Vision Of Escaflowne Fan Fiction ❯ Fic à quatre mains ❯ Desayuno ( Chapter 10 )
Fic à quatre mains
Par C'line (et Maria Ferrari)
Ah, qu'il est agréable de se faire souffler le début du scénar et de broder la suite après !!!
-Chapitre 10 - Desayuno-
Donc, on revient aux deux connes :
« Ouin ! », geignit Hitomi, « T'es pas gentil : J'avais mis une heure pour la retrouver cette foutue carte ! »
« Ouais ben c'est pareil : T'es toujours aussi conne !... Et toi, la blondasse, ricane pas, pasque t'es pas mieux, avec tes airs de Barbie et de Nelly Olleson » (ouh ! La casse !)
Maria Ferrari : Heu, c'est qui Nelly Olleson ?
C'line : Tu ne sais pas qui est Nelly Olleson ??? Rhôôôôôôô!!
Remarque si tu as eu le privilège inouï de ne pas te l'avoir coltinée (indirectement, et dans ce cas, je vise ma sœur !) durant une bonne partie de ton enfance entre midi et deux (même l'horaire j'm'en souviens encore !!), c'est sûr que tu vois pô qui c'est...
C'est la méchante blondasse de "la petite maison dans la prairie", tu sais ? Celle avec des anglaises, la fille de l'épicière, qui était sinon plus en tout cas aussi conne que sa fille. Elle se la pétait un peu partout pasqu'elle était la fille d'une des familles aisée de la ville (évidemment, y avait que des ploucs de chez péquenauds dans ce bled paumé !)
Sale connasse de grognasse de radasse de blondasse de mes deux !!!
Alors si tu vois toujours pas qui c'est, regarde M6 à 12h30, car cette chaîne a pris la détestable habitude de diffuser cette série en boucle depuis une dizaine d'année, et je me demande comment ils font pour pas saturer !!! T'imagine ??? 10 ans !!!!! RHAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!
« Pfouuuuu ! De toute manière, Papa noël, y va bientôt nous attaquer ! »
...
(Veuillez excuser l'auteur pour cette annotation plagiée dans une œuvre de débilité similaire, et reprenons le récit)
Pouf pouf
« Pfouuuuu ! De toute manière, j'suis sûre que t'en a une minuscule ! », siffla Mirana, dont je doute fort qu'elle puisse confirmer ses dires.
« Même pô vrai ! Et pis d'abord ta sœur, eh ben elle est plus bonne ! »
Mirana, offusquée par le propos d'Allen, lui fila une baffe (ah ! La voilà enfin, et d'une !)
« Tu m'as frappé là ? Je rêve pas ? Tu m'as frappé ? Espèce de... de... ! »
« D'impuissant ? »
Du coup, Allen se tourna immédiatement vers Hitomi.
« Putain, tu lui as dit pour ?... »
« Ben, justement, je me suis rendue compte que j'avais laissé la porte du parc ouverte quand on est rentré pour... hum hum ! »
« Exact », fit la radasse contente de son coup (mais ça va pas durer !) « et je dois dire que tu es finalement un peu décevant »
Allen ne put contenir son air menaçant :
« You're talking to me ? You're talking to me ? Make you fuckin'... »
KKKKKKSSSSSSKKKKKKSSSSKKKKK (ah merde ! C'est encore le décodeur !)
Et tandis qu'on commençait à se foutre des baffes (un peu comme dans Astérix), on se rend au petit déj' chez Folken, pasque l'ambiance est franchement plus sympa !
« Tu sais quoi ? J'ai passé une nuit suuuuuuuuuuuper ! On r'met ça ? », osa Dil.
« Et puis quoi encore ? », protesta Folken tandis qu'il mettait du café dans le filtre, « Ce soir tu dormiras sans moi ! »
« C'est pasque t'es toujours gêné de ce que je t'ai dit tout à l'heure ? Allezzzzzzzz ! J'aime bien quand t'es tout près de moaaaaaa ! », fit-il en minaudant comme une midinette (... suis-je bête, c'est la même racine de mot !)
(Oula !!), pensa Folken immobile devant son café grand-mère, (Si ça se trouve, je l'ai excité plus qu'il ne le fallait, ce petit !! Et si ça se trouve, le truc tout dur qui m'a chatouillé cette nuit, c'était... ! Oh putain, il va me faire une fixette !!!)
Et quand il se retourna pour voir ce que faisait Dil pendant tout ce temps, il constata qu'il était tout simplement en train de le contempler, les coudes sur la table et les joues dans les mains, et prenant l'air béat d'un ado admirant les moindres gestes de l'objet de son doux sentiment comme si il s'agissait d'un mouvement héroïque... Vous me suivez là ? 'fin bref, il le regardait niaisement !!!
« Hum hum !! », simula Folken pour rompre le silence, « Combien de sucres ? »
« Comme toi », susurra Dil, dont on ne savait si pasque c'était qu'il est mal réveillé ou pasqu'il fantasmait éveillé.
« Bon... et tu veux de la confiture ? »
« Sur toi... »
« Hein ? »
« Heu ! Surtout, SURTOUT de la confiture, surtout, pasque sinon, c'est pas bon des biscottes... sans rien... comme ça... nature... 'lors faut de la confiture !! Surtout !! De la confiture !... », rattrapa Dil à temps, mais faut dire aussi qu'il commençait à piquer du nez dans son bol !
« Oui... évidemment... mais quoi comme confiotte ? Framboise ? Fraises ? Myrtilles ? Rhubarbe ?.... »
« Euh, Myrtilles, s'il te plaît ! »
Et le petit déjeuner continua, jusqu'à ce qu'on sonne à la porte :
DING DONG ! (j'la fais bien la sonnette, non ?)
Et toi, sauras-tu dire qui se cache derrière la porte ? (fastouche : tu regardes par derrière !)
Suite au 1 384 595ème épisode de "Amour, haine et guymelefs"
(Générique de fin pourrave avec des violons et du piano, genre "les feux de l'Amour")
-A suivre-