Captain Tsubasa Fan Fiction ❯ Je t'aime moi non plus ❯ O gai vive la rose ! ( Chapter 18 )
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Chapitre 18 : O gai ! Vive la rose !
Le mot de l'auteur
Kirin : YES !!! L'inspiration revient !!!
Lied : Ouaaaiiiis !!
Kojiro : Oh non .
Lied : Oh si !
Kirin : nyark
Kojiro : Pourquoi j'aime pas quand tu fais cette tête ?
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Le regard rêveur, Sanae, sans se rendre compte des chuchotements amusés et entendus qui naissaient sur son passage, faisait distraitement tournoyer la tige de … de quoi au fait ? bah, elle demanderait à sa mère ce soir . Vraiment mais qu'est-ce qui était passé par la tête à Kojiro ? se demanda-t-elle avant d'esquisser un léger sourire . C'est vrai qu'au premier abord, elle avait trouvé ça un peu embarrassant . Mais bon … Ce n'est pas comme si toute l'école était au courant n'est-ce pas ? raisonna-t-elle totalement aveugle à l'engouement soudain des élèves pour les livres sur la symbolique des fleurs .
- Alors ? Alors ?
le visage solennel, Yamada Ruki, présidente du Kojiro-fanclub de l'école - transformé depuis peu en Comité de Support pour le Couple Hyuga-Nakazawa - feuilleta rapidement un petit carnet avant de s'arrêter sur une page avec un "ah ah" triomphant .
- Ruki, abrège !! la supplia sa meilleure amie et vice-présidente
L'air important, cette dernière ménagea ses effets, ses amies suspendues à ses lèvres .
- La passiflore …
- Rukiiii !
- La passiflore, connue aussi sous le nom de passiflora spp …
- Ça veut dire quoi spp ? la coupa une membre du club
- J'en sais rien, et arrêtez de m'interrompre ou je ne lis plus! menaça-t-elle ses ouailles avant de reprendre . Alors, la passiflore ou passiflora spp, liane à la vigueur conquérante, symbolise le début d'un amour intense et sulfureux . Bon, ben ça on s'en doutait un peu, marmonna-t-elle en fermant son livret d'un air déçu tandis que toutes les autres filles poussaient un petit soupir alangui et légèrement envieux .
Takeshi les regarda s'éloigner de son coin de couloir avant de secouer la tête d'un air navré . Visiblement, les admiratrices de Kojiro devraient se procurer des sources d'information plus complètes ou se mettre à l'ikebana, songea-t-il en refermant son propre exemplaire du Langage des Fleurs . Sinon, elles auraient su que la passiflore blanche signifiait "je t'aime passionnément sans oser te l'avouer" et dénotait un symbole de fidélité . Ouais, du Capitaine tout craché, ça .
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Un petit tintement se fit entendre lorsque la porte du Koneko s'ouvrit .
- On va ferm… Oh, Kojiro-kun !! Ça fait longtemps qu'on t'a pas vu, dis-moi !
- Bonjour, Kudou-san .
Le fleuriste lui envoya un large sourire et abandonna la brassée de fleurs qu'il triait sur le comptoir .
Le jeune homme rentra prudemment dans la boutique, non sans jeter quelques coups d'œil anxieux ça et là lorsqu'il se rendit compte que Kudou Yohji était seul . Pour une raison qu'ils avaient refusé de lui expliquer, Ken et Omi l'avaient vivement incité à décliner toute fleur, belle ou non, que pourrait lui proposer leur collègue .
- hmm … je … euh … Hidaka-san n'est pas là aujourd'hui ?
- C'est son jour de congé .
- Je vois … hum … Tsukiyono-san, alors ?
- Il est parti faire une livraison .
La sueur se mit à perler aux tempes du footballeur . Mauvais, ça, mauvais . Il ne lui restait plus qu'une solution …
- Fujimi…
Le fleuriste l'interrompit, un sourire mi-amusé, mi-ironique aux lèvres .
- Tu sais, Kojiro, j'ai comme l'impression que tu essaies de m'éviter . Mais je dois me tromper, non ?
Kojiro se sentit rougir . Que répondre à cela ?
- Enfin, pour répondre à ta question, Aya est allé faire les courses . Donc, comme tu peux le constater, il n'y a que moi alors il va bien falloir faire avec .
Lorsqu'Omi rentra, une scène plutôt pertubante l'attendait .
Yohji, visiblement d'excellente humeur, sifflotait gaiement tout en balayant des bouts de tiges coupées et autres morceaux de feuillage qui attestaient de la composition récente d'un bouquet .
Or Yohji était un minimaliste . Minimum de travail, minimum d'efforts - sauf pour aller courir jupon - bref … Il s'était attendu à trouver la boutique fermée, comme cela était déjà arrivé de trop nombreuses fois quand Yohji était laissé seul à la barre . Que cela ne soit pas le cas était déjà bizarre . Ensuite … Depuis quand Yohji était-il de bonne humeur alors qu'on l'avait forcé à rester seul au Koneko ? C'était bien simple, jamais . Enfin sauf aujourd'hui .
Quelque chose ne tournait pas rond et le jeune garçon était bien décidé à trouver quoi .
- Chuis de retour .
Le blond se retourna un immense sourire aux lèvres . Un frisson parcourut l'échine de Tsukiyono tandis que l'alerte rouge résonnait dans son crâne .
- Ah, Omi ! Alors tout s'est bien passé ?
- Moui … marmonna celui-ci tout en attrapant discrètement - enfin autant que possible - la pelle posée contre le mur .
De toute évidence, Yohji avait été kidnappé et remplacé par son double maléfique, mieux valait être armé, qui sait ce qu'il allait faire .
- Au fait, tu viens de rater Kojiro .
La pelle échappa des mains d'Omi pour choir sur le sol à grand bruit .
Yohji claqua la langue pour montrer sa désapprobation .
- Enfin Omi, fais un peu attention . le réprimanda-t-il d'une voix faussement sévère tandis que son collègue passait les bacs à fleurs en revue
- Kojiro est passé ? Qu'est-ce qu'il a pris cette f… Yohjiiiiii !!!
Ce dernier prit l'air pur et angélique de l'agneau qui venait de naître .
- Quoi ?
- Qu'est-ce que … Mais enfin, comment t'as pu faire ça ?!?
- Faire quoi ? demanda encore l'innocence incarnée
L'air furieux, Omi pointa un doigt accusateur en direction de certains seaux à fleurs à moitié-vides .
- Arrête de me prendre pour un imbécile ! Je te jure … Si Kojiro se fait jeter par sa copine à cause de toi …
- Oh la la … T'emballe pas comme ça, Omi-chan . Et puis sincèrement, fallait bien que quelqu'un l'aide un peu ce pauvre petit, parce que je veux pas dire mais c'est pas avec vos fleurs de puceaux qu'il risque de conclure un jour .
La petite veine qui était apparue sur le front d'Omi au début de la tirade de son ami tressauta violemment alors qu'il laissait libre-cours à sa rage .
- YOHJI !!
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La gorge serrée, Sanae se dirigea vers son casier pour y prendre ses chaussures . Sa main hésita un instant avant d'ouvrir le petit battant . Et aussitôt elle baissa les yeux, la déception se faisant amèrement sentir .
Le casier était vide . Tout comme il l'avait été ce matin, et ce pour la première fois depuis mi-mars . Surprise de n'y rien trouver à son arrivée, elle s'était rassurée en se disant que Kojiro était peut-être en retard et qu'à la fin des cours, une fleur serait posée sur ses chaussures .
Il n'en était rien .
Peut-être s'était-elle trompée . Peut-être sa mère l'avait-elle menée en bateau avec ce truc de la symbolique des fleurs et comme une gourde, elle n'avait pas marché mais couru .
Et d'ailleurs peut-être même que ce n'était pas Kojiro et …
Un râclement de gorge se fit entendre dans son dos .
- Hmmnmn … Nakaz… Sanae ?
Elle connaissait cette voix . Figée, elle n'osa pas se retourner .
- Ecoute, je … Je suis désolé pour les fleurs mais euh … je … enfin … je voulais te dire … en fait je …
Ses lèvres tremblèrent . "désolé pour les fleurs" ? Alors ça voulait dire qu'il s'était moqué d'elle ? La colère prit lentement le pas sur la tristesse . Comment avait-il pu ?
A présent folle de rage, la jeune fille fit volte-face . Et pila net, devant l'étrange vision .
Kojiro sentit ses joues s'empourprer un peu plus sous le regard aigü de Sanae et, d'un air gauche et emprunté lui tendit le bouquet si brusquement que celle-ci se retrouva le nez au milieu des fleurs .
Affreusement gêné, il retira l'objet des offenses du visage de la demoiselle . Bon dieu mais qu'est-ce qu'il lui avait pris d'écouter Kudou-san ?
- Kojiro … C'est … pour moi ? demanda-t-elle alors, presque timidement, en désignant la gerbe qu'il avait toujours en main
- hmnhrzgflpxrp … je … je veux dire, oui ! balbutia le joueur étrangement mal à l'aise car, contrairement à la jeune fille, bien conscient du bruissement frénétique des pages qu'on tourne qui résonnait tout autour d'eux
Une fois délesté de son fardeau … euh je veux dire de son cadeau, le capitaine de la Toho demanda avec la brusquerie qui lui était coutumière …
- euh … Na… Sanae, tu rentres chez toi ?
- Oui, pourquoi ?
- Alors … on peut faire un bout de chemin ensemble ?
Un éblouissant sourire fut sa seule réponse .
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- Que … Quoi ? Attends, attends Sanae, pas si vite, j'ai du mal à te comprendre …
A l'autre bout du fil, Yukari Nishimoto essayait désespérément de suivre le flot de paroles débitées par son amie tout en repoussant son cousin Hiroshi Jito qui tentait de s'emparer du combiné depuis qu'il avait entendu le nom de Sanae . Voyant que sa quête était vaine, il colla son oreille sur le dos du téléphone dans l'espoir d'entendre ce qui se disait, au grand agacement de Yukari .
- … tu … non ? Pas possible ! Ah ben ça … C'est Kumi qui va être contente … Mais enfin, Jito, tu vas arrêter oui ? Ce que tu peux être saoûlant à la fin !! Hein ? Non, non, je parlais à mon cousin . Tu t'souviens de lui ? Ouais, c'est ça, la grosse brute, il est en visite . hmm … D'accord . Mais bien sûr qu'on est toujours amies ! Oui, promis, pas un mot aux garçons tant que tu me donnes pas le feu vert . Bon, de toute façon, on se voit dans deux semaines pendant le tournoi, ok ? Allez, bisous .
Sa conversation à présent terminée, elle se tourna d'un bloc vers son cousin . Il allait voir, ce mufle .
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Sanae raccrocha le téléphone et en pleura presque de soulagement . Yukari ne lui en voulait pas de lui avoir caché la vérité . C'était beaucoup pour elle, qui avait tant craint de perdre ses amis de Nankatsu . Mais Ryo approuvait, Yukari approuvait … Alors tout irait bien non ?
Elle étouffa alors un rire euphorique en plongeant son nez au milieu des fleurs, respirant une grande bouffée de leur parfum . Un gloussement de joie lui échappa malgré tout tandis qu'elle contemplait le cadeau de Kojiro .
Puis elle redevint sérieuse . Allons, elle ne devait pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué . Certes, un grand pas avait été fait mais Kojiro ne lui avait pas encore demandé d'être sa petite amie . Ce qui n'empêchait pas un large sourire de lui manger le visage .
Sa mère choisit ce moment pour faire son entrée . Elle posa sa veste sur une chaise et sourit en voyant sa fille arborer une expression aussi radieuse .
- Eh bien ma chérie, on dirait que tu es d'excellente humeur ce soir . Je me demande à quoi c'est dû . Laisse-moi deviner, ton admirateur secret a encore frappé ? taquina-t-elle sa fille tout en se mettant à préparer le dîner .
Elle redressa vivement la tête quand, loin de se fâcher comme à son habitude lorsqu'elle cherchait à en savoir plus sur les amis potentiellement petit-ami en devenir, Sanae se contenta d'un "mmmmm" rêveur . Toute fatigue oubliée, elle porta un regard aigü sur sa fille, ses instincts de mère en alerte . Et ses yeux se firent graves quand elle étudia plus attentivement le bouquet .
Un instant, elle hésita à brocher le sujet . Mais elle le devait . Elle ne voulait pas voir Sanae souffrir comme elle l'avait fait avec Ozora .
- Sanae … Toi et ce garçon … C'est … C'est du sérieux ?
La lycéenne, qui était en train d'arranger les fleurs dans un vase, s'arrêta un bref instant . Puis elle reprit son activité .
- Je ne sais pas vraiment, maman, répondit-elle d'une voix tranquille . Je ne sais pas mais j'ai bien l'intention de le découvrir .
- Tu as l'air de bien l'aimer en tout cas . Vous devez bien vous entendre .
/ "Je veux pas de cette mégère dans l'équipe !" "Crois-moi, si j'avais su que je verrais ta sale tête aussi souvent, je serais allée dans une autre école !" "Hey la Furie !" "Néandertal" "Sorcière !" "Crétin congénital !" /
En se remémorant la plupart de leurs altercations, Sanae laissa échapper un petit rire . Bien s'entendre ? Oui, on pouvait dire ça comme ça .
- D'une certaine façon, je pense que oui .
C'était un peu vrai, maintenant ils étaient tous deux d'accord sur le fait que Tsubasa était un abruti fini .
- Et … Et Tsubasa ?
A ces mots, la chaleur s'évanouit de la voix de la jeune fille .
- Vous aviez raison, papa et toi . Mais bon, voyons les choses du bon côté, d'une certaine manière c'est un peu grâce à lui que j'ai rencontré mon admirateur comme tu dis . finit-elle joyeusement sans voir la grimace qu'esquissait sa mère tout en faisant sauter les légumes .
Encore un footballeur ?!?
La porte d'entrée claqua tandis que Sanae finissait de mettre le couvert .
- Comment vont les femmes de ma vie, ce soir ?
- Bonsoir papa ! Tu rentres tôt dis donc ! s'exclama Sanae en se pressant de rajouter un troisième couvert et de sortir une bouteille de bière du frigo
- Ta journée s'est bien passée mon chéri ?
Le repas se passait agréablement, tandis qu'ils échangeaient leurs impressions de la journée .
Ils attaquaient le dessert, de la crème glacée au thé vert1, lorsque Sanae aborda LE sujet . Celui qui déboucherait plus tard sur le thème que tous les pères ont en horreur, celui du petit ami - qui tout le monde le sait, n'est jamais assez bien pour leur précieuse fille - . Mais bon, on n'en était pas encore là et la question était à première vue tout à fait innocente .
- Au fait, maman, je voulais te demander … Comme tu t'y connais bien sur les fleurs et leurs symboles, il veut dire quelque chose mon bouquet ?
Mme Nakazawa manqua s'étrangler avec sa glace et dissimula son embarras derrière une quinte de toux plutôt réaliste .
- Sanae, je ne crois pas que cela intéresse ton père, je te dirai ça plus tard …
- Ah mais pas du tout ! Au contraire, ça m'intéresse d'en savoir un peu plus sur ton travail. la contredit monsieur. Allez, ma chérie, je suis impatient de voir ce que tu as appris chez ces fleuristes !
Avec un soupir résigné, sa femme abdiqua .
- Il s'agit d'un bouquet composé de roses crème, de monnaie-du-pape et de …
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Kojiro jeta un coup d'œil sur sa montre et soupira . Mais qu'est-ce qu'il faisait là ? se demanda-t-il pour la énième fois
A cette heure, la rue était déserte et la nuit tombait .
Il pourrait être chez lui, devant un bon repas mais non . Il avait promis à Kudou-san d'exécuter ses instructions . Et bon, le bouquet n'avait pas été trop mal reçu alors suivre les conseils du fleuriste ne semblait pas déraisonnable .
N'empêche …
* * *
Il regarda le fleuriste d'un air perplexe . Oui, il savait où Sanae habitait . Oui, il savait comment y aller . Quel rapport avec la composition du bouquet ?
Visiblement ravi par ses réponses, vu comment il se frottait les mains, Yohji Kudou sembla soudain être au centre d'un véritable tourbillon de fleurs, en prenant quatre ou cinq pour les reposer aussitôt en faveur d'autres, détaillant certaines d'un œil critique avant de porter son attention ailleurs . Enfin, il arrêta son choix .
Tout en l'observant, le joueur ne put s'empêcher de se demander pourquoi diable Hidaka-san et Tsukiyono-san avaient aussi peu confiance en ses qualités de fleuriste . Il lui semblait très compétent .
Quelques minutes et beaucoup de morceaux de tiges, de feuilles et de rubans plus tard, Kojiro se trouva avec un bouquet assez volumineux dans les bras, en train d'hocher consciencieusement du chef tandis que Kudou-san se répandait en directives avant de lui faire jurer de les suivre au pied de la lettre .
Au moment de franchir la porte, il s'arrêta net .
- Ah, Kudou-san … Vous ne m'avez pas dit combien je vous devais …
* * *
Il se gratta pensivement la tête . Il était bien certain que le prix, presque dérisoire en soi, ne correspondait pas à la valeur réelle des fleurs . Mais bon si Kudou-san voulait se faire trucider par Fujimiya-san c'était son problème hein .
Toujours était-il qu'il ne savait toujours pas pourquoi diable il devait faire le pied de grue devant la maison de Sanae à une heure sinon indue du moins fort peu propice pour faire la cour . Surtout quand la courtisée n'est pas au courant .
Il consulta l'heure une fois encore et décida que si d'ici un quart d'heure rien ne se passait, il rentrerait chez lui . C'est qu'il avait entraînement demain matin et …
Et puis plus rien . Tout ses cellules grises cessèrent de fonctionner lorsque la porte des Nakazawa s'ouvrit brusquement et qu'une silhouette courut à lui avant de le serrer contre elle et de lui donner un baiser somme toute assez chaste .
Il cligna bêtement des yeux tandis que les lèvres douces quittaient les siennes .
- Kojiro ?
Il baissa les yeux et regarda Sanae avant de demander …
- Ça veut dire que j'ai une petite chance contre Ozora ?
- Crétin . C'est lui qui a laissé passer la sienne . murmura Sanae avant d'enfouir son visage contre son torse tandis qu'il refermait ses bras autour d'elle
Un hurlement sauvage s'éleva soudain de l'entrée de la maison, les faisant sursauter et la mère de Sanae s'approcha un sourire amusé aux lèvres tandis que Nakazawa père rentrait brusquement tempêtant pour qu'on aille lui chercher son fusil .
Guère rassuré, Kojiro interrogea sa petite amie …
- euh … Il plaisante hein ?
Mme Nakazawa émit un petit rire .
- Bien sûr . On n'a pas de fusil à la maison .
Le tigre poussait un soupir de soulagement, que celle-ci continuait …
- Il est sans doute allé chercher un couteau de cuisine .
- Maman !!!
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- Je vous aime … - Ben pas nous !!!
Le pouvoir des fleurs
Le pouvoir des fleurs
Kirin : Lalalèèèèreuh !!!
Lied : Waaaaaah ! J'arrive pas à le croire !! Tu l'as fait !
Kirin : Je l'ai fait !!
Lied : Comme quoi faut pas sous-estimer *chantonne* le pouvoir des fleurs !
Kirin : Jaaaasmin !
Lied : Liiiilas !
Kirin et Lied : C'étaient nos divisions, nos soldats … Bwahahahaha !!!
Kojiro : … ¬ ¬ Bande de tarées …
Lied : Mais j'y pense … T'as pas expliqué le sens du bouquet !!
Kirin : T'inquiète, c'est pour le prochain chapitre .
Kojiro : Le quoi ?!?
Kirin : Le prochain chapitre, tigrounet .
Kojiro : Mais mais mais … mais je mais tu …
Kirin : Mais quoi ?
Kojiro : Mais tu viens de nous coller ensemble avec la Furie !
Kirin : Et alors ? J'ai jamais dit que l'histoire s'arrêterait là .
Kojiro : Je veux mourireuuh !!
Kirin : Mais non …
1 : Un vrai délice !