Gundam Wing Fan Fiction ❯ Sleeping beauty, a kiss to wake you up? ❯ Ou tout s'accelère ( Chapter 6 )
Auteur : Kazuza
Origine Gundam Wing POWER
Genre : Yaoi, amitié, dispute violente...on commence les choses en douceur niark niark…
Couple : Les mêmes que dans " rest in peace ", mais au cas ou vous auriez oublié je vous les rappelle : 1x2x5x1 (heero seme-sama !), 6x5x6, 3x4x3, Lacex3, 3-Lace, 1-6, 5-1 Hilde-2, 2/Hilde et en amitié Rél/Heero, lace/Zech
Disclaimers J’les a tellement machonné que leurs véritable créateur n’en voudront sûrement plus hein ? Non… ? Sniff…… ok sont pas a moua. Dans cette fic vous trouverez des perso qui m’appartiennent et que vous connaissez peut être déjà si vous avez lu d’autre de mes fic. Lace Stanberg de " rest in peace " Adian Merund, l’infirmier de " cry and suffer " et enfin Zee Auckland de " mon nom est zero ".
Les évènements se passent environ 1 ans après " cry and suffer " donc Quatre, Duo et mariemaya ont 19ans et Wufei, Trowa, Heero et Réléna ont 29 ans.
Chapitre 5 : Ou tout s’accélère.
Flash back :
AC 198 Il arrive parfois que les mots ne traduisent plus vos pensées, que vos pensées ne traduisent plus vos sentiments et que vos sentiments eux même ne traduisent plus rien de vous. Trowa vivait un de ses moments là. Debout dans une petite salle blanche à l’éclairage agressif, il ne pouvait quitter des yeux le corps morcelé et noirci qu’on avait reconstitué pour l’occasion et qui avait été, pas plus tard qu’hier celui d’un dénommé Quatre. On pouvait encore voir quelques mèches blondes accrochées à la tête qui devait être à peu près la seule partie du corps encore entière. Un oeil avait été replacé dans l’orbite à la hate car il dépassait un peu de la cavité oculaire. Bleus. Vitreux. Mort. La machoire inférieur c’était semblait t’il, déboité au moment de la mort. Remise en place avec bien plus d’art que l’oeil, on ne devinait ce fait que parce que les comissurent des lèvres violettes étaient déchiré sur plusieurs centimètres. Le torse semblait avoir été déchiqueté par une bête affamé puis passé au chalumaux. La peau arborait une variété impressionante de couleur et de texture. Le noir craquelé d’un vieux parchemin, le rouge poisseux du sang, le bleu et le violet vaguement jaunâtre là où les veines avaient explosé et enfin le blanc laiteux, carnation naturel du jeune homme, peu présent cependant. La partie inférieure de la chose avait été recouverte d’un drap blanc mais l’on distinguait les formes avec assez de précisions pour deviner que le medecin n’avait pas vraiment pris la peine de terminer la reconstitution du corps, pensant certainement qu’il suffisait du visage, voir du torse pour identifier la victime. Ou peut-être n’avait t’il simplement pas retrouver tous les morceaux. Trowa posa la question sur un ton banal, qu’il utilisait habituellement pour demander l’heure du repas. La main d’Heero se crispa douloureusement sur son épaule et le jeune homme se demanda un instant si sa clavicule n’allait pas éclater. Comme celle de Quatre. La victime s’apelait Quatre. Quatre n’était pas un prénom courant pourtant. Il se demandait bien pourquoi Heero était venu, tout pâle, le chercher en pleine répétition pour lui montrer un cadavre aussi peu ragoutant. Pas qu’il soit particulièrement choqué, des cadavres comme celui là, il en avait vu tellement durant la guerre. Le jeune homme avait du être victime d’une mine, voir d’une grenade. Seulement ça c’était du temps de la guerre. Et la guerre était finit. Et la victime s’appelait Quatre. Vraiment pas courant comme nom. Heero avait finit par lacher son épaule et le français en ressenti un certain soulagement mêlé d’une étrange déception. Le medecin chargé de l’autopsie qui les observait d’un air triste et compatissant, déclara finallement. _Reconnaissez vous le corps ? Trowa leva un sourcil intérrogateur et se tourna vers Heero, encore plus pâle que tout à l’heure, puis vers le corps avant de revenir au visage défait du japonais. Il n’était pas bien sûr de comprendre ce qui se passait. _Je suis sensé connaitre cette personne ? Le medecin avait secoué la tête d’un air profondément attristé puis avait murmuré à Heero qu’il était dans la pièce d’à côté pour quand ils seraient près. Le brun avait acquiescé, l’air extrêment las. Trowa n’aimait pas ce qui était en train de ce passer. Il détestait ne rien comprendre. Et l’expression malheureuse du japonais d’habitude si inexpressif le rendait, pour une raison inexplicable, complètement malade. Il songea un instant à le frapper en pleine figure et avec toute ça force, histoire de la faire disparaitre de son visage. Il se retint. IL n’avait aucune raison de faire ça. Yuy n’avait rien fait qui mérita un tel traitement. Il était juste triste à en mourir car une personne qu’il aimait beaucoup était allongée, en petit morceau, sur cette table et il s’attendait visiblement à ce que Trowa, qui après tout était son meilleur ami, partage sa peine. Trowa réunit toute sa compation pour faire part au japonais de son soutient quand celui ci lança d’une voix rauque, légèrement éraillé, comme s’il avait beaucoup pleurer : _Tu ne le reconnais pas ? Trowa avait essayé de sourire pour réconforter le brun. Mais le sourire était resté coincé. Il le connaissait et Heero aussi…. C’était vraiment peu probable car lui et le Japonais ne fréquentait absolument pas les mêmes personnes à part les trois autres. Il avait beau y réfléchir, sa mémoire semblait se jouer de lui une fois de plus car il n’arrivait pas à savoir…. Comme Heero ne semblait pas vouloir en démordre, il se reconcentra sur le visage du mort. Malgré son mauvais état, on pouvait encore voir que le garçon avait du être très beau. De leur âge à peu près. Non, vraiment il ne voyait pas. Il haussa les épaules vers le japonais en signe d’excuse. Loin de s’irrité ou de s’enerver, le brun demanda doucement : _Trowa ? _Hum ? _Tu te souviens de ce dont nous avons parlé tout à l’heure, en venant. Ce dont ils avaint parlé en … _Ah oui, cette blague stupide et de très mauvais goût ? Ne me dis pas que c’est vraiment pour ça que tu es venu me chercher pendant une répétition ? Une blague stupide vraiment…. Qu’elle mouche avait piqué le japonais ? Même Duo n’aurait pas inventé de blague aussi glauque. Le jeune homme se tourna lentement vers le corps calciner et y posa un regard, un peu fou mais plein de tendresse. _Ses soeurs n’avaient pas le courage d’entrer, vu son état on peut les comprendre. Wufei revient en urgence de L5 et Lena en a déjà eut assez avec celui de Duo. Il n’y avait personne d’autre que moi…. Je voulais que tu puisses lui dire au revoir, j’ai eu tort ? _Mais de quoi parle tu YUY ? ? ? ? ? Avait finalement hurler Trowa, perdant dieu seul savait pourquoi, cette maitrise si parfaite de lui même. Le japonais ne sembla pas faire attention à son accès de fureur. Il continua à parler doucement, caressant du bout des doigts les lèvres glacés du cadavre. _Il est encore beau non ? Malgré l’explosion, on voit encore que…. Le coup de poing partit tout seul. Et le coup suivant et celui d’après et ainsi de suite jusqu’à ce que Trowa n’eut plus la force de continuer. Heero, le visage presque aussi âbimer que celui du cadavre à présent, passa ses bras autour de ses épaules et ils s’éffondrèrent tous les deux. _Ce n’est pas possible ! S’entendit hurler Trowa, de loin, de très loin. Ce n’est pas vrai ! ! ! ! ! Fin du flash back Terre Sank Samedi 1h49 du matin Le hurlement de Trowa reveilla Quatre si brutalement que le jeune homme faillit tomber du lit. La fenêtre de leur chambre d’hotel était grande ouverte et le jeune arabe frissonait tant l’air était frais. Le brun tremblait aussi, mais pas pour les mêmes raisons. Les draps étaient trempé de sa sueurs et il dû rejeter la couverture et se lever pour pouvoir se rafraichir. _Trowa ? _Un cauchemar, c’est tout. _Je sais… _Je vais pendre une douche, coupa brusquement l’homme en voyant un instant le visage ensanglanté du cadavre se superposer sur celui de Quatre. Il se précipita presque en courant dans la salle de bain et se laissa aller sous le jet d’eau brulante avec une reconnaissance certaine. Pourquoi fallait t’il que ça lui arrive maintenant ? Quatre avait enfin accepter de passer le Week-end avec lui, seul, en tête à tête, fait extrêment rare depuis quelque temps. Il avait souvent fait ce cauchemar des années auparavant. Cette scène atroce qui lui revenait sans cesse, encore et encore. Le corps déchiqueté, ensanglanté, noircis et surtout ces yeux. Ces yeux bleux si magnifique. Ces yeux morts. Il eut un légé haut le coeur et faillit sortir de la douche pour aller vomir dans le lavabo. Il se retint. Il fallait qu’il se calme. Quatre, dans la pièce d’à côté devait surement sentir son malaise et il ne voulait absolument pas le faire souffrir. C’était hors de question. Il rejeta la tête en arrière et augmenta le volume de l’eau, esperant ainsi chassé les images du passé en même temps que la sueur accumulé pendant la nuit. Trois mois avaient passé depuis leurs vacances et tout semblait aller en se détériorant. La relation entre Wufei et Heero c’était lentement mais surement éffrité, surtout du côté du chinois d’ailleurs et Duo semblait pensé, d’après Quatre, que la rupture était proche, même si le japonais refusait de l’admettre et qu’il trouvait que c’était mieux comme ça. De plus en plus, il commencait à plus aprécier Wufei comme un ami très proche que comme un amant. Du côté de Wufei, celui ci s’entendait de mieux en mieux avec Zechs et ça, Heero refusait de l’accepter. Il avait mit sur le compte du prince tous les problèmes qu’il rencontrait dans ses couples, mettant volontèrement de côté toute responsabilité de sa part. C’était mauvais. Même Quatre, Duo et Relena réuni n’avaient pas réussi à le convaincre de consulter un spécialiste. Quant à lui et Quatre, le problème était tout autre. Ça peur d’étouffer Quatre et de le predre à jamais le tourmentait tellement qu’il lui laissait bien trop de liberté. Il n’insistait jamais quand le jeune homme refusait de venir à un rendez vous à cause d’une réunion urgente, ne se plaignait pas de ses retard et n’essayait même plus de lui faire l’amour, s’il n’avait pas préalablement fait le premier pas. Et maintenant ce cauchemar qui revenait. Trowa n’était superstitieux, masi il avait confiance en son instinc. Et cet instinc prenait souvent des formes détourner pour se faire comprendre de lui, utilisant les rêves par exemple. Ce rêve. Il ne l’avait plus fait depuis 7 ans. Ce rêve, il l’avait fait chaque nuit pendant les deux mois qui suivrirent le décès de Quatre et de Duo. Un an de répit avait suivit et finalement le rêve était revenu, toutes les nuits, une semaine avant la première tentative de suicide d’Heero. De meêm que pendant sa permièer overdose 3 ans plus tard. Ce rêve n’exprimait qu’uen chose. Un grand malheur tout proche. Tout à ses sombres pensées, le brun n’entendit pas la porte de la douceh s’ouvrir et sursauta violement en sentant un corps fin et tendre se presser contre son dos. _Encore à ressasser de mauvaise pensée ? _J’avais presque fini…. _La douche ou de ressacer ? Si c’est la douche c’est bien dommage, murmura tranquilement le blond en glissant une main plus qu’équivocque sur l’entre jambe de l’ex pilote d’Heavy arms. Trowa ne répondit rien et laissa sa tête partire en arrière, sur l’épaule de son amant pendant que celui ci le masturabait avec dextérité. Après la jouissance, il se sentit plus serein et plsu enclein à se confier. Il laissa Quatre l’essuyer puis le ramener dans le lit. Une fois confortablement installée, le corps blanc du jeune arabe reposant contre le sien, sa tête sur son torse, il hésita à lui faire part de ses tourments. Déjà son horrible cauchemar se dispersait en brides indistinctes, éparpillé à tout vent par la présence chaleureuse de Quatre. Mais celui ci n’était pas du même avis. _Alors ? _Alors quoi ? _Trowa… soupira le blond en déssinant de tendres arabesques du bout des doigts sur le torse de l’ex pilote d’Heavy arms. _Un cauchemar comme un autre…. _Ce n’est pas ce que tu ressens…. _J’ai un très mauvais préssentiment, finit par avouer le brun en serrant un peu plus fort son jeune amant. _Moi aussi… _Encore à propos d’Heero ? _Plus seulement hélas, c’est plus général, plus diffut et … tu sais… j’ai perdu 4 centimètres…. _…. Quoi ? _Duo et moi, on remarquait que depuis un certain temps…. On est en train de… comment dire… enfin, on change physiquement, on perd du poids, des centimètres, des trucs comme ça…. _Tu en as parlé à Wufei ? _Pas encore, je ne veux pas l’inquiéter encore plus alors qu’il commence tout juste à retrouvé un véritable équilibre psychologique…et puis ça ne m’affecte pas au niveau de la santé, au contraire, je me sens plus fort…. J’ai plus d’énergie…. _Tu lui parleras quand exactement ? S’enquit Trowa. Son inquiétude avait légèrement baissé, car si Quatre et Duo ne s’inquiétait pas vraiment du problème c’était qu’il ne devai pas être majeur, cependant, c’était tout de même angoissant. _Quand il aura romput avec Duo et Heero…. _Alors ça va vraiment ce faire ? _Hum, c’est inévitable. Vivre avec Heero et Duo l’a aidé à se reconstruire, mais maintenant, il est temps qu’il commence enfin sa nouvelle vie. Sa vie, pas celle d’Heero. _IL lui en a déjà parlé ? _Non, tu penses bien, mais Duo et lui se sont mit d’accord là dessus. _Duo le prend bien ? Demanda le brun, inquie à l’idée de voir les personnes qu’il aimait le plus s’entre déchiré. _Très bien, il est tout à fait d’accord avec Wufei, en fait. _Il ne compte pas quitté Heero aussi, souffla Trowa en imaginant sans peine la réaction du japonais. _Bien sur que non ! Duo et Heero sont vraiment amoureux, ce n’est pas juste une amitié amoureuse comme avec Wufei. _Hum, tu me rassures. _Je sais… si jamais Heero se retrouvait abandonné par eux deux en meêm temps, la chose noire le dévorerait… _La chose ? _C’est quelque chose qui se trouve au plus profond de son coeur. Ça me fait peur… elle était déjà là au départ, mais si petite et la présence de Duo, de Wufei et même la notre et celle de Relena semblait la tenir à distance, mais depusi quelque mois elle a commencer à grandir, et maintenant elle menace à tout moment de le dévorer. J’aimerais tellement qu’il voit quelqu’un…… Le brun ne répondit rien, troublé par les paroles de son amant, et se contenta de lui caresser doucement les cheveux pour l’apaiser. Un instant, il fit le veux stupide mais si sincère, de retourner au temps de la guerre. Au temps ou il combattait tous ensemble, proche, très proche, mais sans prise de tête. Sans histoire. Un objectif et pas le temps pour penser à autre chose. C’était stupide bien sûr mais comme il le pensait à cet instant. Sank Au même moment. Les hurlements enflaient encore et encore, emplissant toute la maison. S’il s’avait eut des voisins, ils n’auaint pas tarder à recevoir des plaintes. Seulement, ils étaient seuls. Duo, fatigué et surtout effrayer par la colère qui c’était emparé du japonais quand Wufei leur avait annoncé, plus tôt dans la soirée, qu’il sortait avec Zechs, avait plié bagage pour aller trouver refuge chez Réléna, laissant son amant désemparé et dans un état de rage indéscriptible. Il n’avait pas voulut l’abandonner, ni même le laisser seul avec Wufei, mais il craignait de plus en plus la violence de leur dispute. L’ex soldat parfait avait tout tenté pour le retenir, mais même les larmes n’avaient servis à rien. Duo lui avait clairement fait comprendre qu’il ne rentrerait pas tant que lui et Wufei n’aurait pas trouvé d’arrangement. Resté seul dans leur grande maison, Heero avait été saisit d’une de ces profondes crises d’angoisses qui l’avaient forcé, six ans auparavant à se droguer. Trop d’espace, la sensation de voir les murs s’écarter et se rapprocher, le silence tellement assourdissant qu’il en était presque douloureux, la peur de ne plus jamais revoir Duo et Wufei. Déboussolé et térrorisé, il se sentait comme un petit garçon perdu, incapable de crier « à l’aide » tant la peur et la solitude le tétanisaient. A moitier fou, il ne se souvint jamais du moment exact ou il retrouva la boite de « pillule du bonheur » qu’il avait dieu seul savait pourquoi, conservé pendant temps d’année, ni de celui ou il les avala toute, les faisant passer à grande rassade de Wiskhy. Tout ce dont il se souvint ce soir là, c’est que quand .Wufei rentra se soir là, au allentour de deux heure du matin, il sentait un parfum d’after shave qu’il ne connaisait que trop bien. Celui de Zechs. Ce lui de ce sale connard de Zechs Merquise. Il se souvint vaguement d’avoir attraper Wufei par le col de sa chemise noir impacable et de l’avoir secouer en hurlant. _OU TU ETAIS ? ? ? _C’EST PAS TES AFFAIRES YUY ? ? _ENCORE AVEC LUI HEIN ? ? _CA NE TE REGARDE PAS ! _IL TE SAUTE C EST CA ? ? ? Il se souvint du poing de Wufei sur sa joue, il se souvint de l’avoir entendu ressortir aussi sec en claquant la porte et il se souvint avoir eut tellement peur qu’il ne revienne jamais qu’il l’avait suivit. Sa lucidité lui revint suffisament durant la filature pour ne pas se laisser repèrer par Wufei, surment trop enragé pour se soucier de savoir si on le suivait ou pas. Et puis, il n’y avait pas de réelle raison de se méfier, ils étaient en temps de paix. Il se souvint de l’avoir vue entrer chez Zechs et il se souvint aussi de l’y avoir suivit avec toute la discrétion meurtrière du soldat parfait qu’il avait été. Il les avait obsèrvé longuement. Il avait entendu Wufei dire qu’il n’en pouvait plus de tout ça et que Duo était d’accord avec lui et il avait entendu Zechs lui demander d’emmenager chez lui. Il avait vu les yeux si noirs de Wufei s’ouvrirent grand de stupéfaction. Il avait vu le sourire tendre, amoureux de Zechs quand il lui avait demandé s’il plaisantait. Il se souvint qu’il n’avait aps pu en écouter plus. Il se souvint qu’il était rentré chez lui, aussi discrètement, ou alors un peu moins, la drogue commençait enfin à agir, qu’à l’aller. Il se souvint d’avoir vomi d’angoisse dans al salle de bain. Wufei allait partir ! Et si Wufei partait, Duo ne reviendrait pas. Duo ne reviendrait jamais. Il se retrouverait seul, seul, seul……. Il se souvint qu’à travers les nuages de couleurs vives qui commençaient à peupler son cerveau, il avait vu apparaitre le corps brisé et mort de Duo et celui, déchiqué de Quatre. Il se souvint qu’à cet instant Wufei était rentré et qu’il lui avait dit qu’il faisait ses bagages et qu’il quittait la maison sur le champ. A partir de cet instant, il ne se souvint plus de rien, sauf de la haine, profonde et violente qui remplaça sa peur. Juste cela, avant l’oubli complet et total. Sank Dimanche 8h20 du matin Quatre était nochalament installé sur la térrasse d’un petit café branché qu’il affectionnait tout particulièrement. La journée était particulièrement belle. Le soleil brillait déjà, réchauffant agéablement l’air un peu frais du matin. IL avait déjà commandé un café au lait pour lui et un chocolat chaud accompagné d’un muffin à la mirtylle pour son invité qui se faisait un peu attendre. _Vous attendez vos parents jeune homme ? Avait gentiment demander la serveuse. _Non, je suis majeur vous savez, avait t’il ajouté, en lui montrant sa carte d’identité avec un petit sourire moqueur. La jeune serveuse avait rougit de confusion et s’était enfin ecclipsé. Quatre se laissa une nouvelle fois aller dans le siège en soupirant. Il détestait qu’on le prenne pour un gosse, vraiment. Il allait tout de même sur ces 20 ans, même si physiquement il était clair qu’il en faisait facilement 17, voir moins. Il se frotta un peu les yeux. Cette nuit avait été l’une des plus horrible de sa vie. Après le cauchemar de trowa et leur discution, il n’avait put se rendormir. La colère et le desespoir d’Heero c’était soudain mit à gonfler en lui avec une telle force qu’il avait eut peur et avait couper son lien psychique avec lui, ainsi qu’avec Wufei et Duo. Seulement même après cela, il n’vait put trouver le repos, rongé par la culpabilité. Même si il savait qu’Heero devait être capable de surmonter ses difficultés de couple seul, il ne pouvait oublier sa peur et sa souffrance. Ni sa propre lacheté. Avait t’il réellement couper le contact pour laisser Heero se débrouiller seul ou tout simplement parce qu’il était fatigué de devoir jouer les mères poules ? Les deux hypothèse le déprimait autant l’une que l’autre. _Hello beau gosse ! Lança une voix joyeuse qui le tira de sa rêverie. _Lace, souffla t’il avec une joie évidente en se levant le temps qu’elle s’assoie. La jeune femme était, comme toujours ravissante avec ces cheveux blonds mi-long, ses yeux bleus pétillants et son sourire de petite fille. La robe blanche légère, lacée dans le dos qu’elle portait accentuait son côté enfantin et Quatre s’autorisa un instant à la trouver adorable. Depuis les deux mois qu’ils se fréquentaient, ils avaient eut tout deux le temps de réviser leur jugement l’un sur l’autre et de commencer à réellement s’apprécier. Le fait que la jeune femme n’est pas cherchée une seule fois à revoir trowa par son intermédiaire avait été pour beaucoup dans l’instauration d’une confiance, puis d’une amitié réciproque. Sa thérapie l’avait visiblement beaucoup aidé car, lui qui ne l’avait connu qu’Hystérique, violente et médisante, l’avait redécouverte, drole charmante et douce. Et quoi qu’en dise Trowa qui était persuader qu’on lui avait fait subir un lavage cerveau tant son comportement avait changé, Quatre sentait bien que le coeur de la jeune fille c’était purifier de tout ces démons. Son amour pour Trowa était toujours présent, aussi grand et puissant que jamais, mais à présent libre de la jalousie, de la colère et de la haine qu’il entrainait habituellement. Elle était sereine, quoiqu’un peu mélancolique parfois, mais ça s’arrangerait avec le temps, il en était sûr. Quoi qu’il en soit, il était particulièrement heureux de passé une matiné avec une bonne amie après cette nuit particulièrement éprouvante. _Oh tu as déjà commander, s’exclama t’elle avec un grand sourire en prenant place face à lui. _Alors ma belle, comment ça va aujourd’hui ? _Hum, merveilleusement bien ! Seulement……. _…. ? _Tu aurais un peu de temps à m’accorder ce matin ? Demanda t’elle timidement. _Ce n’est pas ce que je suis en train de faire ? La taquina Quatre en sirotant son café. _Ffffff. _Evidemment. _En fait, je voudrais te présenter quelqu’un ! Quatre haussa un sourcil intérrogateur en voyant l’air surexité de la jeune femme. Il ne l’avait pas vue aussi euphorique depuis le jour ou Trowa avait accepté de la revoir, en temps qu’ami évidemment. _Je voudrais que tu rencontres l’homme qui a changé ma vie ! _Ton psy ? _Oui ! _Lace…. _Oh, Quatre je t’en prie ! Il est merveilleux tu verras ! Je voudrais tellement que tu le connaisses. Cet homme…. Il m’a sauvé…… Le jeune arabe regarda un instant la jeune femme et ne put resister au sourire timide qu’elle affichait. Après tout, celui qui avait réussi à purifier le coeur de Lace de cette manière ne pouvait être qu’un homme bien. Et puis, il devait avouer que dans son fort intérieur, il était curieux de savoir enfin qui était ce mystérieux Adian. _Très bien, tu as gagné…. _Yeah ! Il passe vers 10 h à mon appartement pour ma séance du samedi, tu pourras le voir ! En attendant on pourrait se regarder un bon film ! _La dernière fois que tu as parler de bon film, je me suis retrouver sur le canapé à mater la version intégrale de l’exorciste et franchement…….. _Hey ! L’exorciste never died ! _…….. _Bon ok, tu choisis le film alors ! _Vendu ! Sank 8h35 Avant même d’ouvrir les yeux, il sut. Il sut qu’il c’était passé quelque chose d’horrible. Il ne pouvait pas dire quoi, ni dire quand, les drogues et l’alcool, bien que sont organisme y fut plus résistant que la normal, avaient bien remplie leur office. Il se sentait nauséeux et pantelant. Il changea de position en roulant sur le coté. Une pointe douleur fusa quand son visage frota le sol. Il l’ignora. Tout son corps lui faisait mal comme jamais, de toute façon. Finalement, il porta tout de même sa main à sa joue. Quand il la retira, il n’y vit que du rouge, poisseux. Du sang, à demi coagulé. Il avait dû rouvrir la blessure au moment ou il cétait retourner. Quand il réussit enfin à se lever, il faillit retomber aussitôt devant l’horreur du spéctacle qui s’offrait à lui. Le salon était dévasté. Le sofa et les fauteils étaient renversés, certain coussin éventré, pas une seule lampe n’étaient pas au sol, brisé. Il y avait un mur fissuré, ou l’on distinguait clairement une marque de poing. La moquette beige était par endroit souillé de sang. Et au milieu de cet enfer qui avait jadis été son salon, se trouvait le corps d’une des personnes qu’il aimait le plus au monde. Un corps qui ne portait plus que des lambeaux de vêtement et tout aussi meurtri, si ce n’était plus que le sien. Son ventre se contracta d’horreur et il faillit vomir de nouveau en voyant le sang et le sperme qui avait séché sur l’intérieur de ses cuisses. Lui était à moitier nu. Il…. Il avait…. _Wufei ? Sa voix lui sembla alors horriblement éraillée. Il avait la gorge sèche et des larmes de désespoir menaçaient de couler. Il avait….. Ce n’était pas possible. IL ne savait pas. IL NE SAVAIT PAS. Hier. La peur. Le desespoir. La colère. La haine. Le noir. L’oubli. Tant pis ? Tant mieux ! Non. Il avait vio….. Wufei bougea enfin. Son regard si noir, si beau….. Son regard si…. Haineux… quand il se posa sur lui. Il se remit debout, aussi vite que ces blessures le lui permettaient. Ce n’était pas possible. Il ne pouvait pas. La fin du rêve…. La fin du rêve. De nouveau et encore par sa faute…. Non, non nonnononononoooooooooooooooooooooooooooooooonn ! Non, il devait se calmer. Rien n’était joué. Il y avait encore une solution. Tout irait bien. Duo ne saurait rien et Wufei… Wufei…. Il oublierait…. Oui, c’était une idée géniale. Parfaite. Après ça, tout redeviendrait comme avant. Wufei oublierait ce connard de Zechs, il oublierait ses souffrances et il ne se disputerait plus et alors Duo ne serait plus triste. Duo reviendrait. Duo……. Au secours Duo……. Non, il n’avait pas besoin de d’aide. Il maîtrisait tout comme toujours. Il avait le contrôle de la situation. Il quitta la pièce, ignorant Wufei et alla se rhabiller plus convenablement avant de prendre le téléphone et de composer un numéro qui lui était bien familier. 8h56 Quand Réléna aperçu l’ambulance devant la maison, elle pria très fort pour que ce ne fût qu’une erreur. La jeune femme se gara en urgence sur un trottoir et se jeta littéralement hors de la voiture. Quand elle vit cinq infirmiers sortir de la maison, tentant désespérément de maîtriser un Wufei dans un état épouvantable suivit de près par un Heero à l’aspect un peu près semblable elle resta quelques instants figée, ne sachant pas trop quoi faire. Finalement elle sortie de sa torpeur et se précipita vers l’ex perfect soldier. En la voyant, Wufei se débattit de plus belle. _Il a fait une crise, murmura Heero, l’air choqué et désolé, il a tenté de me tirer dessus…. Je ne sais même pas pourquoi….. _Ce n’est pas possible…… _DARLIAN ! Ne le crois pas ! Il ment, il ….. _Il est en plein délire, je ne savais pas quoi faire, alors j’ai appelé l’hôpital, coupa le brun en prenant les mains de la jeune femme pour l’obliger à le regarder. _CONNARD !!! ENCULE !!! JE VAIS TE CREVER, TU M ENTENDS, JE VAIS TE CREVER !!!! Se mit à hurler le chinois, perdant alors toute retenu tandis que les infirmiers étaient enfin parvenus à le plaquer au sol et à l’immobiliser suffisamment pour que le médecin puisse lui injecter des tranquillisant. Réléna secoua la tête, horrifiée _Ce n’est pas possible……. Oh Wufei… murmura t’elle au bord de la nausée tan dis que l’ex pilote de Shen long se débattait de plus en plus faiblement, les médicaments agissant rapidement dans son organisme affaiblis. _Ne vous inquiétez pas, on va prendre soin de lui, soupira le médecin en secouant la tête d’un air navré. _Comment en est on arrivé là ?!! Il allait mieux ! _Ce genre de rechute est hélas assez fréquente, surtout quand le patient est sujet à un stress intense dans on environnement de tout les jours…. _C’est ma faute murmura Heero en se prenant la tête dans les mains. La jeune femme passa immédiatement ses bras autour du coup du brun et l’attira contre elle. _Bien sûr que non, Heero, tu n’as rien à te reprocher……. _Bien, je vais vous demandez de nous suivrent en voiture jusqu’à la clinique, il faut régler quelque formalité pour l’internement, etc.…. Je comprends que se soit dur, mais il le faut……. _Je te conduis Heero. _Merci Réléna……… je ne sais pas ce que je ferais sans toi……… _Allez viens. _Attends……. Duo n’est pas avec toi ? _Il a reçu un coup de fils d’Hilde hier soir. Elle était en pleurs et s’excusait de la façon dont elle l’avait traité, elle voulait le voir alors il est parti la rejoindre sur L2. _Tu aurais dû le retenir !!!! _Calme toi Heero, s’exclama la jeune femme, légèrement désappointée par la violente réaction du japonais. _Excuse moi, je n’en peux plus de tout ça…….. _Je comprends… ne t’inquiète pas, Duo était si heureux qu’elle l’ait appelé. L’important maintenant c’est de s’occuper de Wufei. D’accord ? _Oui, tu as raison. A suivre……….. Merci à florinoir miss parker, Wish, onarluca et à toi kachou pour vos review mêem si la suite à pris son temps pour arrivé……