Vision Of Escaflowne Fan Fiction ❯ Fic à quatre mains ❯ El cuento ( Chapter 6 )
Fic à quatre mains
Par C'line (et Maria Ferrari)
-Chapitre 6 - El cuento-
Dil avait trouvé une astuce pour repêcher le mobile de Folken : Il jeta une énorme tranche de rumsteck fraîche dans l'aquarium pour attirer les poissons ailleurs, ce qui lui laissait les secondes nécessaires pour prendre le téléphone et le redonner à Folken.
« Allo Allen ?... Pas la peine, ça marche plus. Et un Nokia de foutu !!! »
Donc, Dil et Folken se dirigèrent vers la chambre de Dil, avec entrain pour l'un et avec angoisse pour l'autre (jeu : à qui ces expressions s'adressent-elles ? Sauras-tu le dire ?)
« Oh pis d'abord, commença Dil, avant, j'aimerais que tu me racontes une histoire !... »
« Une histoire ? Une histoire de quoi !! J'en connais pas moi et chuis pas ta mère !!! », déclara Folken.
Mais comme il avait prononcé le mot "mère", les larmes de Dil montèrent directement aux yeux façon "Princesse Sarah" (oui, pasque dans cette série, elle arrête pas de chialer, une vraie fontaine !...Et puis l'aut' blondasse, quelle pétasse celle-là !!! et ça rime, 'fin passons !)
« Nononononon, j'voulais pas dire ça !! D'accord, couche-toi, tu vas l'avoir ton histoire »
Dil se coucha rapidement et se blottit avec son nounours popple (vous savez, la peluche qui ressemblait à un bisounours mais qui se retournait comme une chaussette ?... Et ne voyez aucune vulgarité là-dedans !)
« Alors, fit Folken dans un souffle résigné, c'est... c'est l'histoire d'un... d'un garçon... non non, d'une fille plutôt ! Oui, une fille, qui fait du sport et qui lit dans les cartes... »
« Hitomi ! », jugea Dil convaincu.
« Non, celle-ci s'appelle Jeanne, et elle fait du volley-ball avec son copain Serge... »
« Ah bon, moi, j'croyais que c'était Hitomi ! »
« Mes personnages, moi, je les invente, mais bon, je continue : donc, elle fait du volley et va dans un collège fou fou fou, avec une bande de tarés indélébiles qui aiment qu'à faire le bordel. Un jour, après un match de volley, elle décide d'aller boire un coup avec sa meilleure amie Gigi... »
« C'est son vrai nom ? », questionna Dil.
« Je crois, oui... mais arrête de me couper tout le temps !! »
« D'accord, d'accord, je le ferais plus ! »
« A la bonne heure !... bon, donc, elle va boire un coup avec sa copine Gigi quand elle rencontre soudain... Bourdu !!!! »
Dil hésita un moment.
« ... Qui c'est ?... »
« C'est l'ancien copain de Jeanne qui fréquente à présent toute une bande d'écolières vicieuses, car toujours masquées, et qui gagne sa vie en faisant de la pub pour Ferrero Rocher !... »
« Pour accompagner les soirées de l'ambassadeur ? »
« Lui-même ! Et v'la t'y pas qu'il commence à l'insulter du genre "Ouuuuiiiii, alors comme ça tu fais ta fière, tu me connais pluuuus, j'suis pas aussi sportif que ton nouveau mec, là, Serge, et tout !", alors elle, elle lui fait "ouais bah toi t'es pas mieux, t'as carrément un harem pour toi tout seul, alors j'vois pas pourquoi tu te plains comme ça, d'abord !" et pis ils allaient en venir aux mains quand arriva à l'improviste... »
« Alain Proviste ? Ca fait bizarre comme nom ! »
« Meuuuh non, c'est une expression ! Ca veut dire que quelqu'un arrive sans crier gare !... Et donc arriva Nicky Larson qui avait vu toute la scène, et qui voulait les séparer parce qu'il n'aimait pas la violence ! Quand il sépara les deux zigotos, et comme ça faisait un sacré bail qu'ils ne l'avaient pas vu, ils lui dirent "comment ça va ?", et Nicky de dire "Ah ben justement, j'suis crevé ces temps-ci, j'arrête pas de courir : je suis poursuivi par une hystérique qui en veut à ma virginité. Je vous jure, c'est une vraie dingue !!! En plus, elle se promène toujours en maillot deux pièces panthère été comme hiver, et se fait appeler Lamu, ou un truc comme ça...", Et pis alors il avait à peine terminé sa phrase qu'au loin résonnait une voix aiguë : NIIIIIIIIIIICKYYYYYYYYYYYYYYY ! C'était elle, la nympho !! Et pis c'est à ce moment-là qu'elle reçut une crêpe en pleine gueule, pasque le père de Lucile, qui est crêpier, il a raté son coup, et comme ça suffisait pas, un gros plein de soupe rayé sur quatre pattes qui ressemble vaguement à un chat et qui est toujours dans les basques du crêpier, ben lui, a suivi la crêpe, et il s'est jeté sur l'autre en maillot, qui est tombée lourdement sur ses fesses... Bien fait pour sa gueule, y'a pas qu'à moi que ça arrive !!! » fit Folken, pris dans son propre délire, et il continua là-dessus à parler d'un mec qui se nommait Max et qui n'arrivait pas à dire sa fiancée : « Juliette, je t'aime », 'fin un truc comme ça...
Alors Maria, toi aussi tu veux replonger dans tes souvenirs d'enfance et poursuivre le conte ?
-A suivre-