Gundam Wing Fan Fiction ❯ Sleeping beauty, a kiss to wake you up? ❯ Le début du combat ( Chapter 7 )

[ Y - Young Adult: Not suitable for readers under 16 ]
Sleeping beauty, a kiss to wake you up?

Auteur : Kazuza

Origine : Gundam Wing POWER

Genre : Yaoi, drama, death, gore gore gore… ( si vous êtes pas fana des histoires qui vont mal ne lisez pas, c’est un conseil !)

Couple : Les mêmes que dans " rest in peace ", mais au cas ou vous auriez oublié je vous les rappelle : 1x2x1 (heero seme-sama !), 5-1 du 6x5x6, 3x4x3, Lacex3, 3-Lace, 6x1, 1-6, Hilde-2, 2/Hilde et en amitié Rél/Heero, 5/mariemaia et Mariemaia qui en pince pour 5 et on verra par la suite…..

Disclaimers : J’les a tellement mâchonné que leurs véritable créateur n’en voudront sûrement plus hein ? Non… ? Sniff…… ok sont pas a moua. Dans cette fic vous trouverez des perso qui m’appartiennent et que vous connaissez peut être déjà si vous avez lu d’autre de mes fic. Lace Stanberg de " rest in peace " Adian Merund, l’infirmier de " cry and suffer "  Zee Auckland de " mon nom est zero " et enfin Ian Travel qui apparaît dans le chap 3.

Les évènements se passent environ 1 ans après " cry and suffer " donc Quatre, Duo et mariemaya ont 19ans et Wufei, Trowa, Heero et Réléna ont 29 ans.

Chapitre 6 : Le début du combat.   Pour la millième fois en seulement une demi heure, Ian se dit qu’il n’aurait jamais du sécher l’école aujourd’hui. Seul dans le noir, il avait l’impression de lentement étouffer. L’odeur d’urine chaude lui brûlait les cloison nasal comme du cyanure, les sueur froide que la terreur faisait couler dans son dos le glaçait jusqu’à la moelle et il tremblait si fort que c’était un miracle que l’armoire, dans laquelle il avait trouvé refuge, ne tremble pas elle aussi. Le silence était retombé  dans la maison depuis que sa petite sœur avait cessé de crier. Un silence lourd et pesant, comme du plomb. Il n’entend plus non plus les voix de son père et de sa mère, ni plus celle de son frère et de l’inconnu après qui les hommes en avaient. Mais à cet instant, il se fichait de tout cela. Dans d’autre circonstance, il en aurait été malade de honte, mais à ce moment précis, une seule pensée concrète traversait son esprit d’enfant : « Je ne veux pas mourir, je ne veux pas mourir », comme une litanie qu’il ne parvenait pas à stopper depuis les coups de feu. Pas de forte détonation, les hommes avaient sûrement des silencieux car le bruit était légèrement étouffé, mais l’enfant savait, d’un façon quasi instinctive, que toute sa famille était sûrement morte à l’heure qu’il était et que si une des hommes le découvrait dans le double fond de l’armoire de la chambre de ses parents, il subirait le même sort. Pourtant la journée avait commencé de la manière la plus normale qui soit. Sa mère avait emmené sa petite sœur chez la nourrice avant d’aller au travail et son père les avaient déposé lui Benjamin à l’école. Comme souvent, il avait fait le mur et était rentrer discrètement chez lui pour jouer avec le matériel militaire que ses parents cachaient dans l’armoire de leur chambre. Il avait découvert le double fond par accident un an auparavant et avait été immédiatement fasciné par les armes, les uniformes et les dossiers qu’il contenait. Bien sûr, il savait que ses parents avaient fait la guerre, mais ceux-ci avaient le sujet en horreur, qui pourrait les en blâmer d’ailleurs, et avait le don d’occulter tout ce qui pourrait intéressé un enfant avide d’aventure comme Ian. Il avait donc gardé sa découverte secrète et avait commencé à sécher de temps en temps l’école pour revenir jouer dans la maison vide, s’amusant à manier les différentes armes ou encore à lire les rapport de mission, s’imaginant à la place de sa mère. Cet après midi là avait donc commencé comme tout les autres quand il avait entendu, de la chambre, la porte d’entrée s’ouvrir.
Il avait eut juste le temps de se glisser dans le double fond et refermer derrière lui imaginant sans mal l’ampleur de sa punition si sa mère apprenait qu’il séchait et qu’en plus il jouait avec des armes à feu. Tout avait semblé bien se passer. Sa mère discutait joyeusement avec une personne qu’il ne connaissait pas, mais qu’il apprécia tout de suite grâce à sa voix à la fois énergique et chaleureuse. Il n’entendait vraiment pas très bien ce qu’ils se racontaient, mais il crut comprendre qu’ils attendaient le psychiatre de sa mère, ce qui doucha son intérêt pour la personne inconnu. Il détestait le psychiatre de sa mère. Sa voix douce et ses sourires mielleux le rendaient littéralement malade. Mais sa mère avait en lui une confiance aveugle et souhaitait le présenter à la personne inconnue. L’inconnu… « Duo » nom vraiment bizarre mais bon, il y avait bien une Astrech dans sa classe alors… l’inconnu donc ne semblait pas non plus très chaud à l’idée de rencontrer le psychiatre, qui pourrait lui en vouloir d’ailleurs, mais semblait apprécier assez sa mère pour rester tout de même. L’enfant percevait un soulagement et un bonheur quasi transcendantal dans sa voix d’adolescent. La sonnette avait finit par retentir et il avait entendu sa mère se lever pour aller ouvrir puis un cri de surprise. Les voix de sons pères et de son frère s’élevèrent soudain, en même temps que les pleurs de sa petite sœur. Ian c’était dit à cet instant qu’il aurait vraiment beaucoup de mal à se sortir de se guêpier et envisagea un instant de se rendre immédiatement dans l’espoir de diminuer sa peine mais une petite voix sortit du fin fond de son esprit lui souffla de ne pas bouger tout de suite et d’attendre la suite des évènements. « Duo » semblait aussi être un ami de longue date de son père car ils se mirent aussitôt à discuter chaleureusement. Son frère était semblait t’il fiévreux et l’école ne pouvant joindre sa mère avait appelé son père pour qu’il passe le cherché, et il avait décider puisque de toute façon il devait prendre sa journée de passé chercher Anne chez la nourrice histoire d’économiser une journée. La sonnette retentit une seconde et l’estomac de Ian s’était alors noué, comme s’il avait su, d’une manière ou d’une autre ce qui allait se passer.  Sa mère était aller ouvrir et le premier bruit avait retentit, ainsi qu’un bruit sourd, comme quand on faisait tomber un objet lourd et massif sur le sol. Ian avait reconnu se bruit. Il l’avait déjà entendu tant de fois à la télévision. Ce petit bruit étouffer comme un souffle d’air…… Il y avait eut un hurlement, celui de son frère qui avait suivit sa mère dans le couloir et le bruit avait retenti une fois de plus. Ian aurait voulut faire quelque chose, bouger ou même penser, mais rien ne venait à son esprit, pas même la peur. Juste le vide. Des bruit de lutte avait alors retenti dans la maison. Un craquement sonore avait retenti dans le couloir. Un homme avait hurlé que qu’on lui avait cassé le bras et le bruit avait retenti encore de nombreuse fois tout comme celui des meubles renverser tandis que le lieu du combat semblait s’éloigner, se déplaçant vers le salon. C’était là que Anne c’était mis à hurler ce qui avait sortit Ian de sa torpeur. Le bruit une dernière fois et l’arrêt brusque du hurlement.
Puis le silence. Et la terreur était venue.
Du plus profond de son être comme une lame de fond qui l’avait brusquement submergé. Il avait posé ses mains sur sa bouche pour s’empêcher de hurler, de hurler sans fin tandis que l’urine brûlante s’était écoulée le long de ses jambes. IL allait mourir. Les hommes le trouveraient dans le double fond de l’armoire. Il le trouverait et le tuerait. Et comme pour confirmer ses pensées, des gens étaient entrés dans la chambre de ses parents. Instinctivement, il s’était plaqué contre le mur, comme si par se geste il s’offrait une meilleur protection. Mais les hommes n’avaient pas fait mine de fouiller la chambre. L’un d’entre eux gémissait de douleur. _ Ce connard m’a cassé le bras ! ! ! ! _Je vous avais dit de vous méfiez bande d’abruti ! ! Le sang de Ian se glaça un peu plus quand il reconnu la vois du psychiatre. L’homme de confiance de sa mère.
En un instant la peur se mua en haine et les tremblement qui assaillir l’enfant ne furent plus du à la terreur mais à le colère la plus pure et la plus profonde qu’il n’ait jamais ressentit. _ Ils étaient sensé être que deux, une femme et un gamin, maugréa un deuxième homme. _Une ancienne militaire et un ex pilote de gundam bande d’abruti ! Heureusement que j’avais prévu plus d’homme au cas ou ! Ca a faillit mal tourner ! ! _Faillit ? ? ? ? Hurla l’homme au bras cassé. Fred et Johno son mort ! ! ! Et carter…….Ce gamin n’est pas humain, c’est pas possible ! ! ! C’est un monstre ! ! ! _SI vous m’aviez écoutez, ça ne serait PAS arrivé alors maintenant, agent spécial ou pas vous allez faire ce que je vous dit quand je vous le dis, c’est comprit ? ? _Bien monsieur, murmurèrent de homme tandis que bras cassé se contentait d’un grognement. _Parfait. Claine, raccompagnez Decks à la base et dite à Wagnerr que les deux poupées sont en route et que le petit scientifique ne tardera pas non plus. _Et pour le docteur Auckland ? Elle sait des choses….. _Je me rend à Sank pour vérifier que le transfère de notre troisième invité se passe dans les meilleures conditions, je m’occuperais de cette chère Zee en passant. En attendant, transportez la poupée à l’astroport. Une navette privée vous attend, dépêchez vous. _Et pour les corps ? _Ramassez ce des nôtres et saccager un peu le salon. Ca passera pour l’œuvre d’un maniaque ou d’un cambrioleur. Et dépêchez vous avant que tout le bouquant que vous avez fait ne rameute du monde ! ! ! ! Ian, les entendit sortir de la chambre et les battements de sont cœur s’apaisèrent légèrement. Ils ne savaient pas qu’il était là. L’appartement fut de nouveau secoué par le bruit des meubles brisés ou renversé puis la porte d’entrer claqua et le silence retomba. Il attendit cependant une bonne dizaine de minute avant de sortir de son abris salvateur, non pas par mesure de précaution, son esprit écrasé par la peur et brûlé par la haine n’étant plus capable de former une pensé cohérente, mais tout simplement parce que ses jambes refusaient de le porter. Il sortit finalement, haletant et pantelant, son jean collant à sa peau de la plus désagréable manière qui soit. Mais à peine eut t’il mit un pied dans le couloir que les dernières brides forces qui le soutenaient le quittèrent le laissant tomber au sol et vomir tout ce qu’il avait pu mangé au cours de la semaine. Sa mère…….. Son frère…… Dire que ce matin…… ce matin……  Ce monstre…….. Ce PUTAIN DE MONSTRE ! ! ! ! ! ! ! ! ! Pensa Ian si fort qu’il du se mordre la lèvre jusqu’au sang pour ne pas hurler haut et fort l’insulte. Il lui ferait payer ses crimes, oh oui il les lui  ferait payer. _Je dois me ressaisir, je dois… je dois, cria t’il en s’agrippant au mur pour se relever. Et il reprit cette litanie encore et encore en rasant les murs qui le conduirent au salon. Il trébucha plusieurs fois mais ne détourna pas pour autant les yeux du mur. Il savait que s’il voyait son père et sa sœur il perdrait tout courage et n’aurait plus qu’à se laisser tomber sur le sol comme eux. Et ça il n’en était pas question ! ! Jamais. Bien qu’il n’est pas comprit grand chose de leur conversation, une chose était claire dans son esprit. Ce monstre comptait encore tuer quelqu’un.
Le docteur… docteur… Auckland….. Sank………. Une ville de la terre….. Ses parents y avaient vécu, avant sa naissance…….. Oui, il devait prévenir cette personne. Lui dire de se sauver.
Elle avait peut-être des enfants, des enfants comme lui……
Oui, il devait se dépêcher avant que la police n’arrive… Il atteint finalement le buffet qui avait été miraculeusement épargné et ouvrit rageusement tout les tiroirs à la recherche de l’annuaire. Mais pas n’importe lequel… Heureusement, ses parents avaient longtemps vécu à Sank avant de revenir sur L2. Si seulement ils étaient restés là-bas… si seulement……. L’enfant secoua la tête pour chasser ses pensées inutiles.
Il devait se concentrer. Il devait se concentrer sur le docteur Auckland, sinon il ne lui resterait plus rien. Ian trouva enfin le gros volume et le glissa sous son bras avant de refaire le chemin inverse toujours concentrer sur le mur contre lequel il était.
Les corps de son père et de sa sœur qu’ils savaient se trouver juste derrière lui  dégageaient une sorte d’aura empoisonnée qui le terrifiait et l’attirait irrésistiblement. Tout serait si simple s’il se retournait. Le vide le remplirait comme quand il avait vu le corps de sa mère et il n’aurait plus qu’à se laisser délicieusement glisser dans le blanc et à s’endormire….. Peut-être pour toujours…….
ET laisser le monstre gagner ? ? ? ? ? ? ? ? Hurla la voix de son cœur, JAMAIS ! ! ! !   Terre Sank Cabinet du docteur Auckland. Zee Auckland pestait une fois de plus sur l’univers qui lui en voulait, c’était sûr quand le téléphone sonna. Evidemment Maria, sa secrétaire, avait trouvé le moyen de tomber brusquement malade la veille, la laissant surchargé de travail. Elle faillit un instant céder à la tentation et laisser sonner le téléphone mais sa conscience professionnelle la repris. Elle avait déjà assez bafoué sa profession comme ça.
_Cabinet du docteur Auckland, j’écoute ? _Je voudrais parlez au docteur Zee Auckland ! C’est bien son cabinet ! ! ? ? ? ? ? Zee avait l’habitude, en tant que psychiatre de recevoir des coups de fils de personne stressé, dépressive ou parfois même carrément dérangé, mais là c’était une première. Un gosse. Elle songea un instant à une blague téléphonique mais la voix quasiment hystérique du garçon lui fit pensé que l’affaire était autrement plus grave. _Elle est là oui ou non ! ! ? ? ? _Je suis le docteur Auckland mon garçon, écoute……. _Je sais que vous devez penser que c’est une blague ou un truc comme ça mais vous DEVEZ m’écouter ! ! ! Vous êtes en danger……. Ok, l’enfant avait de gros problème… Paranoïa, stress aiguë et il avait dieu seul savait comment eut ce numéro de téléphone…. _Ecoute, tu n’as pas l’air bien, veux tu bien me passer tes parents ? Je ne prends que les adultes d’habitude mais je peux peut-être vous conseillez un…..
_Adian ! Adian Merund ! ! La jeune femme se figea brusquement, un frisson d’horreur parcourant son corps. _Qu’est ce que tu as dit ? _Le psychiatre de ma mère ! ! ! IL est venu chez nous et………  ma mère…….. elle… et … j’étais caché dans l’armoire ! ! Il a dit à l’autre homme qu’il allait vous tuer ! ! Vous devez vous enfuir ! ! Vous comprenez, sanglota hystériquement l’enfant. La jeune femme sentit ses jambes se dérober sous elle et du se retenir au bureau pour ne pas s’écrouler. Adian… mon dieu mais qu’est ce que ce monstre avait encore fait ? ? ? Elle ferma un instant les yeux pour se reprendre et parla très calmement, mais fermement pour ne pas choquer l’enfant plus qu’il ne l’était déjà. Il avait besoin d’être rassuré et de recevoir des directives claires et précises, d’avoir un point de repères, un appui sur lequel se tenir. Elle entendait à sa voix qu’il n’était pas loin de craquer. _Comment t’appelles tu ? _Vous me croyez hein, vous…….
_Calme toi, je te crois, je te le jure. Maintenant toi, écoute moi, d’accord ? _….. Oui….. Hoqueta l’enfant qui sembla se reprendre quelque peu. _Tu as de l’argent ? _Je  j’en trouverais…… _Bien, tu vas prendre un taxi et te rendre au spatioport le plus proche, ou vis tu exactement ? _L2…. _Bien, ton nom et prénom ? _Ian, Ian Travel…. Travel… Travel… elle avait déjà entendu ce nom quelque part…. _Bien, écoute moi attentivement Ian, d’accord ? _Oui, oui… _Au spatioport tu donneras ton nom à l’hôtesse d’accueil et tu lui diras que ta maman t’a réservé une place pour un vol pour la terre d’accord ? _Oui mais… _Je m’occupe de tout, ne t’inquiète pas. Au spatioport de la terre quelqu’un avec ton nom écrit sur une plaquette t’attendra, d’accord ? _Oui…. _Il faut que tu sois courageux d’accord ! ? Ne t’inquiète plus de rien, je m’occupe de tout. L’enfant acquiesça une nouvelle fois avant de raccrocher et Zee prit son sac avant de sortir en trombe du cabinet.
Dans le taxi qu’elle prit pour se rendre chez Wufei Chang elle s’occupa des réservations pour l’enfant. En temps normal elle lui aurait immédiatement dit d’aller voir la police mais un sombre pressentiment quant à la suite des événements l’étreignait. Ainsi Adian voulait se débarrasser d’elle ou du moins l’empêcher de parler.  Cela ne l’étonnait qu’à moitié mais elle savait maintenant que quelque soit l’affaire dans laquelle son ancien camarade de classe soit impliqué elle la dépassait de très loin. Elle était très inquiète pour Wufei. Adian l’avait dernièrement fait chanté pour qu’elle dirige rapidement la thérapie du jeune homme dans un sens qui le ferait se séparer de Yuy et Maxwell ce qu’elle avait accepter pour préserver son secret et à l’époque elle envisageait de toute façon de faire prendre au jeune homme cette direction de toute façon. Seulement, connaissant Adian, son sadisme pur et sa passion pour les affaires douteuses depuis longtemps la peur l’avait saisit. Elle savait qu’il ne voulait pas que cette histoire s’ébruite mais de là à la supprimer elle ? Dans quoi avait t’elle finit par s’embarquer ? Heureusement l’enfant pourrait peut-être lui fournir plus d’information sur tout ceci et ainsi elle serait à même d’aider Wufei. Tant pis si il révélait à tous ce qu’elle avait fait. Rien au monde ne cautionnait le meurtre et son ancien camarade avait depuis longtemps emprunté une voix qu’elle ne pouvait pas suivre. Plus jamais elle ne voulait tuer. Jamais. Arrivé devant leur maison elle paya sa course et sortie de la voiture. Alors qu’elle s’apprêtait à sonner, une vielle qui arrosait ses plantes l’interpella. _Ca ne sert à rien Mademoiselle, il n’y a personne. _Vous connaissez les gens qui vivent ici ? Demanda Zee, surprise. Deux des occupants étant d’un naturels discret et le troisième souvent à l’extérieur, il était assez étonnant vu leur tranche d’age respective même qu’il est put se lier à cette vieille dame. _Oh je ne les connaissais pas bien avant ce matin. Plutôt du genre discret, enfin sauf depuis quelque temps évidemment. Il y avait de l’eau dans le gaz si vous voyez ce que je veux dire… _Oui, je vois, mais ce matin ? _Une ambulance est venu très tôt et à emmener un des jeunes hommes. Il avait visiblement perdu l’esprit, le pauvre…. Murmura la petite dame, son visage buriné par le temps n’exprimant que compassion et affliction.  _Oh non, Wufei…. Murmura Zee, en saisissent son portable sans même voir remercier la femme. Toute cette histoire prenait une très très mauvaise tournure ! ! ! Le téléphone sonna plusieurs fois avant que la voix fatiguée de Réléna lui réponde. _Réléna Darlian j’écoute ? _Réléna ? ? ? _Zee̷ 0;. Mais pourquoi est ce que… oh, l’hôpital t’a appelé pour Wufei ! ! ? ? ? On est aux urgences psychiatrique avec Heero en train d’attendre qu’il arrive. _Justement Réléna, il y a un gros problème ! ! ! IL faut qu’on se voie tout de suite !  _Comment ça un problème ? _Je n’ai pas été prévenu de son transfère alors que je suis son psychiatre ! Ce n’est pas normal ! _Mais alors comment as tu su que……..
_Je t’expliquerais tout en arrivant d’accord ! _D’accord. La jeune femme raccrocha et appela une agence de taxi pour se rendre aux urgences psychiatrique de Sank. Toute cette histoire n’était définitivement pas normal ! Wufei avait parfaitement retrouvé on équilibre mental, il ne pouvait pas avoir craquer ainsi sans raison et le fait qu’on ne l’ait pas prévenu était extrêmement préoccupant. Une demi heure plus tard elle était à l’hôpital. Malgré la taille du bâtiment elle ne tarda pas à retrouver Yuy et Relena pour la simple et bonne raison qu’il se trouvait au milieu d’un cercle de personne. Plus précisément Yuy et un homme que Zee identifia comme le frère de Relena se battaient au milieu de se cercle tandis que trois vigiles tentaient vainement de s’interposer.
Finalement Relena réussi à se glisser entre les deux hommes et colla une claque magistrale qui calma Heero sur le champ. La jeune psychiatre se dépêcha de la rejoindre pour tenter d’arranger les choses.
Il ne manquerait plus qu’ils se fassent tout les deux embarquer par les flics songea t’elle avec amertume. Une heure plus tard ils sortirent tout les quatre du bureau de la sécurité de l’hôpital, les deux jeunes femmes à force de palabre ayant réussit à convaincre le directeur de ne pas porter plainte et de les laisser partir. Zee ayant payé le taxi de Ian pour qu’il le dépose devant le manoir de Relena, ce fut là qu’ils se rendirent tous. Durant le trajet, la jeune psychiatre eut le droit à un rapide résumé de la situation. Sous différents prétextes les ambulanciers charger de transporter Wufei au urgence psychiatrique de l’hôpital général de Sank, avait préféré le conduire dans une clinique privée à la périphérie de la ville à laquelle ils n’étaient finalement jamais arrivé. Depuis plus aucune nouvelle malgré l’avis de recherche lancé par la police. Visiblement c’était l’affaire de professionnel et Zee sentit peu à peu  son sentiment de malaise grandire en écoutant Heero Yuy confesser pitoyablement les événements de la veille qui les avait conduit jusqu’à la présente situation. Il lui semblait fébrile, psychotique et visiblement encore sous l’effet de la drogue qu’il avait prise et Milliardo Peacecraft n’était pas mieux. Relena s’était affalé doucement contre la fenêtre, l’air complètement brisé ce qui lui ressemblait si peu que le malaise de Zee se transforma en peur. Elle transportait dans cette voiture trois des personne les plus forte que la terre et les colonies n’aient jamais porté et pourtant  à cet instant ils lui paraissaient si jeune et si fragile que le peu d’espoir qu’il lui resta menaça de s’évaporer.
Malgré tout elle voulait les aider, plus que tout au monde. La disparition de Wufei et l’appel de Ian n’était visiblement qu’un petite partie d’une affaire beaucoup plus importante dans laquelle elle avait bien malgré elle joué un rôle.
Qu’elle avait été stupide d’espérer que tout finirait par s’arranger tout seul. Elle qui connaissait si bien Adian, elle aurait dû se douter de l’ampleur que cela prendrait.
Un instant la prise de conscience de sa propre lâcheté faillit la terrasser.
Le jour même de la visite d’Adian, elle aurait dû tout raconter à Wufei et à Relena. Au lieu de cela elle avait préféré conserver son petit monde bien rangé et sans histoire et à présent des gens qu’elle aimait allait en pâtir.
Elle dû faire appel à toute sa force mentale pour ne pas céder à l’apitoiement. Rien n’était terminé et quoi qu’Adian ait décidé qu’il n’était pas trop tard, elle en était sûre. Dans le temps il avait toujours aimé prendre son temps et son arrogance était telle qu’il lui arrivait parfois de laissé des indices rien que pour narguer ses adversaire. Elle espérait seulement que le temps et l’expérience n’avaient pas corriger ses défauts. Le temps qu’ils mirent pour arriver au domicile de Yuy, Relena s’était ressaisit et affichait à présent une expression grave mais déterminer qui impressionna Zee. Le jeune ministre était l’image même de la force. Un roc que rien ni personne en pourrait jamais brisé. Un roc dont Yuy avait bien besoin à cet instant lui qui avait tant besoin de pardon. Et visiblement elle lui avait pardonné bien que la jeune psychiatre soit persuadée qu’il n’y avait rien au monde que Relena ne pardonnerait à Heero. Hélas se n’était pas le cas de son frère qui fixait le jeune homme avec un mélange de rage et de pure haine. Qu’une personne qu’il avait tant respecté admiré et aimé est put se conduire de la sorte ne faisait qu’ajouter à son dégoût et à sa colère.
Assit dans le salon il se fixèrent quelque instant en chien de faïence avant que Zee ne se décide à prendre la parole. _Je pense que je sais qui l’a enlevé…. Il s’appelle Adian Merund et…. Elle s’interrompit brusquement en voyant Heero Yuy se redresser, ayant visiblement retrouvé une partie de ses moyens. _Merund…. 1m95, brun, yeux vert ? _Vous le connaissez ? _C’était l’infirmier en chef de l’hôpital psychiatrique de Sank à l’époque ou Wufei…….. Zechs n’intervint pas, mais le nom d’Adian Merund lui était vraiment familier, seulement il n’arrivait pas à mettre les doigts dessus. _Oh mon dieu, soupira Relena, c’est moi ou tout ça ressemble à un coup monté de toute pièce ! ? Zee dit moi que tu n’as rien à voir dans tout ça….. _Il était médecin dans l’armé, avec moi, on a fait validé nos acquis ensemble…. _Tu étais dans l’armée ? ? ? _C’est compliqué…. _Oh, non, ça suffit les « c’est compliqué «  hein, s’énerva Zechs en frappant la table si fort que le verre se fissura. Vous voulez nous aider ? _Oui. _Bien parce que visiblement on en a besoin d’aide, mais pour ça il va falloir jouer carte sur table. IL ne faut pas être grand clerc pour comprendre que vous avez des choses à cachés et honnêtement quoi que se soit je m’en fous royalement ! Yuy a merdé mais au moins il a eut le courage de tout avouer, faite pareil qu’on puisse arrêter de perdre du temps en blabla inutile et nous mettre à la recherche de cet homme ! La vie de Wufei est en jeu ! _J’étais dans l’armé de Oz, puis dans celle de Mariemaia avant la grande paix. Adian m’a fait chanté pour que j’accélère le processus de séparation entre Wufei Duo et Heero et le rapprochement de Wufei avec une tierce personne. Visiblement il avait prévu  les réactions d’Heero face à une trop brusque séparation et une mise en couple et sûrement beaucoup d’autre chose…. Mais pour ça je ne sais rien d’autre.
_Et c’est juste pour ça que vous……. _Milliardo, vous ne vous rendez pas compte de la chance que vous avez eut vous Wufei et Mariemaia d’avoir de puissant pour vous soutenir. Vous ne vous rendez pas compte de ce qu’on du subir vous anciens partisans. SI on l’avait su j’aurais pu dire adieu à ma carrière et d’ailleurs à beaucoup d’autre chose. _Pourquoi avoir changé d’avis Zee, murmura doucement Relena. _Je n’ai jamais voulu de mal à Wufei, ce que j’ai fais devait être fait, seulement cela aurait du être fait plus progressivement voilà tout ! Si Adian m’avait dit de le rendre fou, carrière ou pas j’aurais refusé évidemment ! Il faut que tu me croies Relena. _Je te crois Zee mais que faire maintenant ? _Appelé Trowa, Quatre et Duo pour commencer, déclara lentement Heero en se levant avec son portable, nous seront plus efficace à plusieurs. _Ian ne devrait plus tarder, il nous donnera peut-être de nouvelle information…
_Qui est Ian ? _Un petit garçon qui m’a appelé pour me prévenir qu’Adian voulait me tuer, c’est comme ça que j’ai su pour Wufei . Il était très choqué et visiblement tout seul alors je ne l’ai fait  venir de L2 jusqu’ici. _Tu l’as cru sur parole ? _Si un petit garçon vous téléphonait de L2 pour vous dire que votre ancien camarade de l’armé qui vous fait chanté veut vous éliminer parce que vous en savez trop, qu’est ce que tu en penserais ? _Je vois, Ian, tu as dit qu’il s’appelait ? Demanda soudain Relena qui eut soudain un très mauvais pressentiment.
_Oui…. _Il t’a dit son nom de famille ? _Marel… non Travel, Ian Travel….pourquoi ? Les yeux de Relena s’agrandirent d’horreur mais elle n’eut pas le temps de parler qu’Heero revenait le visage encore plus défait que précédemment. _Duo ne répond pas et Quatre a disparut. Il avait rendez vous avec Lace Stranberg ce matin et comme il ne rentrait pas Trowa est allé à l’appartement de cette fille et l’a trouvé saccagé. Trowa est en route _Et Lace ? ? ? _…… _Ce salaud ! ! Je me souviens ! Merde ! C’était son psychiatre ! Elle disait qu’il tait merveilleux, qu’il l’avait sauvé ! ! Ce putain de…….. Les relations entre Heero et Milliardo n’avaient pas toujours été facile mais malgré tout ce qui avait put se produire leurs respects mutuels ne c’était jamais vraiment dissipé, aussi quand le blond laissa tombé sa tête dans ses mains, complètement abattu, Heero posa une mains maladroite mais réconfortante sur son épaule que celui ci accepta. _Hilde est probablement aussi… oh, dite moi que c’est un cauchemar ! ! ! ! ! Murmura Relena avant de se relever brusquement, le visage déformer par la colère. Les trois autres, oubliant un instant leur douleur et leur abattement la contemplèrent complètement effaré. La jeune fille d’ordinaire si douce et calme bien que sachant se montrer ferme n’avait jamais eut une telle expression de haine et de frustration mêler. Tout son corps en tremblait. S’en était presque effrayant. _Ce Merund……… Il nous a bien mené en bateau ! Mais s’il croit qu’il va l’emporter au paradis il se trompe lourdement ! ! ! Heero ! Fait des recherches sur type, visiblement ce petit con arrogant croit que même s’il utilise son vrai nom on ne le retrouvera pas ! Quand tu aura finit je veux que tu fouilles de fond en comble ses affaires personnelles de Wufei et que tu crack son portable ! ! Milliardo, tu préviens Une et les préventers, tu fais jouer tes relations et les miennes, tu as carte blanche mais je veux des résultats ! ! Zee tu vas me dire absolument tout ce que tu sais de ce type, jusque dans les moindres détails et sans rien omettre, ensuite tu me parleras de tout ce que Wufei à put te dire sur ce qu’il a trafiquer quand il a recréer Quatre et Duo ! Tout ! _Tu penses que ça un rapport ? _Je ne pense pas, je sais ! A peine avait t’elle terminer sa phrase que la sonnerie de l’entrée retentit et pendant que les deux hommes s’exécutaient trop heureux d’avoir quelque chose d’utile à faire, les deux femmes se rendirent dans l’entrée pour accueillirent le visiteur qui se trouva être un petit garçon de 12 ans que Réléna connaissait bien pour avoir assister à son baptême. Ses cheveux noirs tombaient sur son visage défait et d’une pâleur maladive. Tout son petit corps tremblait sous des vêtements sales et malodorants. Il avait l’air à la fois terroriser et complètement perdu. Il ne reconnaissait visiblement pas Relena mais quand celle ci prononça son nom d’une voix tendre et pleine de soulagement il ne put rien faire d’autre que de se jeter dans ses bras et de laisser éclater toute sa terreur et sa douleur contenu depuis le matin, et se sentit incroyablement soulagé en sentant la jeune femme lui rendre son étreinte. _Oh, Ian, on a beaucoup de chose à se dire tout les deux, murmura Relena en le soulevant pour l’emmener à l’abris dans la maison.   A suivre….    Merci Onarluca pour ton petit mot d’encouragement ! ! Tu peux pas savoir comme ça me fait plaisir ! J’espère que la suite t’aura plut !