Vision Of Escaflowne Fan Fiction ❯ Fic à quatre mains ❯ Cuite du soir, espoir ( Chapter 1 )
Fic à quatre mains
Par Maria Ferrari (et C'line)
Avertissement : Les personnages d'Escaflowne ne m'appartiennent pas (pas plus qu'à C'line d'ailleurs), ça se saurait… je m'en sers juste un tout ch'tit peu et n'en tire aucun profit financier (je le jure… d'ailleurs, je me demande bien comment je pourrais !)
-Chapitre 1 - Cuite du soir, espoir-
Dilandau se trouvait en tête à tête avec une bouteille de grand cru (qu'il avait été prélever dans la cave privée de Folken, sans lui demander l'autorisation évidemment) avec laquelle il s'entendait très bien (mais il faut dire qu'il avait toujours eu d'excellentes relations avec tout ce qui pouvait provisoirement lui faire oublier qu'il était un psychopathe pyromane et que la moitié des gens le détestait, qu'un quart le méprisait et qu'il fichait la trouille au reste).
« Pourquoi qu'on m'aime pô ? », se lamenta-t-il, légèrement saoul... ce qui n'était pas vraiment étonnant vu qu'il s'était employé à boire le contenu de l'objet avec lequel il s'entretenait.
« JE suis pourtant TELLEment FORmidaBLE comme type... TOUT le MONde IL devrait M'Aimer ! »
Comme la bouteille avait l'outrecuidance de ne pas daigner lui répondre (et qu'elle était dorénavant vide), il l'envoya valser plus loin.
Dilandau avait les yeux rougis par l'alcool... ah non, attendez, j'ai dit une connerie, c'est un albinos, il a tout le temps les yeux rouges, au temps pour moi, oubliez ce que je viens de dire.
Reprenons :
Dilandau avait les yeux bouffis par l'alcool. Folken pénétra dans la pièce (c'est son droit vu que c'est son appart que Dilandau squatte).
La mauvaise humeur débordait de Folken. Lui, d'habitude si... enfin, vous savez comment est Folken... il est... zut, j'ai oublié le mot !... son visage est toujours inexpressif, quoi ! Bon, mais là, c'est pas le cas. Les généraux l'ont fait ch... pendant deux heures au sujet de gommes volées, ensuite, il l'ont emm... à propos du fait que c'était pas normal qu'un certain dragon n'ait pas été capturé, mince alors, pour quoi qu'on les payait cet abruti de stratège de Folken et ses puceaux de Dragonslayers commandés par ce taré de Dilandau.
Une fois sorti de cette foutue réunion, il s'était cassé la gu... dans le couloir tout juste serpillé et la femme de ménage qui l'avait "secouru" lui avait parlé pendant une heure de ses problèmes « ... et mon mari, il a un rhume, et ma belle-mère, elle est toujours sur mon dos, et mon fils, il bosse pas à l'école, et ma fille, elle court après tous les garçons qui passent, et moi, j'ai mal au dos » « ben moi aussi à présent ! » lui avait dit Folken pour interrompre le flot des paroles qui menaçait d'inonder le couloir, ce qui était vrai, il avait d'ailleurs aussi mal au c... suite à sa chute.
Et voilà qu'il retrouvait le narcissisme personnifié (en l'occurrence, un môme de quinze ans) chez lui.
« Dilandau, comment t'es entré ? », demanda-t-il en se retenant de lui crier dessus.
« J'ai un p'tit peu crocheté la serrure. »
Dilandau se leva (difficilement) et tituba jusqu'à Folken.
« Folkeeeen, mon start... sratège... srat... mon machin préféré ! »
Il l'entoura de ses bras et lui fit un gros câlin. Folken s'attendait à tout de sa part mais pas à ça. Il regarda Dilandau avec l'air de se demander s'il en avait deux (ce qui est une question qu'on peut légitimement se poser dans le cas de Dilandau si on a vu la série Vision d'Escaflowne car à la fin on apprend qu'en fait, Dilandau, c'est Serena, la sœur d'Allen Schezar... bon, moi, personnellement, je veux pas faire celle qui frime, mais je l'avais compris dès le troisième épisode, ça se voyait, quoi ! Alors, dès qu'Allen a parlé de Serena à Hitomi, pis qu'on l'a vue petite et qu'après on a vu Dilly, ben moi, j'ai tout de suite fait le rapprochement, surtout que, c'est pas pour dire, mais je trouve que Serena enfant ressemble plus à Dilandau qu'à Serena adulte... bon, c'qu'est un peu ch... dans le fait de savoir dès l'épisode trois une partie de l'énigme, c'est que ça m'fout en l'air tout le suspense et...)
« LA FERME ! », hurla Folken, « J'ai déjà subi les jérémiades d'une femme de ménage, j'vais quand même pas me taper celles d'une auteur de fics dans la même journée !... Alors, on poursuit le récit ! »
Bon, bon (râleur !), où j'en étais ?... Ah oui !... Folken est donc de mauvaise humeur (comme vous avez pu le constater)...
Et je m'arrête là ! Hin hin hin... à toi de jouer, C'line !
-A suivre-