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Liens de sang

Chapitre 4 : Incohérences




Un rêve . Encore un . Identique à tous les autres et pourtant différent . Il serra les dents . Il ne voulait pas y penser . Il le refusait mais …
Là, dans le royaume des songes, il était à leur merci . Condamné à revivre ces moments, en spectateur impuissant .
Combien de temps encore ces cauchemars continueraient-ils à le harceler ?
Combien de temps avant qu'il trouve enfin la paix ?
Il exhala un soupir . Bientôt . Très bientôt, tout serait fini .

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Dokugakuji se pencha sur les traces ensanglantées . Impossible de dire avec exactitude si celles-ci appartenaient à Kou mais c'était fort probable .
Un peu en amont, un soldat avait repéré des traces de combat et les avait aussitôt alertés . Ils avaient suivi ces dernières jusqu'à la rivière toute proche . Arrivés là, les marques disparaissaient dans l'eau et ils avaient dû se séparer .
Ils se trouvaient à présent quelques centaines de mètres plus bas et s'ils avaient trouvé le corps d'un limier, son adversaire, s'il s'agissait bien de Kou Gaiji, restait introuvable .
Les limiers étaient des 'créations' de l'impératrice, des chiens sauvages ou des loups baignés dans du sang de youkai et dressés pour tuer . Des animaux vicieux aux muscles d'acier et aux crocs et griffes acérées . Bref pas le genre de bestioles dont le premier venu, fut-il youkai, pouvait se débarrasser aussi facilement . Au vu du sang maculant le bord de la berge, celui qui l'avait affronté avait été gravement blessé et n'avait pas pu aller bien loin . Mais là encore, il ne fallait jurer de rien, c'était de Kou Gaiji qu'ils parlaient .

- Dispersez-vous et essayez de repérer le prince . Si c'est bien lui qui s'est battu avec ce limier, il doit être encore dans les parages . Dès que vous le repèrerez ne tentez rien et alertez-nous aussitôt . Il est peut-être blessé mais il reste très puissant . Une dernière chose . Le soleil va bientôt se coucher . Revenez dès que la nuit sera tombée .

Le visage fermé, il regarda les youkai acquiescer et disparaître .

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Lentement, il ouvrit les yeux . Et se sentit rassuré . Pas de village en ruines, pas de cadavres . Il se trouvait dans la salle où sa mère était retenue prisonnière par le sort lancé par Gyokumen ; Lirin, Doku et Yaone à ses côtés . Rien de plus . Rien de moins . Tout cela n'avait donc été qu'un cauchemar ? Bien sûr . Cela ne pouvait être que cela . Il leva les yeux vers le corps immobile de sa mère, soulagé .

- Mère …
Il tendit la main comme pour effleurer son visage et se figea en voyant celle-ci ruisselante d'un liquide carmin, chaud et visqueux .
Puis, sous son regard horrifié, la gangue de pierre commença à se fissurer avant d'éclater en mille morceaux . Une partie de ce qui avait formé le doux visage de sa mère roula à ses pieds . Incrédule, il se pencha et le prit dans ses mains tremblantes et ensanglantées . Soudain plein d'appréhension, il se tourna vers ses compagnons et sentit la bile lui monter à la gorge . Tout autour de lui se trouvaient des dizaines, des centaines de cadavres atrocement mutilés et devant lui … Non . Il rêvait encore . L'air était lourd de la saveur âcre et métallique du sang . Il rêvait encore !!! Ses trois amis, sa seule … sa seule famille, gisaient au sol dans une mare d'hémoglobine . Doku avait la gorge ouverte, sa tête presque séparée de son corps tandis que celle de Lirin formait un angle étrange avec son cou et le torse de la fillette semblait bizarrement enfoncé . Et Yaone … n'était reconnaissable qu'à sa longue chevelure violette, tout le reste de son corps n'étant plus qu'une masse informe de chairs sanguinolentes . Non … Ce … Ce n'était pas possible . Il … Il … Son regard se posa à nouveau sur ses mains . Ses mains … Non .

- Kou …

C'était complètement fou mais … Doku venait de se relever, la tête légèrement penchée . Kou ne put s'empêcher de reculer en voyant la plaie béante à son cou . Lirin fit à son tour quelques pas hésitants et la chose qu'avait été Yaone rampait pathétiquement dans sa direction .
- Kou … répéta son second d'une voix rauque et désincarnée
- Nii-chan …
- Kou Gaiji-sama …

Il recula encore . Puis Doku avança si rapidement qu'il ne perçut pas son mouvement et le saisit brusquement par les bras .
- Kou … Pourquoi ? souffla le corps
Il se mit à se débattre mais son ami refusait de le lâcher .
- Kou …
- Kou Gaiji-sama …
- Kou …
- Kou …
- Kou …
Non … Nonononononononononononooooon !!!!

- KOU GAIJI !!!!

Il se réveilla soudain en hurlant . On le secouait . Haletant, les yeux agrandis par la peur, il fixait son vis-à-vis sans le voir .

- Kou Gaiji, daijobou desu ka ?

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Il se laissa glisser souplement sur le sol . Ces imbéciles ne l'avaient pas trouvé . Il eut un petit reniflement de mépris . C'était ça l'élite des soldats youkai ? Pathétique . A ce rythme là, Kou Gaiji serait loin . Gyokumen avait eu raison de l'envoyer .
Kou Gaiji … Ses traits se crispèrent et son poing se serra tandis qu'il se souvenait . Du calme . Il devait se détendre . Sinon il échouerait et … Non ! Il ne le laisserait pas s'échapper . Jamais . Il ferma les yeux et se concentra, cherchant un indice, n'importe quoi, qui lui permettrait de retrouver sa trace . Ah … Alors c'est là qu'il se cachait . Il se demanda brièvement comment il avait fait pour aller aussi loin aussi rapidement mais cela n'avait finalement pas d'importance . Il contacta l'impératrice et fronça légèrement les sourcils . Etait-ce vraiment nécessaire ? Il n'avait pas besoin d'eux et il allait perdre du temps à les attirer dans la bonne direction . Oh et puis après tout, quelle importance ?
Il avait attendu longtemps . Si longtemps . Qu'est-ce que quelques jours de plus ou de moins allaient y changer ? Bientôt, très bientôt, il aurait sa revanche .

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Gojyo se réveillla en sursaut au hurlement du prince youkai . Pour une fois qu'il partageait sa chambre avec Hakkai et pas avec Goku ou Sanzo . Nom d'un chien ! C'était trop de demander à passer UNE nuit tranquille ? Sans se faire attaquer ? Sans être tiré de son sommeil par les gargouillis stomacaux du macaque ou par les marmonnements torturés du bonze ? Visiblement oui . Puis il se mit à maudire silencieusement la source des cris et … LUI . Mais quel besoin avait eu Hakkai de proposer de prendre Kou Gaiji dans LEUR chambre ?!?
A la lumière de la lune, il regardait d'un œil noir, et quelque peu jaloux, son amant enlacer tendrement le youkai fiévreux et délirant, caressant ses cheveux, effleurant son front pour le calmer …

- Doku …

Le métis sursauta violemment . Ça n'avait été qu'un gémissement, une plainte si faible qu'il avait failli ne pas l'entendre mais …

- Doku … geignit à nouveau doucement Kou en se blottissant un peu plus contre Hakkai, cherchant du réconfort contre le torse chaud .

Gojyo cligna des yeux une fois . Deux fois . Puis trois .
- J'ai pas rêvé là ? … … … … … ME DIS PAS QU'IL SE TAPE MON FRERE ?!?
Il se calma rapidement et reprit …
- Quoique … A y regarder de plus près, c'est plutôt mon frère qui doit se le taper mais …
- GOJYO !!!

L'interpellé leva les mains en signe de reddition . Puis ses yeux étincelèrent de nouveau .
- Hakkai, on peut savoir ce que tu fous ? siffla-t-il en voyant son compagnon poser des baisers délicats sur le visage du youkai tout en ôtant sa chemise .
Ce dernier poussa un petit soupir .
- Il ne nous entend pas, Gojyo . Il est toujours … prisonnier de ses cauchemars, du moins en partie, et il a besoin d'un réconfort . D'un réconfort physique . souligna-t-il en se glissant sous les draps au côté de Kou pour l'entourer de ses bras protecteurs .
Comme pour prouver ses dires, le youkai sembla s'apaiser un peu, se nichant contre l'ex-humain .
- Ouais ben compte pas sur moi pour …

Un sanglot étranglé du youkai l'interrompit et, incrédule, il regarda son amant ~ SON amant par tous les dieux !!! ~ poser ses lèvres sur celles de Kou Gaiji . Ce dernier émit un son étouffé avant de pousser une plainte trouble quand Hakkai abandonna sa bouche pour aller prendre possession d'un téton .
Gojyo déglutit lentement avant de passer une main tremblante contre sa nuque . Nom de nom … C'était lui ou la température de la pièce venait de grimper en flèche ?
Il tergiversa encore une trentaine de secondes … Puis il y eut un bruissement de vêtements qu'on laisse tomber au sol et le lit grinça sous un poids supplémentaire .
- Bouge de là, tu prends toute la place .



Dans la chambre voisine, Sanzo serra les dents et jeta un coup d'œil distrait à la cause de son insomnie. Bon qu'allait-il faire ? *tap-tap* Main gauche . Main droite . Main gauche . Main droite . Sa prise se raffermit sur la crosse du pistolet . Qui allait-il buter en premier ? Ses trois voisins de chambrée pour leur apprendre à être un peu moins bruyants dans leurs ébats ou ce connard de singe qui ronflait comme un bienheureux ? Aucune importance . De toute façon, le résultat était le même, ils l'empêchaient de dormir !! Les trois débauchés ? Le macaque ? Les trois débauchés ? Le macaque ? Les trois débauchés ? Le macaque ? Le macaque . Définitivement . Avantage : Il était à côté donc il n'aurait pas besoin de se lever. Désavantage : Il allait chouiner tout le reste de la nuit avant de se remettre à ronfler et l'emmerderait demain pour avoir plus à manger .
… … … Rien de bien nouveau quoi . En conséquence .
*SLAP-SLAP-SLAP-SLAP-SLAP-SLAP-SLAP-SLAP-SLAP-SLAP…*
- BAKA-SARU !!!

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Dokugakuji pressa le pas . On venait de trouver la dépouille d'un soldat qui patrouillait dans le troisième secteur .
A la lueur d'une torche, il se pencha sur le corps et son visage se cadenassa . Au moins, il avait eu droit à une mort rapide et propre .
< Pas comme ces malheureux . > songea-t-il en repensant au village qu'ils avaient rencontré à moins d'un kilomètre de là .

Ses poings se serrèrent à l'idée que le prince qu'il avait protégé et … et aimé, puisse avoir commis cette atrocité mais il devait se rendre à la raison . Kou Gaiji était bel et bien responsable .
Un des hommes était revenu pour signaler que leur cible avait été aperçue se dirigeant vers un hameau youkai . Inquiet pour la sécurité des habitants, il avait rassemblé les soldats en hâte et ils avaient couru jusqu'au village pour l'évacuer . Ils étaient arrivés trop tard . Cependant, tout malheur avait du bon car Kou s'était montré négligent . Ses traces montraient clairement dans direction il était parti . Facile . Trop peut-être mais … Sans doute pensait-il qu'ils avaient abandonné . Ou qu'il se trouvait assez loin d'eux pour se le permettre .
Il regarda brièvement ses compagnes de route .

Yaone était très pâle et ses yeux brillaient de larmes contenues . La pharmacologue avait déjà été confrontée à la mort mais jamais de manière aussi cruelle et brutale . Et elle n'aurait jamais cru possible que Kou Gaiji-sama en soit l'instigateur . Jamais jusque récemment .

Lirin quant à elle était extraordinairement sérieuse et silencieuse . Depuis leur départ de Hoto, la petite s'était renfermée sur elle-même et n'avait pas pipé un seul mot du voyage . Doku ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter pour elle . Il la considérait un peu comme sa petite sœur et il savait à quel point elle avait souffert du rejet de son frère . Il avança la main pour la poser sur son épaule mais avant qu'il ait pu la toucher, elle se dégagea .
- Je vais bien Doku-nii-san . Nous allons le trouver et nous allons lui faire payer .
Son aîné frémit en l'entendant parler d'une voix si froide et déterminée . Si … monocorde . Toute la joie de vivre et la facétie qui l'avaient habitée semblait avoir disparu .

< Félicitations, Kou . > pensa amèrement Dokugakuji < Tu es parvenu là où sa mère avait échoué . Elle t'aimait tant . Et elle … nous pensions que tu l'aimais aussi un peu . Tu nous as bien trompés.>

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Assis sur son lit, silencieux, Kou laissait Goku brosser ses longs cheveux encore humides, les démêlant avec plus d'habileté et de douceur dont il aurait cru capable le jeune youkai . Avant de se demander pour la énième fois pourquoi il restait là comme un abruti à laisser un ennemi tripoter sa chevelure . La réponse vint, rapide, claire et ineffable . Parce qu'il n'avait nulle part où aller .
Hakkai lui faisait face souriant et caressant Hakkuryu lequel faisait connaître son contentement en pyupyutant de bonheur .
Encore gêné au souvenir flou de ce qui s'était passé entre lui et les deux hommes, Kou faisait son possible pour éviter de le regarder .
Il savait qu'ils avaient agi pour son bien, que cela avait été loin d'être une expérience désagréable, du moins d'après ce qu'il s'en rappelait, et que ce faisant, ils l'avaient probablement sauvé de la folie mais … Ils restaient ses adversaires … Et comment allait-il pouvoir regarder Dokugakuji en face après ça … Dokugakuji . A cette pensée son cœur se serra . Il venait de se souvenir . Doku, Yaone, Lirin … la réalité, son évasion, le cauchemar . Avec un frisson contenu, il posa son regard, presque timidement, sur Hakkai qui l'observait avec bienveillance .
Il lui avait expliqué comment Goku l'avait trouvé, il y a quelques jours de cela, sur le bord d'une rivière, blessé et inconscient et comment ils l'avaient emmené jusqu'à l'hôtel le plus proche dans une ville à plusieurs dizaines de kilomètres de là en territoire humain à la frontière du Tenchiku .
Machinalement, Kou tritura les deux clous fixés à son oreille qui limitaient ses pouvoirs et le confinait sous un aspect humain . Après un court débat, il avait été décidé qu'un changement de look s'imposait . Le prince des youkai était par trop reconnaissable pour se promener ainsi, forme humaine ou pas . Sanzo et Gojyo étaient donc partis lui acheter quelques vêtements de rechange, les siens étant d'ailleurs trop sales et en lambeaux pour qu'il puisse décemment les porter . Et Goku avait insisté pour lui faire une nouvelle 'coiffure' . Kou retint une grimace en se souvenant de sa suggestion de lui couper ses longues mèches . Suggestion aussitôt réprouvée par l'intéressé .
Il se raidit en sentant Goku réunir une partie de sa chevelure sur le côté gauche en haut de son crâne .
- Goku … Fais-moi des couettes et meurs .
- Eeeep … fit le susnommé en lâchant vivement la lourde mèche

Hakkai étouffa un gloussement suspicieux derrière sa main avant de se lever .
- Goku, il vaut mieux remettre cette expérience à demain matin . Pourquoi ne vas-tu pas commander notre repas auprès de notre hôte ?

Le visage un instant déçu du jeune garçon s'éclaira aussitôt et il fut hors de la chambre en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire .
A son retour, il trouva le prêtre et le demi-youkai de retour, assis autour de la table, leurs emplettes posées au pied du lit . Ils fixaient Kou du regard et celui-ci s'efforçait de prendre un air détaché sans les regarder . Hakkai lui-même avait l'air grave .
La pièce était plongée dans un silence lourd et malaisé .
Enfin, Sanzo finit par prendre la parole …
- Je crois que nous avons pas mal de questions à te poser, Kou Gaiji …

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La minute de l'auteur bis :

Et viiiiii !!! C'est encore mouaaaaaaa !!!
Tous : Et …
*regard-de-la-mort-qui-tue-même-que-ça-fait-vache ment-mal*
Tous (ton morne et désespéré) : … youpi …
Oh la la … Mais quel manque d'enthousiasme !
Seifer : Tu veux quand même pas qu'on t'acclame nan plus ?
èé+ Kestas dit ?
Seifer : Gloups …
SHINEEEEEE !!!!
Belzy : Mais quel con …
Uriel : Je suis d'accord . Toute vérité n'est pas bonne à dire .
… … VOUS DEUX !! PUNIS !!! PAS DE LEMON !!!
Belzy / Uriel : NANI ?!?
Kou (saute sur l'occasion) : C'est vrai quoi . En plus je vois pas de quoi il se plaint, c'est pas lui la victime de cette atrocité .
*vein-pop* èé+ + + PUNI AUSSI !!!
Belzy : Le povr' …
Kou (tout bas) : Chouette …
PUISQUE C'EST COMME CA T'AURAS DEUX 'SCENES' DANS CETTE FIC, NA !!!
Kou (désespéré) : QUOI ?!?
Belzy (indigné car jaloux) : QUOI ?!?
Uriel (indigné mais pas pour les mêmes raisons) : QUOI ?!?
(parlent tous les 3 en même temps)
Kou (atterré) : C'est obligé ?
Belzy (toujours indigné) : Je proteste !! C'est pas juste !!! Pourquoi lui et pas moi ?!?
Uriel (pas content) : Je proteste aussi !! En tant que séraphin et gardien de la moralité de tes 'œuvres' …
… … … … VOS GUEULES LES MOUETTES !!!!
Tous : …
Dois-je vous rappeler QUI commande ici ?
Tous : … (bis)
Bien . Maintenant que ceci est réglé, je vais pouvoir …
< Rien du tout ! >
2K ? Tu vas pas t'y mettre aussi !!
< Ah je regrette mais t'as vu ton sous-titre ? 'la minute de l'auteur' . Pas le quart d'heure ! Faut t'en prendre qu'à toi . Allez, les enfants, on ferme, c'est l'heure !! >
T T Chuis une opprimée …
< C'est ça, c'est ça, on lui dira … >

(à suivre)