu'il va bientôt être huit heures et qu'j'ai aut'chose à faire !... Donc, à toi d'jouer C'line !

-A suivre-